Diagnostic Externe Credit Mutuelle

Diagnostic externe du marché concerné (Menaces & Opportunités) 1. Une analyse de l’environnement Il convient de réaliser une analyse PESTEL afin de s’intéresser à l’influence, aussi bien positive que négative, que peuvent exercer sur l’entreprise Bouygues Telecom des facteurs macro-environnementaux d’ordre Politique, Economique, Social, Technologique, Environnemental, Législatif et donc déceler les opportunités de développement et les menaces éventuelles pour la filiale Bouygues Telecom

étaient les principales raisons. À partir de 1975 et ce jusqu'en 1985, nous avons assisté au démarrage véritable du marketing bancaire avec le développement de nouveaux outils d'approche de la clientèle, de nouveaux produits d'épargne comme de crédits et des réseaux plus proches de la clientèle. Nous arrivons aujourd'hui à une phase de maturité significative et de relative banalisation du marketing bancaire. On s'oriente plutôt vers la personnalisation de la relation avec le CRM, vers le service

de 70 % des porteurs de carte, loin devant les chèques (17 %) et espèces (13 %). De plus, 91 % des Français détiennent au moins une carte, alors que 20 % en possèdent 2 et 5 % plus de 2. Nous pouvons les classer en 4 catégories (retrait, paiement, crédit renouvelable et autres cartes). Les cartes de retrait : Ces cartes servent uniquement à retirer de l'argent aux distributeurs automatiques. Elles ne permettent pas de payer des achats. Chaque retrait n'est autorisé que si le solde du compte est suffisant

peut qualifier d'utilitaire ou d'instrumentale, est entièrement conçue comme une architecture de fonctions et de compétences hiérarchisées en vue d'atteindre un but supérieur, un résultat qui est sa raison d'être, mais qui lui est le plus souvent externe. C'est l'entreprise idéale de beaucoup de nos modèles scientifiques et techniques. Le champ nord-ouest traduit une logique de concourance11, cohérente avec une certaine vision de l'homme, engagé et responsable. La performance se mesure à la contribution

n’auraient pas été élaborés dans le délai d’un an que ces règles devraient être reprises dans les règlements des autorités. Le respect de ces règles serait assuré d’une part par le « contrôle de conformité » institué au sein des établissements de crédit et entreprises d’investissement et par le contrôle interne des entreprises d’assurance, d’autre part par les autorités de régulation et de contrôle (AMF, CCAMIP, Commission Bancaire). Pour ces dernières, il est proposé : d’harmoniser les pouvoirs

voulue et les éléments de confiance en cette qualité. Envers les clients liés à elle par contrat, l’entreprise doit respecter les clauses contractuelles en matière de qualité, de prix et de délais. Cela constitue pour l’entreprise des objectifs « externes » à atteindre. Il existe aussi des objectifs « internes » qui découlent des obligations de l’entreprise envers son personnel et ses actionnaires (s’ils existent), de façon plus générale envers ceux qui mettent les moyens à sa disposition. Chaque

Il n ’existe donc pas de forme idéale, universelle : l ’environnement se modifie, les organisations se différencient Il n ’existe pas une « bonne » manière de s ’organiser, de travailler Mais plusieurs à déterminer en fonction des caractéristiques externes et internes Toute organisation n ’est pas en soi efficace 8 Une organisation contingente Un construit humain et artificiel avec des buts multiples sinon contradictoires Exemples : un hôpital, une maison de redressement (1) (1) C, Perrow

....... 15  SECT. 2    LES RISQUES RELATIFS A L’ACTIVITE BANCAIRE ................................ 17  2.1 Le risque de marché .................................................................................................. 18  2.2 Le risque de crédit ..................................................................................................... 19  2.3 Le risque Opérationnel ............................................................................................. 20  CH. II : NOUVEL

exogènes, l’entreprise à quatre moyens : - la formation ; - la mobilité interne ; - le recrutement ; - le licenciement ou départ négocié. B- Le recrutement Le recrutement peut être interne (par promotion ou par mutation) ou externe (par embauche). Le recrutement interne encore appelé mobilité interne a ses avantages : - effets stimulant pour le personnel ; - faible coût ; - risque d’erreurs minimum quand au profil requit ; - bonne connaissance de l’entreprise

nouveau dispositif instaurent une nouvelle mesure des risques qui vise à mieux proportionner les exigences de fonds propres aux risques réellement supportés par les établissements et offre le choix de plusieurs méthodes pour la mesure des risques de crédit, des risques de marché et du risque opérationnel. Elles sont complétées et renforcées par les dispositions du Pilier 2 qui définissent de nouvelles obligations de contrôle et de maîtrise des risques et qui renforcent la surveillance individuelle exercée