Diérèse

le à ce tt e o rd u r e, A ce tt e ho rr i b le infe c tion, ». Et la diérèse sur « infection » fait résonner l’avertissement. Les vers 39 et 40 offrent un contraste ironique avec l’énumération de qualificatifs amoureux stéréotypés, empruntés au vocabulaire des romantiques : « Etoile de mes yeux, soleil de ma nature » . Hyperboles

Peuple caméléon + peuple singe = l’attitude des courtisans avec le Roi * « être, paraître, maître » = les courtisans ne sont pas dans l’être mais le paraître à l’image du maître. * Manque de sincérité = « consolation et affliction » (les deux diérèse) « Compliment » est ambigüe + « aussitôt » montre l’hypocrisie * Insensibilité des courtisans = opposition : « triste, gais » « prêt à tout, à tout indifférent » * Les courtisans sont des mécanismes = allusion à la théorie de Descartes

Pernelle, ce portrait offre toutes les caractéristiques de l’éloge (« homme de bien », v. 42, repris au v. 78), avec un champ lexical mélioratif qui le rattache à la morale religieuse :  « chemin du ciel » (v. 53), « ses ordres pieux » (v. 78, avec diérèse), « contre le péché » (v. 67), « l’intérêt du ciel » (v. 78). Tartuffe est présenté dans le rôle de directeur de conscience qui doit conduire la famille dans la voie du salut et de la vertu, ce qui rappelle le rôle joué dans les familles importantes

vers «  tout suffocant et blême.. » et au 2 derniers vers, 17 et 18 : « pareil à la feuille morte ». 2) La souffrance du poète Le poème a pour thème la souffrance. Le poète parvient à faire entendre une plainte dans le rythme et les sonorités. La diérèse a pour rôle d’allonger le mot « violon ». Le poète se présente sous une métonymie. La langueur, fais penser à un abattement et à la tristesse. La souffrance morale du poète se voit sur le plan physique. Le mot «  pleure » renvoi au champ lexical du

aucune moralité explicite à sa fable. Dans sa fable, les animaux semblent présenter des personnages de la cour du roi : le lion est ici présenté comme le roi, qui abuse de son pouvoir et sa supériorité comme nous indique le discours direct et la diérèse au vers 12. Les courtisans, ici présentés par les trois herbivores de la fable à savoir la génisse, la chèvre et la brebis ne sont pas épargnés par La Fontaine. En effet tout comme Du Bellay, La Fontaine critique leur manque de bon sens et leur hypocrisie

il compare sa petite maison familiale aux grands palais de Rome fait en matériau luxueux comme s’il il trouvait cela superficiel : vers 3 : « Plus me plait le séjour qu’ont bâti mes aïeux, que des palais romains le font audacieux », d’ailleurs, la diérèse employée sur le mot « audacieux » accentue cette idée de mépris de la ville de Rome. De plus, il utilise une anaphore accompagnée d’un déterminant possessif afin de comparer Rome à Liré toujours en montrant la supériorité de Liré à ses yeux : « Plus

d’une consonne doit être compté. Je| m’ap|pro|chai :| -Dis| moi | si| tu| veux| quel|que | chose 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 Attention : Le poète peut faire prononcer en deux sons ce qu’habituellement on ne prononce qu’en un seul : c’est une diérèse. Cf « Le Pont Mirabeau », d’Apollinaire, où « violente » compte 3 syllabes au lieu de 2 : « Et / com/ me / l'Es /pé / ran / ce est / vi / o / lente. » 2- La strophe Une strophe regroupe plusieurs vers entre deux espaces blancs. Le quatrain est

à petit. La rupture avec Marie est remarquable entre la 3ème et la 4ème strophe : « Comme la vie est lente et comme l’Espérance est violente » (vers15 et 16). Il y a une sorte de contradiction entre « vie est lente » et « vi-o-lente » qui est une diérèse. L’espérance est dotée d’une majuscule pour montrer une fois de plus, la violente rupture. Le verbe « passer » est répété sous plusieurs formes : « Passent et passé » (vers 19 et 20). Puis les négations présentes aux deux derniers vers de la 4ème

mariniers ».4)C’est un voyage imaginaire car il dit « les deux yeux fermées »,donc il est dans un reve.Texte 71)Les refrains pourrait rapprocher ce poème d’une chanson.2)Le pont pourrait etre le symbole des bras.3)IL insiste sur cet adjectif grace à la diérèse .4)Voici le champ lexical du temps :« heure » « jours » « semaines » « temps » Le temps pourrait etre symbolisé par l’eau.5)La souffrance d’Apollinaire est du à l’amour.Texte 81)La femme est associé à un rond car le poète est protégé par la bulle

d’aventure Quand il évoque Rome, il évoque son désir d’aventure et son admiration pour la ville. Les outils utilisés : registre soutenu voire oratoire + phrases exclamatives et apostrophe (vocatif latin) avec un rythme ample : coupe à l’hémistiche / diérèse vers 10 en fin de vers + rythme à l’image de son enthousiasme Désir de garder ses racines Il évoque son Anjou natal avec tendresse, nostalgie regrets ( titre du recueil) il ne veut pas l’oublier. Les outils utilisés : niveau de langue familier :