Diérèse

prennent pour des héros. Guidés par des instincts primaires. 2. Le sens de la morale - Il est inutile de se venger, la vie s’en charge elle-même. - Quand on gagne il vaut mieux se taire, sinon on risque un retournement de situation. - La diérèse sur « Défions » insiste sur l’importance de la méfiance. Conclusion La parodie dans la fable Les deux coqs est donc double, le texte présente les coqs comme des héros d’épopée, mais les coqs sont aussi comme des hommes arrogants, prêt à défier

lumière : été = lumineux ; hivers = obscur - Eté trop court, B insatisfait car n’a pas pu accomplir tt ce qu’il devait accomplir → sentiment d’échec - V15 : Rythme : 2-4//2-4 → c’était (été)/ voici (automne) → opposition passé/présent + hier = diérèse et césure + ponctuation très forte → V15 = point culminant de la crise. - Connotation négative de la femme : Elle ne pourra jamais remplacer l’été : oxymore « lumière verdâtre » -  Regret, nostalgie de l’été, mort définitive de l’été, sentiment

le souvenir et le regret (‘’coule’’,’’souviennent’’). Le présent du subjonctif qui exprime le souhait ’’reviennent’’, le souhait du retour aux rencontres amoureuses. -Evolution de l’amour jusqu'à son atténuation ‘’restons,’’passe’’, ‘’lasse’’ -Diérèse : violente qui veut dire vie eau lente (jeu de mot qui montre un rapprochement entre les sentiments de l’auteur, la nature et le temps. B- La mélancolie -la fuite de l’amour ‘’l’amour s’en va’’ et la désespérance ‘’l’espérance est violente ‘’

et la vivacité du récit. 1. Le portrait du roi a. La puissance du roi On peut voir cette puissance d’emblée, dès la première ligne : « Sa majesté lionne ». Nous avons ici une ouverture sur deux alexandrins avec un enjambement. On note des diérèses : « li-onnes, nati-ons ». On remarque que le pouvoir du roi est d’origine divine, qu’il a des vassaux, un sceau et un palais royal (le Louvre). b. Un roi qui veut connaître ses vassaux Il n’établit pas de hiérarchie entre ses vassaux de « toute

d’habitude : dans le dernier tercet : 11 / 12 / 13 / 14 b. Incertitude et caractère aléatoire du destin : - Lexique de l’incertitude : « Fortune », « bizarres », « jouet », « volage » - Césure irrégulière : « Fortune » - Diérèse et césure irrégulière : « jouet » - Comparaison : « comme un jouet » - Paradoxe : le dernier élément qu’il craint est son élément d’origine - Lexique de l’illusion : « voile » / « Etoiles » mis en évidence à la rime - « superbe »

Élyséens » (V.46) qui signifie en fait une partie du monde souterrain - des Enfers - le lieu de délices, l’île des bienheureux, il fait référence à la mythologie grecque et crédibilise par ce moyen son propos équivoque. Le poète utilise de nombreuses diérèses, mais la plus marquante me semble être (V.50) à crier, on peut voir à la suite une reprise champ lexical de la divinité « miracle, apothéose » (il y avait des termes de ce même ensemble (V.35à V.38)« profanes »,« sacrés »,« immolez »,« mânes »…)

24 le roseau parle, il répond aux phrases du chêne, Intervention moins longue et moins structurée mais aussi importante. Faiblesse du roseau uniquement apparente car sa force vient de la souplesse, ce qui lui confère de l’habileté. Vers 18 -> Diérèse sur le mot « compassion » Le roseau rejette la charité du chêne, il montre également qu’il est sûr de sa propre force. Vers 21 -> Prise de confiance progressive du roseau, mais n’arrive pas à égaler le chêne. Dernière parole du roseau : « Mais

évidence pour le poète dans son argumentation lyrique, en effet une personne « normale doit aimer » sinon elle mène une vie de Scythe, analogie pour Ronsard, les barbares eux ne peuvent pas aimer !, les grecs le savent depuis l’Antiquité !, de même la diérèse du vers 9 « bi-en »va dans ce sens. L’enjambement qui fait passer du premier au deuxième tercet, insiste sur le fait que celui qui n’aime pas se prive de « la douceur des douceurs», superlatif qui est donc une hyperbole qui montre l’intensité des

n’est défini que par sa taille. v.3 Pronom personnel (« elle ») en début de vers : marque l’opposition physique entre les deux animaux. Comparaison péjorative et forme négative. Commentaire ironique du fabuliste. v.4 « envieuse » : terme abstrait et diérèse + coupe (début de vers) : mise en valeur du défaut de la grenouille. Long effort marqué par de nombreux procédés : nombreuses coupes ; allitérations en /s/ et / / ; répétition du coordonnant « et » ; formes pronominales ; rythme ternaire ; gradation

« spleen ») qui accable le poète. Nous étudions ici le 4e et dernier. Lecture : Attention au rythme, à faire entendre la montée inexorable dans la succession des subord. circ. de temps ; à faire entendre les enjambmts (surtout celui des v.11-12), la diérèse sur « opini-â-trement » au v. 16, les [i] grimaçants surtout ds les deux derniers quatrains, le hiatus disgracieux du v. 14 « affreux hurlement » (pas de liaison), le martèlement des vers 13 et 16 Des cloches tout à coup sau tent a-vec fu-rie