Dialogue Théatral Comique

plus traditionnel. [LECTURE] [Reprise de la question posée] Ma première partie s’intéressera à la banalité affligeante des éléments qui composent cette première scène puis je montrerai comment cette exposition dévoile une véritable parodie théâtrale. I. UNE BANALITÉ AFFLIGEANTE 1) Des personnages stéréotypés La scène est occupée par un couple anglais portant les noms les passe-partout qu’il soit : Monsieur et Madame Smith, les Monsieurs et Madames «  tout le monde » anglais. Plus tard

multicolores qui est un valet joyeux ) -Colombine ( la villageoise , servante à l ' esprit vif ) -Scarmouche ( le pendant négatif d' Arlequin . Il est vantard est peureux ) -Pantalon ( vieillard avare ) . Ils improvisent des dialogues avec des pantomimes ( attitudes corporelles ) . La tragédie : montre le destin du personnage mythologique ou historique ( avec les termes de la fatalité , du courage , de la passion , devoir morale ... ) Le dénouement est tragique et fini

assiste a des apartés : des petites réplique qui ne sont pas entendus par les autres personnages de la scène mais uniquement par les spectateurs pour ajouter une pointe d’humour (très utilisé en comédie), ou encore le monologue qui est une convention théâtrale, en effet il est assez rare de s’arrêter et de réfléchir à haute voix ! Le monologue est une longue réplique où l’acteur se parle à lui-même, ou au public (comme dans « Electre » de Jean Giraudoux, dans le lamento du jardinier). Dans ces répliques

« absurdus » : ce qui est dissonant, discordant, qui est contraire aux lois de la logique et de la raison. Le théâtre de l’absurde apparaît au XXe siècle, à l’époque de la seconde guerre mondiale. Ce mouvement représente une rupture dans l’histoire du genre théâtral. Les pièces traitent généralement de l’absurdité de la vie (aspect dérisoire de la vie, face à l’échéance inéluctable que constitue la mort). Contexte historique : Les deux guerres mondiales de la première moitié du XXe siècle, et notamment la 2nde

invraisemblables pour eux. Dans la scène XIII, se passe une confrontation entre les hommes et les femmes, à la fois sérieuse et comique. Les hommes ne savent pas quoi répondre aux arguments solides des femmes, de chaque côté, ils utilisent des comiques de mots, de caractères mais ambivalent. Le discours des hommes est très pauvre car à chaque arguments des femmes, ils font un comique de répétition, en répétant la fin de la réplique précédente sous la forme interrogative et n'utilisent qu'un seul argument

(= le cuisinier) le récit burlesque du géant Fracasse et du fourbe Cingar, sous le titre de Macaronées ; il inspira probablement Rabelais. Folengo a fait une parodie de l’Énéide : il est très facile de transposer le modèle épique dans le registre comique. Détails risibles, personnages non héroïques : - il conserve leur rôle aux Dieux : Éole qui « met ses lunettes », est petit « comme un bouchon de Dieu » ; les Vents qui sautent autour de lui… - Importance de la description, avec des détails dérisoires

des élèves de CM1, des rebondissements et une forte interpellation du lecteur qui devient partie prenante de la pièce. Elle peut ainsi favoriser ainsi un contact plaisir avec le théâtre. Ce texte permet, en effet, une approche rassurante du genre théâtral et de ces particularités. ( Pièce résistante : la nature de M. de Guingois n’est réellement identifiable qu’à la scène 16. ( Multiplicité des thèmes pouvant être mis en exergue dans cette pièce pour une mise en réseau : la création, l’humour

de son dépassement par la conquête de l'immortalité, Dionysos est aussi le Dieu du vin, du sexe et de tous les plaisirs charnels. Dans sa forme la plus profonde, le théâtre est un hymne joyeux au corps et l'Univers qui l'a fait naître. Le jeu théâtral est d'abord un jeu tout court. Pour comprendre ce qui peut pousser un groupe d'excentriques à enfiler des costumes étranges et à réciter des paroles décalées devant un public ravi, il suffit de nous replonger dans notre enfance : moi je serais la

Enumération longue et particulièrement ennuyeuse 3)Le mystère est un genre théâtrale apparut au XV° siècle. Il se composait d'une succession de tableaux animés et dialogués écrit pour un public très large, mettant en oeuvre des histoires et des légendes dont l'imagination et la croyance populaire s'étaient nourries. Les miracles étaient des jeux religieux consacrés à la vie des saints. La sottie est un genre de pièce comique en vogue au XIV-XV° siècle, la sottie se définit d'abord par la mise en

dramaturges essayent de tourner la difficulté en lui donnant l’apparence d’un dialogue fictif, qui peut devenir un véritable polylogue, comme dans Amphitryon, où Sosie répète en comédien le récit de la bataille qu’il doit faire à Alcmène et où il interprète plusieurs rôles. Le monologue révèle en effet des traits dialogiques récurrents ; comme poussé par un mouvement naturel de la parole qui se veut adresse, il devient dialogue lorsque sont convoqués ou invoqués des interlocuteurs imaginaires, qu’il