Diérèse

de construction classique puis dans un deuxième temps nous verrons quelles qualités doit posséder le poète classique. I- Rigueur de la construction. A. Versification/rimes/syllabes. Alexandrins (12 syllabes)  « Mélodieux » ; « vicieux » diérèse. Le poète doit concentrer ses effort sur la versificationil alterne de façon très rigoureuse, équilibrée, les rimes féminines et masculines. Il n’y a que des rimes suffisantes2 sons en commun « sacrée…révérée » Et des rimes riches3sons en communs

parole, de faire quelques hyperbole alors que le Roseau ne fait rien de ces choses la. Il fait des réponse brèves, sans exagération qui est tout le contraire du Chêne. Le Roseau emploie les pronoms personnels « je » et « me ». On remarque vers 18 une diérèse « Votre compassion ». Il fini son discours un peu en attende, un défi peut être avec le Chêne car ils attendent la suite. (Vr24) « Mais attendons la fin » Le Chêne et le Roseau laisse place a la nature qui « fait son travail ». Pour la morale, elle

; inégalité des rapports de force : innocence, simplicité, souffrance. - Personnification v.33 - Allitération en r v.56 - Multiplication des questions rhétoriques qui expriment le désarroi, le doute des Germains. 3) Moyens poétiques - diérèse v.48 « violence » : vers octosyllabe - Rimes plates : v. 64, 65, 66 - Rimes croisées : « jours, misère, retour, sévère » - Rimes embrassées : v.35, 36, 37, 38. La Fontaine essaye d’éviter la monotonie. - Alexandrins, décasyllabes, octosyllabes

agréable, ensemble mélodieux - Introduction des dialogues - Don de la parole aux animaux = agaye la lecture - Vers de longueurs différentes - Rythmes différents - Métrique variée (12-8-3 syllabes) - Diérèse v.24 : con|sci|enc|e - Rejet v.29 : Le Berger (v.28 : manger) - Respect règle d’alternance entre rimes F et rimes M = histoire attrayante - Humour + Ironie du fabuliste - Association des personnages aux personnes de

Rimbaud fait tout une critique de ses aventures amoureuses d'adolescent encore bien naif.La nature propice aux sentimentsOn n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et termine le poème apparait comme la raison de ses échecs amoureux. La diérèse sur sérieux traduit l'insistance sur cet âge ingrat et naif fait d'illusions, de chimères et de maladresses. Le pronom "on" donne une universalité à sa pensée dans laquelle tout lecteur peut se reconnaitre. Déjà dans "les réparties de Nina" on notait

»cérémonie » évoque une ordonnance esthétique. v.44 « convoi » évoque l’ordre. V.46 « les Champs-Elyséens » est un endroit aisé. Rime v.9-10 : cérémonie/compagnie. Proclamation au style indirect, style administratif renforcé par « prévôt » v.8. Diérèse sur « lion » v.1 en octosyllabe. Paraphrase : « la femme du lion »/ lionne. v.26 « la reine » v.37 évoquant la noblesse qui indique un rang, placé en haut de la hiérarchie sociale terrestre. Elévation de type religieux. B) L’emploi du passé

éloigne comme l'eau sépare les deux côtés du pont ; impératifs "rsetons" et insistance sur leur union avec les répétitions "mains dans les mains" - opposition entre lenteur et violence : allégorie avec l'Espérance et insistance sur la douleur avec diérèse dans "violente" -> effort sonore qui montre une intensité - difficulté à ce que la plaie se referme : évocation de sa souffrance amoureuse -> structure particulière et important registre élégiaque II ) Poème incantatoire A) Musicalité - écoulement

) Au vers 5, on note l’euphémisme « finir sa carrière », au lieu de « toucher à sa fin », Au vers 6, « chéris » est utilisé pour qualifier les flots. le poète transpose sur la nature les sentiments qu’il éprouve pour Elvire. « Elle » est une diérèse qui met en valeur le pronom personnel qui représente la femme aimée. Il étire le mot comme pour combler son absence. Le vers 7 montre le regret, le désir de retrouver son absence. Le mot "seul" montre la solitude dont il souffre. champ lexical

La distance présente dans le texte de Shakespeare se retrouve enfin dans la scène d’Hernani : la mort est mentionnée par Don Carlos annonçant le décès de l’Empereur Maximilien. Mais, alors que le sujet est très grave (ce qu’indique d’ailleurs la diérèse sur le prénom : « de MaximilIen… »), les attitudes sont partagées : Don Ruy Gomez, d’une part, vieux duc grave et choqué, dont la réaction correspond à son âge : « Raillez-vous… ? », où l’interrogative marque l’effet produit par la nouvelle et son

suffisantes également. Anaphore du mot « seule » dans le deuxième quatrain. Allégorie du mot « Vie » au vers 11. Allitération en « r » et en « t » dans le premier vers qui le rend dur. Beaucoup d’enjambements (vers 1, vers 3, vers 5, vers 10, vers 13). Diérèse au vers 14 dans le mot « inflexion ». Analyse : L’auteur, qui parle en « je », s’adresse à un « tu » qui nous est inconnu et qu’on ne sait pas si il existe vraiment ou si il apparaît que dans le rêve. Mais le mot « Hélas ! » au vers 6 nous montre