Dialogue Argumentation Directe Argumentation Indirecte

adverses y sont anticipés et l’auteur s’attache à en montrer l’inefficacité. C’est le principe du faux dialogue. Dans celui-ci, l’auteur justifie et défend les passions face aux bonheurs irréels promis par les moralistes et les religieux de son temps. Dans une œuvre de fiction, l’auteur peut s’opposer à une thèse et au personnage qui la défend ; par l’écriture, en lui accordant une argumentation moins bien construite ; ou en lui donnant tort dans la suite de l’histoire. Ainsi la littérature peut

d’amour (...) » Dorante : « m’en faire sentir » àHumour, regard amusé du spectateur sur la situation et la relation des personnages II. Le coup de foudre à Enjeu dramaturgique de la scène 1) Le jeu de séduction entre les personnages • • • • Dialogue : duoàaugmentation des rapports de séduction Compliments adressés a Silvia : « La maitresse le veut-elle ? » Isotopie de l’amour (« cœur », « ton amour ») Plaisir dans cet échange : difficultés à partir de Silvia « Faudra t-il que je te quitte

d’affirmer dès la première phrase une opinion, à savoir celle de l’altération de notre langage de manière inconsidérée « notre langue s’altère à un rythme accéléré ». Nous sommes donc face à un texte de type argumentatif. L’auteur étaye son argumentation par des exemples simples et précis « le contenu des e-mails et SMS » « les fautes d’orthographe et de syntaxe » « leurs conversations », qui tentent à persuader le lecteur que notre langue change, qu’elle se modifie, voire même « que le langage

l’auteur analyse et critique les injustices sociales et politiques de l’Angleterre. Il met en scène un dialogue entre des personnages fictifs comme Raphaël (philosophe voyageur). La seconde partie, où seul Raphaël parle, est une description idéale de l’île d’Utopie. Le texte est écrit sous la forme de narration (récit de voyage). Il n’est pas présenté de façon théorique. Il s’agit d’argumentation indirecte. L’auteur décrit une société démocratique où l’égalité est présente sur tous les plans. Plan

concerne les formes de discours, la progression d’ensemble du collège est la suivante : – en 6e : étude de la narration, repérage de l’argumentation ; – en 5e et 4e : étude approfondie de la narration conduisant à y intégrer la description et le dialogue, approche de l’explication, qui prépare l’étude de l’argumentation ; – en 3e : étude de l’argumentation, et poursuite de l’étude des autres formes de discours. 160 I FRANÇAIS Classe de 3e Objectifs de la classe de troisième Dans le cadre

caricaturant ce dont il parleÉmouvant, triste, animé, violent, effrayant...Classer et qualifier un texte:Quand on regardeOn trouveExempleLa forme du texteSon genreRoman, théâtre, poésie...Le but, l’intention de celui qui parle ou écritSon typeNarratif, argumentation, descriptif...L’effet produit sur le destinataireSa tonalitéLyrique, comique, pathétique...FICHE DNB : LE DISCOURSLes textes sont composés de différents types (ou formes) de discours.Le type dépend de l’intention de celui qui produit l’énoncé,

qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais point de vue en soi (on peut toujours être d’accord avec l’énoncé, le contredire ou le nuancer), qu’outre la qualité de la langue, c’est la structure et le contenu de l’argumentation (argument + preuves directes ou indirectes + commentaires) qui importent, et qu’il n’y a pas de modèle de plan prédéterminé non plus (tels le plan dialectique ou analogique, par exemple.) 2.1 LES OUTILS INDISPENSABLES ¾ ¾ ¾ ¾ 2.2 un bon stylo (noir ou bleu); un crayon plomb (pour

ANALYSE D’UN TEXTE Temps du récit : Passé simple => suspens, rythme, accélère, tension Présent narration => « en direct » à l’action Imparfait => description, ralentit rythme, arrière plan Temps de l’énonciation présent => actualise discours, émotion car narrateur intervient, complicité immédiate futur => assurance du locuteur, certitude, dramatiser passé simple => proche, perdure dans présent, vive émotion Pronoms personnels => montrent appartenance / exclusion à un groupe Adjectifs : forte

rapportées discours direct (v. 15 à 33, 34 à 41, 49 à 54) : conserve le dynamisme et l’authenticité à l’œuvre + donne aux paroles du Lion, du Renard et de l’Ane, une vivacité unique + personnification en est renforcée discours indirect (le loup) : perd toute expressivité par son insertion totale au récit ; conjonction « que » + tournure d’obligation « il fallait » renforcent la solennité de ces paroles : le temps n’est plus aux discours mais à la condamnation immédiate discours indirect libre (v. 60) :

travail de décryptage préalable que l’emploi d’un métalangage exagérément technique rendrait nécessaire. ( La première question relève d’une tournure interrogative directe ( «Ce texte vous paraît-il… ? » ou « En quoi/ Pourquoi/ Comment/ Dans quelle mesure ce texte… ? »). ( La seconde question peut être posée de façon plus indirecte ( « Vous vous demanderez si… », «  Vous vous interrogerez sur… ») ou utiliser une formule destinée à orienter la réflexion de l’élève (« Vous réfléchirez à … »).