Dialectique Maitre Esclave

réhabilitation de l’individu· LE modèle européen (besoin de subventions publiques)· Système de New-York – Le + répandu· Plus conservateur· Travail en goupe, en silence – On ne veut pas reformer la personne, on veut créer une productivité – Devient esclave de l’État· Mise sur la punition – Très peu de réinsertion· LE modèle américain (visées d’autosuffisance des prisons)Des innovations· Groupes d’aide pour les femmes prisonnières· Probation : Initiative privée – Vient d’un cordonnier de Boston – Interpelle

me trompe par ses perspectives , ses brouillards , ses chocs détournés, c'est que je consens , c'est que je ne cherche pas autre chose.Et ce qui fait que le tyran est maître de moi, c'est que je respecte au lieu d'examiner. Même une doctrine vraie, elle tombe au faux par cette sonnolence. C'est par croire que les hommes sont esclaves. Réfléchir , c'est nier que l'on croit. Qui croit ne sait même plus ce qu'il croit. Qui se contente de sa pensée ne pense plus rien." Bachelard, Nouvel esprit scientifique

chrétienne puis Déiste comme le point culminant de cette aliénation des masses populaires D’une manière générale, on retrouve chez Feuerbach, comme chez Marx ou chez Bakounine ce même héritage hégélien de la dialectique historique. En effet, Bakounine présente la réalité politique comme un tout dialectique se développant selon le principe de la lutte des contraires. Toutefois, contrairement à Marx qui laisse prévoir un dépassement historique des contradictions et des aliénations capitalistes, avec une certaine

Socrate qui selon lui, propose une dictature du logos en n’étant lui-même qu’un porte-parole de personnes pleines de ressentiment. Il va rejeter tout de Socrate et de son élève Platon d’où sa fameuse phrase « Avec Socrate c’est trop tard ». La dialectique, voie d’enseignement de ce dernier sera critiquée et il va privilégier la prose, les citations et l’aphorisme comme mode de transmission de sa philosophie. En revanche, il loue l’intelligence des présocratiques qui ont inventé selon lui les grands

GEORG WILHELM FRIEDRICH HEGEL (1770-1831) Dialectique de maître et de l’esclave La conscience est un résultat (1807) La dialectique du maître et de l’esclave que l’on trouve dans la Phénoménologie de l’Esprit de Hegel décrit comment la conscience se transforme en conscience de soi. Faisant de celle-ci un résultat et non une réalité spontanée, elle apparaît comme une critique de la conscience-substance. Toutefois, elle n’invite pas pour autant à se délivrer de toute conscience. Car, si

reconnaît pas que le fou est ce qu'il croit être. Or, la reconnaissance par l'autre ne passe pas simplement par la reconnaissance de l'autre. Il ne suffit pas que je reconnaisse autrui pour qu'il me reconnaisse : tel est le véritable sens de la dialectique du maître et de l'esclave. 6. Qu'est-ce que la reconnaissance d'autrui ? • Je reconnais autrui comme un homme, et en échange, il fait de même... Hegel va montrer en quoi cette thèse est absurde : si je cesse de dominer autrui, si je le reconnais comme

ministère qui a décidé qu’il y en avait besoin, et c’est ainsi que la science de l’éducation fut créée. La création de la science de l’éducation fut un investissement de forme. L’administration centrale a donc mis à disposition des formations des maîtres, donc les cours demeurèrent nécessaires. Le problème fut qu’il y ait la création d’une belle science mais il eut l’obligation de venir écouter les généralités pédagogiques. Comment va s’inscrire cette science de l’éducation dans les sciences sociales 

Cependant le travail peut dans un sens étymologique péjoratif être production de la souffrance : le travail vient de « tripalium », qui signifie trois pieux, c’était un instrument de torture qui servait à bloquer les animaux et à emprisonner les esclaves. Le terme travail, a donc des sa racine un sens associé à l’idée de supplice, torture, d’asservissement de l’homme. Cette idée de peine, souffrance au travail est aussi présente dans le sens biblique. Dans la Bible, le travail est une véritable

conditionne, le dirige. Ici le travail joue un rôle politique ; c’est comme si le travail imposerait des règles que l’individu serait tenu de respecter. Ainsi il l’embrigade, lui et ses pensées. L’homme serait alors à l’image d’un robot obéissant à son maître. En ce sens on peut voir ici une sorte d’atteinte à la liberté individuelle. L’homme ne peut ainsi décider de ses faits , nous dirons même de ses envies. Ainsi le travail constitue une sécurité, empêchant l’Homme de s’exprimer, de s’ouvrir et de se

être exprimé. Il n’y a pas de vide naturel qu’il faudrait combler par la culture. L’homme n’est pas un être de pur artifice. La Culture ne peut rien faire de plus que de révéler et développer les virtualités déjà présentes en chacun. En un sens, le maître n’invente pas l‘homme, il l’aide à se former. De la même manière, le médecin ne créé par la santé, il n'invente pas une chose qui n'existerait pas appelée "santé". Le médecin ne guérit pas le malade, il aide la nature à se guérir. Il aide le malade