Dictature De La Vertu Robespierre

séries des lois par exemple tout le long du 19ème siècle (loi des portes et fenêtres). Période également très agitée : apprentissage du mouvement politique. Nous sommes également dans la première république (plutôt dictatoriale). Après la mort de Robespierre, deux tiers de l’assemblée peuvent êtres réélus. La période du consulat dure jusqu’à la proclamation de l’Empire 1804. Elle annonce également la période suivante, avec de futures réformes durables. En 1800 (l’an 8) ; Napoléon Bonaparte arrive

où règnent l’intérêt et les passions, serait la proie de tous les autres et mettrait par là même en danger le peuple qu’il est chargé de représenter. Le réalisme conduit donc à juger des hommes sur leurs actes et non sur leurs intentions ou leurs vertus. Mais s’il en est ainsi on comprendra que l’idée d’action pose un certains nombre de problèmes. Si en effet l’action politique ou économique se caractérisent par la recherche de l’efficacité, on peut se demander si la réussite de l’action ne conduit

France ? » La transformation du statut juridique des gouvernants L’institutionnalisation du pouvoir politique a des conséquences sur le statut juridique des gouvernants. Elle ne découle plus d’une seule personnalité. Il existe un droit à gouverner en vertu de la constitution qui détermine le statut juridique des gouvernants. Au début ce droit à gouverner était une puissance exercée par contrainte physique et elle va devenir souveraine. La constitution de l’Etat est l’œuvre de la souveraineté, elle peut

La révolution française (état plus puissant au monde) de 1789 [Invention moderne, idée compliquée ; liée au progrès à la modernité récente], à l’origine d’inspiration libérale et anticléricale, a inauguré 2 siècles de révolutions. Les Jacobins (Robespierre, Saint-Just) ont théorisé et pratiqué le terrorisme politique durant la période de la Terreur (radica lisme). La guillotine fut le symbole de l’égalité et du pouvoir révolutionnaire. La devise complète de révolution était « Liberté, Egalité,

tirée de l’étymologie latine, qui reviendrait à définir la démocratie comme étant « le pouvoir au peuple, par le peuple et pour le peuple », est biaisée. Instinctivement, la plupart des personnes qualifient les Etats-Unis de démocratie et l’URSS de dictature. Cependant avec une telle définition (« pouvoir par le peuple »), l’URSS apparaît bien plus démocratique que les sociétés occidentales où l’abstention aux élections se rapproche souvent de 40%. On trouve une définition possible de la démocratie

connaitre des évolutions importantes : avec deux textes constit : la constit de l’an 1 (23 juin 1793). Cette constit sera adoptée mais ne sera jms appliquée. Cette constit fut la plus démocratique que la France n’a jms connue. Puis après la chute de Robespierre : deuxième expérience républicaine : la constitution de l’an III (22 aout 1795). C’est cette dernière constit, que le coup d’Etat du 18 brumaire an 8 met fin. [Ligne principale de l’an III : pour comprendre pk le coup d’Etat ?--> le régime

selon lesquelles les particuliers entretiennent des rapports de manière individuelles ou collectives. Cette distinction entre droit privé et le publique, est fondée sur trois critères fondamentaux : le critère organique (institutionnel ) : en vertu duquel la qualité des personnes en cause permet de déterminer la nature juridique des rapports crées . Ainsi les rapports entre un état et ses citoyens ou d'un état avec un autre état sont en principe des rapports de droit publique tandis que les relations

Etats fédérés signifient qu’ils disposent d’une sphère de compétences propres dans laquelle l’Etat fédéral ne peut s’immiscer. En vertu du principe d’autonomie, les Etats membres de la Fédération ont leur propre Constitution qui doit respecter la Constitution fédérale, leurs propres lois et leurs propres organes législatifs, exécutifs et judiciaires. Toujours en vertu de ce principe, les Etats fédérés disposent de compétences propres. La Constitution de l’Etat fédéral va répartir les compétences

impossible d'instituer un contrôle de constitutionnalité. Si le peuple est souverain, il n'est pas possible normalement de censurer les textes qui émanent de ses représentants. L'idée de la souveraineté de la loi va dominer le système et c'est en vertu de ces principes que la France a pendant longtemps été privé d'un contrôle de constitutionnalité. Sous la 4e République, le contrôle de constitutionnalité existait mais si la loi était déclaré contraire à la constitution, c'est la constitution qui

peuple est souverain, il n’est pas possible de censurer les textes qui émanent de ses représentants. Dès lors, c’est l’idée de la souveraineté de la loi et par la même de la souveraineté parlementaire qui prédominent sous les IIIe et IVe République. En vertu de ces principes, la France a été privée d’un véritable contrôle de constitutionnalité jusqu’en 1958. Sous la IVe République, ce contrôle existait ; mais si la loi était contraire à la Constitution c’est la Constitution que l’on devait modifier.