Différences Condamnation

refusent la qualité d'être humain aux noirs > Le ridicule des préjugés remarques superficielles concernant le physique. Importance du lexique du corps : « pieds », « tête », « nez si écrase », « corps tout noir ». → Arguments basés sur des différences physiques = racisme, accentué par la phrase « ils ont le nez si écrasé qu'il est presque impossible de les plaindre ». > Justification par la religion « On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis

Les victimes sont des civils, ils sont plus faibles. Il y a une grande diversité des morts : vieillards, femmes, filles. C’est une vision amplifié avec le champ lexical de la violence « égorgées, brûlés, criblés de coups… ». Il y a également une différence entre les victimes et la violence qu’ils ont subies : les vieillards sont criblés de coups, les femmes égorgées et les filles éventrées et violées. Ces actions sont subis -> utilisation du participe passé. Assonance en « é » est comme une obsession

principe de la non-discrimination a l’embauche et à l’emploi. Après avoir défini le principe général de non-discrimination, j’expliquerai à l’aide d’exemple concret la notion de discrimination à l’embauche. Je montrerai ensuite que certaines différences de traitement peuvent être tolérées. Pour terminer j’indiquerai les recours possibles et les sanctions encourues par les employeurs. Est tout d’abord baser sur des décision de l’employeur (embauche, promotion, sanctions, mutation, licenciement

jadis (L.2) → Repères imprécis. - La guerre → Evénement vague. ≥ Anecdote purement symbolique destinée à illustrer deux comportements. 2. Une opposition qui structure tout le récit. - Champ lexical du conflit. - Figures qui soulignent les différences : parallélisme et antithèse (vers 3-4 et 36-37), répétitions de « l’un » et « l’autre ». - Déséquilibre entre les deux personnages : ● Un bavard → Monopolise la parole pendant la moitié de la fable. ● Un silencieux (vers 31). 3. Evolution

| | |- les circonstances atténuantes. | | |12 |L’Extinction de la Peine et l’Effacement des condamnations |95 | | |- le décès du condamné. | | | |- la prescription

et déforme l’homme. I. Sommes-nous tous des esclaves ? a) Réflexion sur la pénibilité du travail  Pourquoi percevons-nous le travail de manière négative ? 1) Illustration du problème à l’aide de l’argument religieux : le travail est une condamnation divine (cf. Genèse 3 :17-19 : Il dit à l'homme: Puisque tu as écouté la voix de ta femme, et que tu as mangé de l'arbre au sujet duquel je t'avais donné cet ordre: Tu n'en mangeras point! le sol sera maudit à cause de toi. C'est à force de peine

vaine peinture », celle de Cassandre indifférente face à son amour désespéré. L’amour est donc dans ce poème l’objet de toutes les contradictions. Il est à la fois nécessaire au poète mais il est également sa plus grande souffrance et sa quasi condamnation. Cette conception de l’amour est notamment mise en évidence par l’élaboration d’une métaphore filée qui, tout au long du sonnet, associe l’amour à la nourriture. A la fois nécessaire au poète, elle ne le rassasie jamais le soumettant alors au jeûne

Toundi et sa compréhension du monde qui l'entoure. a cruauté de son père.             L'évolution du personnage principal est flagrante lorsque l'on se penche sur le vocabulaire qu'il emploie. Dés le début du livre, le lecteur est frappé par la différence de registre entre l'introduction du texte qui se trouve être en fait la fin de l'histoire, et le début du premier cahier de Toundi.              Certes, le journal commence alors que Toundi est enfant. Le vocabulaire employé montre une ignorance

rejaillit sur la morale. 1ère différence : source du droit et de la morale : * Source de la morale relève de la conscience (intérieure à chaque individu) * Source du droit extérieur au individu et issu de la volonté de certaine autorité 2ème différence : les sanctions : * Condamnation morale ne touche que l’intériorité de l’individu (honte, remord…) * Violation du droit, elle se caractérise par une condamnation extérieure (ex : prison, amende…) 3ème différence : le droit et la morale

au jour des faits. Paragraphe 2 : L'intention criminelle L'intention criminelle, on peut rassembler deux grand concept de la loi pénale qui sont la culpabilité et l'imputabilité. Mais en matière civile il existe aussi la culpabilité mais la différence avec le pénal si qu'il n'y a pas de responsabilité sans faute. Et il existe aussi en droit civil l'imputabilité. L'intention criminelle est une condition relative à la psychologie du délinquant qui a commis une faute qui doit lui être imputable