Diploïde

haploïdes. Mais, pendant le développement embryonnaire, divers phénomènes de fusion de noyau de l’ovule entre eux, ou d’un noyau avec celui d’un globule polaire ou encore au cours d’une méiose, conduisent à la fabrication d’individus normalement diploïdes. Normalement, les individus nés par parthénogénèse devraient être tous de sexe femelle XX (parthénogenèse thélytoque), mais par fusion d’un chromosome sexuel avec un autosome ou par abandon, la parthénogénèse peut fabriquer des individus mâles XO

2 : Photographie des chromosomes réalisée à un moment du cycle de développement de Chlamydomonas. 1) Sachant que Chlamydomonas présente une phase diploïde et une phase haploïde au cours de son cycle de développement, associez les cellules a, b, b’, c et d du document 1 aux étapes suivantes : cellules reproductrices haploïdes, cellule œuf diploïde, cellule adulte haploïde, spore haploïde. 2) Tracez le graphe « Quantité d’ADN en fonction du temps » (on prendra 1cm pour représenter une quantité

2focntion : réduction du nbr de chr 46->23, brassage info génétique La réduction est assuré par deux divisions nucléraire successive méiose 1 et 2 précédé d’une seule phase de réplication de l’adn, ceci conduit a créastion formation 4 c aploide pr 1c diploide entree en miose ( meme etapes Prophase méta, anaphase, télo) cf shémas Echange matériel génétique entre chr omologue (méisoe 1) elle sépare les chr omologue, méisoe 2 clivage des 2centromère qui vont migrer chaqueune dans une c, 1 première

original sur plusieurs points, la taille physique du génome est faible parmi les vertébrés et de 2 à 8 fois plus courte que chez les mammifères15. Le génome est assez homogène avec 60 à 75 % de séquences uniques15. La gamme de variations du nombre diploïde est assez étendue : de 40 pour l’œdicnème criard (Burhinus oedicnemus) à 138 pour le martin-pêcheur (Alcedo atthis)15 avec une distribution de type gaussien avec un maximum vers 85. Une des caractéristiques génétiques majeure et originale du génome

par Watson et Crick en 1953, pour commencer à comprendre les fondements moléculaires des lois de Mendel. Les différents modes de transmission biologique des caractères L'hérédité mendélienne régit la plupart des caractères. Chez les organismes diploïdes comme les humains, chaque individu possède deux copies de chaque gène, une copie venant de la mère et l'autre du père (exception : les gènes des chromosomes sexuels). Si ces deux versions sont identiques, l'individu est dit homozygote pour le gène

informations différentes correspondant à deux allèles différents pour un même locus, le phénotype de cet individu est AB, les deux informations sont exprimées (les deux antigènesA et B sont présents), on dit qu'il y a codominance. Dans une cellule diploïde, il est évident que deux allèles seulement peuvent coexister car il n'existe que deux chromosomes homologues,ceci ne veut pas dire qu'il n'existe que deux allèles possibles capablesd'occuper ce locus, on verra que théoriquement il peut en apparaître

plésiomorphe. apopétale (adj) : qualifie une corolle dont les pétales sont libres entre eux. aposépale (adj) : qualifie un calice à sépales libres entre eux. aposporie (nf) : regroupe les divers mécanismes aboutissant à la formation de gamétophytes diploïdes (et donc d’embryons) sans passage par une spore. On distingue l’apoméiose dans laquelle le gamétophyte se développe à partie de spores non réduites et l’aposporie s.str. dans laquelle une cellule banale du sporophyte donne un gamétophyte. apostémone

diviser en 5 parties : Fécondation (14ème jour du cycle sur un cycle de 28 jours) : Elle a lieu dans le tiers externe de la trompe de fallop. Le spermatozoïde (porteur de 23 chromosomes) pénètre dans l’ovule. Les 2 gamètes fusionnent et donnent un œuf diploïde à 46 chromosomes qui déclenche le développement d’un être humain La migration (1ère semaine) : Progression de l’ovule fécondée de la lumière de la trompe jusque dans l’utérus. Assurée par les mouvements péristaltiques de la trompe. Dure environ

reproduisant identique à elle-même, généralement une population où chaque individu possède le même génotype et où chaque gène est homozygote. L'homozygotie s'oppose à l'hétérozygotie. Définition Chez un individu appartenant à une espèce sexuée et diploïde, chaque gène existe en deux exemplaires, l'un hérité du père, et l'autre de la mère. Au sein d'une population, chaque gène peut exister en un ou plusieurs variants, appelés allèles. Un gène codant la couleur des yeux peut ainsi exister en plusieurs

chromosomes se séparent migrent aux 2 pôles de la cellules 23 chromatides sont ainsi distribuées dans chacune des cellules filles La méiose permet : de former 4 cellules sexuelles haploïdes à n=23 chromosomes à partir d’une seule cellule germinale diploïde (à 2n= 46 chromosomes) → Ces gamètes vont subir une maturation (jusqu’à devenir féconds) 2 phénomènes ↗ le polymorphisme génétique (la biodiversité) Séparation indépendante des chromosomes homologues : Séparation aléatoire des chromosomes pour