Dimanche Paul Claudel

sont favorables : « Parente éloignée de la mère de Victorine, qui jadis était venue mourir de désespoir chez elle, Mme Couture prenait soin de l'orpheline [Victorine] comme de son enfant. »; « La bonne femme menait Victorine à la messe tous les dimanches, à confesse tous les quinze jours, afin d'en faire à tout hasard une fille pieuse. »129 Mme Couture se distingue par ses actes de générosité et de piété. Sa protégée a quasiment la même attitude. Victorine Taillefer se distingue par des sentiments

marquée par les habitudes de sa vie de petit employé de bureau, qui semble indifférent à tout changement possible comme à l’idée de se marier puisqu’il répond à son amie Marie qui lui pose la question que « cela [lui est] égal ». Il passe des dimanches mornes à ne rien faire : « J’ai dormi jusqu’à dix heures. J’ai fumé ensuite des cigarettes, toujours couché, jusqu’à midi [...] Je me suis fait cuire des œufs et je les ai mangés à même le plat, sans pain parce que je n’en avais plus et que je

Cette importance justifie notre recherche. Paul Ricœur 48 affirme que l’action est le « construit » de la construction en quoi consiste l’activité mimétique. Dans le processus, le travail, la mise-en-intrigue 49 , l’action est le produit fini de cet assemblage de faits en système, c’est-à-dire régi par une chronologie et une logique, qui implique une causalité, elle repose sur une intrigue qui suit une organisation méthodique. La mise-en-intrigue, d’après Paul Ricœur consiste principalement dans : «

SOMMAIRE LIGNES RÉGULIÈRES (Période scolaire) PAGES LIGNES DES DIMANCHES ET JOURS FÉRIÉS PAGES Lignes : 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Lignes : 10 11 12 13 14 15 16 Navettes : Pôle d’échanges è gare Lycées : Camille Claudel et Lycée hôtelier Lignes : 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 60 62 12 à 62 47 51 64 à 67 68 à 69 70-71 72 à 75 Lignes : D1 D2 D3 D11 78 à 81 LIGNES RÉGULIÈRES (Période vacances scolaires) PAGES Lignes : 1 2 3 4 5 10 13 82 à 108 -- RENSEIGNEMENTS

Ces propositions peuvent être : - JUXTAPOSÉES, c'est-à-dire simplement séparées par une virgule ou un point-¬virgule. Il n'y a pas de mot-outil pour relier ces propositions, on dit alors qu’elles sont indépendantes : Ex. : Je suis allé au cinéma dimanche; le film m'a passionné. - RELIÉES par un mot-outil : a) une conjonction de coordination : mais, ou, et, donc, or, ni, car; on parle alors de propositions coordonnées. ex : Il a acheté une nouvelle voiture car la sienne était très vieille. b)

brutalement imposées par l’occupant, suscitèrent le mécontentement en particulier dans les milieux populaires. L’imposition du système métrique, le remplacement du calendrier grégorien par le calendrier républicain, la suppression des semaines et des dimanches, l’esprit antireligieux de la politique du Directoire heurtèrent les sensibilités d’une population essentiellement rurale et attachée à ses traditions religieuses. Si c’est avec soumission, que dans un premier temps, la population luxembourgeoise

l'écriture du vide » Aurore Loison - 2007/2008 13 enfermé dans son cabinet, en tête-à-tête avec le silence. Non, personne n’ignore le recours au fameux « gueuloir » bien assis dans l’imaginaire collectif. Flaubert était, d’ailleurs, le filleul de Paul le Poittevin, grand-père maternel de Maupassant. Ce dernier, alors qu’il se trouvait au lycée de Rouen, en 1868, correspondait avec Louis Bouilhet, ami intime de Flaubert, lequel allait vite devenir son mentor, son père spirituel pour lequel il nourrira

consiste à relater des faits accomplis antérieurement ; dans l’autre, on produit l’exemple soi-même. » Le passage cité nous offre les deux espèces d’exemples distinguées par Aristote. D’une part, Pascal s’appuie sur des exemples historiques, celui de Paul Émile et celui de Persée : les deux cas sont symétriques et permettent de montrer qu’on ne souffre pas de manquer de ce qui ne nous est pas dû. Le développement de l’exemple est justifié par l’unanimité de l’opinion : « tout le monde » (l. 20), « on

société sereer accorde à l’amour une place de choix qui s’étend sur plusieurs niveaux dont celui du prochain, de la nature et de Dieu. Et c’est cet 1 Lilyan Kesteloot. Comprendre les poèmes de Léopold Sédar Senghor. Issy-les Moulineaux : Editions. St Paul, 1986, p.10 11 amour qui s’est reflété dans les poèmes de Senghor et plus particulièrement dans son recueil « Chants d’Ombre ». Dès lors, ne soyons pas étonnés si cette partie aborde deux aspects de cet univers « sinig*1 » à savoir la société

 ����������������������������������������������������������������������������� 2 a. Parmi les pronoms en gras, soulignez ceux qui remplacent des mots utilisés. – Je fais dissoudre cette suie dans une portion du vin qu’on me donne tous les dimanches, cela me fournit de l’encre excellente. Pour les notes particulières, et qui ont besoin d’attirer les yeux, je me pique les doigts et j’écris avec mon sang. – Et quand pourrai-je voir tout cela ? demanda Dantès. – Quand vous voudrez, répondit