Diérèse

fait tout une critique de ses aventures amoureuses d'adolescent encore bien naif. La nature propice aux sentiments On n'est pas sérieux quand on a dix-sept ans qui commence et termine le poème apparait comme la raison de ses échecs amoureux. La diérèse sur sérieux traduit l'insistance sur cet âge ingrat et naif fait d'illusions, de chimères et de maladresses. Le pronom "on" donne une universalité à sa pensée dans laquelle tout lecteur peut se reconnaitre. Déjà dans "les réparties de Nina" on notait

vers : décasyllabe Demain, dès l'aub(e), à l'heur(e) où blanchit la campagn(e), Nombre de syllabes : 12 ; nom du vers : alexandrin Et/ j'i/rai/ loin, / bien/ loin, / com/me un/ bo/hé/mi/en, Nombre de syllabes : 12 ; particularité : bo/hé/mi/en : diérèse On peut rythmer, à la lecture orale, un alexandrin en plusieurs parties ; la pause légère s’appelle la coupe. Lorsque la coupe est au milieu, c’est la césure et chaque partie de l’alexandrin s’appelle un hémistiche. Demain, dès l'aube, à l'heure //

de l'étape IV : tout cela n'était donc que passager (l'amour est de courte durée : juin-juillet-août), l'adolescent amoureux et rêveur est donc utopique : sa vie est comme soumise à un cycle : amour, routine, amour, routine, etc...      .....4) Diérèse ("sé/ri/ieux") + négation ("On N'est PAS sérieux") + pronom impersonnel ("on") .......... -> Au début comme à la fin du poème, c'est-à-dire aux deux extrémités du cycle dans la vie du jeune homme, il y a l'importance du sérieux : c'est la façon

disposition typographique qui lui confère à statut particulier. Les blancs typographiques qui donnent au texte ce caractère fragmenté, brisé qui renvoie au titre de l’œuvre : Lambeaux. Les lignes 2, 3 et 4 constituent trois vers : deux octosyllabes (avec diérèse dans va / ill / ante) suivis d’un alexandrin qui donne une ampleur lyrique à la désignation des mères. Cette disposition spécifique à la poésie se retrouve en fin de texte dans l’ultime phrase à la ligne 21. IL s’agit d’une série de versets[1] construits

1er vers est paradoxal car les 1ers mots du poème sont «  A la fin » => Il a derrière lui un passé qu'il rejette. + On ressent sa lassitude « tu es las... » Un sentiment de honte « la honte te retient » ==> Un désir de changement. Une diérèse allonge ce « monde ancien » + c'est un alexandrin => Un désir de nouveauté par encore réalisé. Au début du poème on est «  ce matin » « Bergère O Tour Eiffel » = Une image ancienne qu'il actualise avec «  Tour Eiffel »==> Il remet en question

ressemblait comme un frère » 3°) Des tête-à-tête privilégiés Champ lexical de la solitude + répétition de « vint s’asseoir » II Des liens ambigus et contradictoires avec le poète 1°) Empathie pour le poète Adjectifs « morne et soucieux » (avec diérèse sur « soucieux ») chez le double qui font écho à « pleurant » chez le poète+ « de ma peine il semblait souffrir » = antéposition du COI montrant que la souffrance de l’autre prime 2°) Un guide pour le poète, porteur d’un message Les groupes verbaux

les « sauvages » de l’histoire. Cette description intensifie le contraste entre les vautours et les pigeons, dont ces derniers sont représentés par un « col tendre et fidèle ». Le fabuliste nous met en avant ce contraste, lorsque nous lisons la diérèse « compassion ». Celle-ci insiste sur le mot dans la présentation, et laisse clairement au lecteur les caractéristiques de chacun de ses personnages. La Fontaine met donc l’art de raconter une petite tragédie, en mettant également une présentation

leur condition ou la fête qu’est la splendeur de la nature. Le dernier vers souligne l’insignifiance de l’être humain par rapport à la magnificence du «monde», opposition qui est appuyée par les deux diérèses qu’il faut prononcer : «ri-en» pour l’insignifiance et «radi-eux» pour la magnificence, diérèses par laquelle l’alexandrin est en quelque sorte allongé. Musset s’est moqué de l’importance donnée par Victor Hugo au théme des «soleis couchants» : «Monsieur Hugo va voir coucher Phébus le blond

LLN°2 Le poème « Une Charogne » est extrait de la section « Spleen et Idéal » des Fleurs du mal .Il fait partie des poèmes censurés lors du procès fait à Baudelaire pour « offense à la morale publique et aux bonnes moeurs »lors de la publication des Fleurs du mal . le titre du recueil « Les Fleurs du mal » qui est un oxymore affirme qu’il existe une beauté propre au mal et que l’on peut extraire de la beauté de la laideur.Le poème « Une charogne » illustre parfaitement cette conception selon laquelle

dernier mot de la phrase, précédente Antithétique : opposé Manichéisme : opposition de deux termes Mètre : en poésie, il définit le nombre de syllabes dans un vers. Synérèse : regroupement de deux voyelles = deux syllabes ( Vio+lon) Diérèse : détachement de deux voyelles = deux syllabes ( Vi+o+lon) Cesure : coupure dans un Alexandrin ( 12 a 6) = HEMISTICHE Rimes plates : AABBCC Rimes Croisées : ABAB CDCD Rimes Embrassées : ABBA CDDC. Apologue = fable : Récit suivi