Dialectique Maitre Esclave

« condition naturelle de l’homme » (ARISTOTE) Travail : condition naturelle de l'homme (survie conditionnée par T Soumission à la nécessité Besoins vitaux (animalité) activités non-humaines Poiesis : production, travail (utilité) Vie de labeur, esclaves  pas humains Liberté, s’affranchir des besoins humanité Activités humaines Activités libres (sans dimension utilitaire) Praxis : action par laquelle l’homme se transforme lui-même, peut se développer et s’améliorer (la Morale, la Philosophie

principe du familier, principe du déjà connu. Le but du moi est de détruire le non moi. Le non moi c'est l'autre, ce que le moi ne maîtrise pas et qui le met en danger. Il s'agit de détruire sa propre altérité car Freud dit : « le moi n'est pas le mâitre dans sa propre maison ». La haine de l'autre serait donc le résultat de l'amour de soi = origine de problèmes identitaires Le rapport à autrui est basé sur la discord et l'asymétrie. On fait supporter à l'autre ce qui est insupportable en nous

de garde habitaient en des niches, un peuple de volailles circulait dans l'herbe haute.           Chaque midi, quinze personnes, maîtres, valets et servantes, prenaient place autour de la longue table de cuisine où fumait la soupe dans un vase de faïence à fleurs bleues.      Les bêtes, chevaux, vaches, porcs et moutons, étaient grasses, soignées et propres; et maître Lucas, un grand homme qui prenait du ventre, faisait sa ronde trois fois par jour, veillant sur tout et pensant à tout.      On

déterminer, d’intercepter, de modeler, de contrôler et d’assurer les gestes, les conduites, les opinions et les discours des êtres vivants » (Agamben, 2007 : 31). Notre objectif sera de montrer au final que le jeu du regard peut basculer du côté de la dialectique « couronnement- découronnement » de Bakhtine. Il s’avère avant tout nécessaire de préciser que la condescendance féconde une certaine hégémonie. Ensuite, nous verrons comment le regard ostracisant est un viseur ségrégationniste. Enfin, il sera question

d’intercepter, de modeler, de contrôler et d’assurer les gestes, les conduites, les opinions et les discours des êtres vivants » (Agamben, 2007 : 31). Notre objectif sera de montrer au final que le jeu du regard peut basculer du côté de la dialectique « couronnement- découronnement » de Bakhtine. Il s’avère avant tout nécessaire de préciser que la condescendance féconde une certaine hégémonie. Ensuite, nous verrons comment le regard ostracisant est un viseur ségrégationniste. Enfin, il sera question

est une technique au service d’une existence conçue sur le modèle de celle de l’ignoble tyran Archélaos (p. 178). Le pouvoir de l’orateur sur son auditoire est sans cesse comparé au pouvoir du tyran sur son peuple, c'est-à-dire à un rapport de maître à esclaves. Mais Polos reste un orateur très soucieux de plaire à son auditoire (ce qu’il fut effectivement, semble-t-il). Aussi concède-t-il à Socrate que commettre l’injustice est plus vilain que la subir, afin de ne pas heurter la morale commune.

à l'éphébie et aux autres formes d'enseignement supérieur. Seuls, les jeunes gens riches et doués parcourent toutes les degrés de l'enseignement mais les jeunes filles n'en sont plus exclues, du moins au niveau primaire et secondaire, les petits esclaves y ont même parfois accès. Les écoles restent le plus souvent privées mais l'Etat intervient de plus en plus Il exerce par exemple sur elles un véritable contrôle à l'occasion des nombreuses fêtes religieuses de la cité et des manifestations qui

d’un pouvoir sur soi. - Comment le Pouvoir s’exerce-t-il ? Par quels moyens obtient-il une obéissance, qui peut aller parfois jusqu’à l’acceptation de sa propre mort ? Comment comprendre l’énigme de la domination par laquelle un homme devient le maître d’un autre ? D’où vient le désir de s’emparer du pouvoir et de dominer, si la domination est le noyau et le centre même du pouvoir ? La question du pouvoir nous renvoie ainsi à la nature de la domination. Le pouvoir n’est-il pas finalement un mécanisme

LA SYMBOLIQUE DU NOMBRE 3 Vénérable maître et vous tous mes Frères en vos grades et qualités, Depuis la nuit des temps, les hommes cherchent à prévoir l'avenir grâce aux nombres. Simples caractères mathématiques pour certains, véritables objets symboliques pour d'autres. En tout cas, depuis Pythagore, les nombres recouvrent une portée symbolique et chaque nombre recèle suivant la tradition ou le rite une identité bien précise. Ce soir, nous allons tenter de comprendre le sens du nombre

c'est l'inconscient qui nous pousse à assouvir nos passions. Pour Socrate et Platon, c'est la raison qui définit l'individu alors que pour Callicles se sont les passions. Pour Platon, il ne faut pas suivre ses passions, il faut au contraire rester maître de soi même. Il va montrer que le bonheur et la liberté dépendent de la modération des passions et de la maîtrise de soi, de notre comportement par la raison. b- la tripartition de l'âme : Platon estime que l'âme est divisée en trois parties : désir