Diégèse

d’un type). Description de choses. Description de lieux : topographie. Description de temps : chronographie. Description d’animaux et de plantes. Les écueils de la description (du point de vue du descripteur) : Justifier la rupture avec la diégèse Eviter le statisme La description ne doit pas apparaître comme un surplus inutile Méthode d’analyse : L’analyse d’une description tourne autour de trois questions majeures : 1. Son insertion dans le récit 2. Son fonctionnement 3. Sa / ses

Marais ne peut qu'être silencieux, il ne supporte pas le bruit de la cordonnerie de son père et c'est dans une faible lumière de bougie qu'il décide de devenir violiste; de remplacer sa voix par la voix de la viole. p 44 Le silence, élément de la diégèse, est donné à entendre dans le film ; soit par le biais de la voix off qui discrètement accompagne les actions des personnages muets (construction de la cabane), ou encore par la présence de scènes entièrement muettes. (Début chez Baugin, 1ère apparition

documentaire, les personnages vont narrer, et parler d’eux-même en voix-off sur des images qui illustrent leurs propos ou leur personnalité, autrement le son est synchrone, les musiques et les effets sonores appartiennent pour la plupart du temps à la diégèse. Il est à noter que nous avons au cours du film des images d’un groupe de jeune qui vandalise un lieu, buvant de l’alcool sans avoir l’âge légale pour le faire ou alors des images de différents jeunes s’envoyant entre eux une photo d’une jeune fille

l'importance du thème dans le contenu d'une œuvre, qu'elle soit d'ordre narratif, dramatique ou discursif."[10] Ainsi avons-nous classé les titres des romans formant notre corpus en deux catégories : les titres-espace qui mettent en relief l'espace de la diégèse dès le titre : Tlemcen ou les lieu de l'écriture, Le Désert sans détour. Et les titres-personnages qui désignent explicitement ou implicitement le personnage central du récit : Habel, Salem et le sorcier. De tout ce qui précède, nous pouvons à

spectateur ne connaît l’origine de la fascination d’Antonio pour Pablo, même s’il est facile d’imaginer que cela pourrait s’expliquer par la notoriété publique du réalisateur fictif. Ce que l’on voit est qu’Antonio essaye depuis le tout début de la diégèse de s’approcher de Pablo, en passant près de lui, en lui surveillant depuis un coin obscure dans les fêtes qui suivent les projections de ses films. La détermination avec laquelle Antonio poursuit Pablo, et la séquence où, après une de ces projections

dissimulés dans leurs verre de laits, ces figures, se travestissent, le jour, mais le soir, malgré leurs déguisement c’est la haine qui met ses figures à nu, afin d’y voir la violence et l’animosité qui se conjugue à travers leurs actes. C’est la diégèse même du film « Orange Mécanique », les individus, malgré leurs degrés d’animalité, la société passe toujours au niveau supérieur qui réduit ces individus aux conformismes exigés. Le film tourne autour du thème de la violence, la sexualité abusive

auparavant, les mœurs de l’époque ont été posées de manière comique, on fait de la pièce une satire de la société du 17ème en exagérant ces valeurs et ces mœurs pour qu’elles fassent rire. Elle ne touche pas le fil de l’histoire car cela ne change pas la diégèse à proprement dit, c’est un humour exclusivement réservé aux spectateurs ou aux lecteurs. Conclusion : Ce qu’il faut retenir de cet exposé et que le tragique, bien que camouflé par Molière, représente une part importante de sa pièce. Il est

forme de regard est un moyen, dit-on, qui lui permet d’ « entrer dans un monde d’êtres qui se montrent », en l’occurrence celui des protagonistes de Casablanca, où a eu lieu la fameuse émeute de mars 1965 qui constitue le fond historique de la « diégèse », et leurs opposants. C’est par le truchement de l’œil que s’effectue le voir, lequel est, comme disait Merleau-Ponty dans L’œil et l’esprit, « la fenêtre de l’âme sur le monde ». Donc, une opération par laquelle le sujet regardant accède à la compréhension

voix, le procédé porte généralement des distorsions au contenu et au sens des messages (ex : le cas des proverbes dans les films africains). b) Le commentaire : Il s'agit d'un narrateur qui n'a pas de lien avec l'histoire racontée (la diégèse). C'est le cas bien sûr des documentaires ou aussi des films contes de fées dans lesquels un narrateur explique la situation. Sa principale fonction : introduire le sujet, servir à l’auteur du film pour commenter les images ou au héros principal

De surcroît, il n’y a aucune trace humaine sur l’image, ce qui contribue à créer l’impression de la nature à l’état sauvage. Cependant, chaque fois que surviennent de grandes marées durant les quelques mois que traverse la diégèse du roman, arrive sur le lieu insulaire de l’action un nouveau personnage qui manifeste à sa manière la mentalité de consomma- tion, sinon un courant social contemporain : pour le lecteur, le phénomène maritime devient indissociable de cet événement