Dialectique du maître et de l'esclave

de la dialectique du maître et de l'esclave. 6. Qu'est-ce que la reconnaissance d'autrui ? • Je reconnais autrui comme un homme, et en échange, il fait de même... Hegel va montrer en quoi cette thèse est absurde : si je cesse de dominer autrui, si je le reconnais comme un autre homme, alors, c'est lui qui va me dominer ! La reconnaissance est donc, pour Hegel, « une rivalité à mort »  dont l'enjeu est le choix entre la vie et la liberté. Dans la lutte pour la reconnaissance, l'esclave est le

puissance intuitive du récit qui permet de pressentir singulièrement et symboliquement quelque chose qui donne à penser universellement caractérise au fond tout ce qui fait l’intérêt de raconter et d’écrire des histoires. L’auteur d’une histoire semble le maître absolu de son récit puisque l’histoire qu’il écrit peut être réécrite, complétée autant qu’il le souhaite. Mais si l’auteur entreprend de bâtir un récit où agirait une puissance intuitive du récit qui rendrait universel son récit singulier, il devra

au Banquet) présentent la pensée de Socrate, et que le personnage Socrate dans ces dialogues est le personnage historique. Dans les dialogues suivants, Socrate serait un personnage fictif, et la pensée celle d’un Platon libéré de la tutelle de son maître. Ce problème n'est pas seulement une question historique ou de paternité des œuvres. En effet cette distinction induit deux types de lecture possibles des premiers dialogues. Soit que l'on considère qu'ils présentent un platonisme en gestation, dont

désir de l’autre, sera le plus souvent cet obstacle. Dans ce que l’on nomme « la dialectique du maître et de l’esclave », Hegel explique que tout homme recherche la confirmation de sa valeur en tentant d’imposer son point de vue à l’autre. Et cette « lutte pour la reconnaissance » peut aller jusqu’au conflit violent. « Toute conscience, écrit-il, poursuit la mort de l’autre ». Le vainqueur est le maître, le vaincu, l’esclave. POSITIVITÉ DU DÉSIR ?  Les anciens ont bien souvent condamné le désir au nom

naturel. Le “ciel étoilé” nous donne la notion d’infini, Kant représente l’infini de la liberté dans la conscience morale : aucun pouvoir ne peut l’anéantir. Hegel (1770-1831) Le philosophe considère la réalité tout entière comme mouvement dialectique. Toute sa pensée se décomposant tjs en 3 parties : d’abord affirmation d’une idée abstraite (thèse) puis négation de cette même idée (antithèse) et enfin, passage à une affirmation concrète (synthèse : dépassement et unité des deux précédents).

thème de la liberté politique . En effet, le passage que nous avons à expliquer pose le problème suivant : L'esclavage peut-il être légitimé par une loi ? Peut-on justifier l'esclavage par une convention, un « pacte de soumission » entre le maitre et l'esclave ? Rousseau apporte une réflexion selon laquelle la liberté ne peut s'aliéner à aucun prix et que toute loi se basant sur cette aliènation est nulle. La liberté peut se définir par l'absence de servitude et cette loi traduirait la légalité

en cela que consiste le Cogito pratique de Hegel qu’il reprendra par ailleurs pour la dialectique du maître et de l’esclave où , lors de la 3eme phase (le renversement ) , l’esclave se réalise , il prend conscience de son humanité grâce au travail alors que le maître s’enfonce dans l’oisiveté et la jouissance passive et immédiate . Dès lors l’esclave devient le maître du maître et le maître l’esclave de l’esclave . * D’autre part , le travail est épanouissement et expression de l’humanité. Sans

formateur du travail dans la dialectique du maître et de l’esclave que l’on trouve dans la Phénoménologie de l’esprit. Il montre comment l’esclave dominé par le maître va finalement parvenir à s’en libérer par le travail. Au début de la parabole, le maître se contente de jouir passivement des choses, d’user des fruits du travail de l’esclave. Aussi, s’enfonce t-il dans une jouissance passive alors que l’esclave extériorise sa conscience dans le monde. Être un maître sans travailler représente par

symbolise le destin dont le bonheur dépent. La métaphore de la rose est présente dans tout le film, on peut donc penser que l’amour est plus important que le désir. A, Le désir de reconnaissance ●Hegel, La Phénomologie de l’esprit →Dialectique du Maitre et de l’esclave « La conciensce de soi ne parvient à la satisfaction que dans une autre conscience de soi » Le désir suppose la présence de l’autre. Michel Tournier « Vendredi ou les lymptes du Pacifique » dans ce livre Michel Tournier, raconte que

été détourné à travers l’histoire chez La Femme en soumission. B. Beauvoir cite alors la dialectique du maître et de l’esclave. Dans la conscience il y a donc deux pôles : un dominant et un dominé qui ont besoin l’un de l’autre mais de manière différente. Dans cette réciprocité c’est l’esclave qui subit la situation (« l'esclave dans la dépendance, espoir ou peur, intériorise le besoin qu'il a du maître »). En partant de ce raisonnement, l’auteur aborde les questions économiques et politiques