Discours De Périclès

fondement de la démocratie athénienne. X p. 40-41 : LEÇON 1 Être citoyen à Athènes X p. 42-43 : ÉTUDE La place des métèques dans l’organisation de la cité X p. 44-45 : LEÇON 2 Le rôle du citoyen dans la démocratie athénienne X p. 46-47 : ÉTUDE Périclès, « père de la démocratie » La démocratie vue et discutée par les Athéniens. X p. 48-49 : LEÇON 3 La démocratie vue et discutée par les citoyens X p. 50-51 : ÉTUDE Le théâtre à Athènes : la démocratie mise en scène Les outils du manuel X p. 38-39

résolution du conflit. Il varie en fonction du genre de la pièce : dénouement comique (heureux) ou tragique. III) Les formes de l’échange dans le texte dramatiqueLe dialogue :Conversation entre deux ou plusieurs personnages (ou discours direct).Le monologue :Scène au cours de laquelle un personnage important est seul et se parle à lui-même. Le monologue permet de révéler les sentiments ou les pensées d'un personnage, ce qui révèle son caractère. Il peut aussi l’aider à délibérer

démocratie tous ont une chance de sortir vainqueur. PRYTANIE : conseil restreint de 50 membres. HELIEE : tribunal populaire juges tirés au sort. Il y en 6000 magistrats administrateurs. Refus d’une élite (pbm de la démagogie pr rester à ses fonctions) Périclès : réussi à s’imposer et obtint le renouvellement de ses fonctions contre la constitution. Mort en -429 de la peste. Décadence, Guerre des clans, guerre contre Sparte. Tantôt une démocratie, tantôt une aristocratie. On invente la MISTOI pr obliger

grandes étapes de la civilisation grecque antique : -2 eme millenaire avant notre ère. - 1200/800 : moyen âge grec -800/500 : Période archaïque °Les grands législateurs : Dracon,… °Naissance de la cité -V/IV siècle : période classique °Périclès -Fin IV-I : monarchies hellénistiques : °Rois de macédoines : Philipe ; Alexandre le grand Les grecques ont beaucoup apporté car ils ont été les premiers à réellement penser le droit. Avant on ne pensait pas le droit au delà de son application

imposent un certain nombre de contraintes qui ne sont pas scientifiques: - nécessité de produire un discours simple (« les problèmes compliqués ont tjrs des solutions simple » mais elles sont généralement fausses). L’objectif des journalistes est d’être compris pas tout le monde - discours attractif. La forme l’emporte sur le fond. - les médias privilégient le discours prospectifs, de prédiction. Ils sont dans l’actualité mais c‘est encore mieux pour eux d‘avoir des prédictions

PLATON Le Banquet - Préambule sur la transmission du récit - Arrivée de Socrate o Proposition d'Eryximaque § Discours de Phèdre § Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane) § Discours d'Eryximaque § Discours d'Aristophane § Discours d'Agathon o Intervention de Socrate o Discours de Diotime - Irruption d'Alcibiade - Eloge de Socrate par Alcibiade Le Banquet (ou De l'Amour) APOLLODORE Je crois que je suis assez bien préparé à vous faire le récit que

Diogène Laërce, Lysias lui aurait proposé un plaidoyer qui aurait sans doute emporté l’acquittement. Il le refusa en disant : « Ton discours est fort beau, mais ne me convient pas. » Ce discours était sans doute composé suivant les règles de la rhétorique et visait à exciter la pitié des juges. C’est ce que Socrate ne voulait pas. Il se défendit lui-même dans un discours qu’il n’écrivit pas, mais qu’il avait dû néanmoins 14 méditer à l’avance. Il y montra une fierté de langage qui frappa ses amis

de Socrate [174a] o Proposition d'Eryximaque [176e] + [178a] Discours de Phèdre + [179c] Discours de Pausinias (et intermède : Le hoquet d'Aristophane [185d]) + [185e] Discours d'Eryximaque + [189c] Discours d'Aristophane + [194d] Discours d'Agathon o Intervention de Socrate [198a] o Discours de Diotime [201c] * Irruption d'Alcibiade [212c] * Eloge de Socrate par Alcibiade

Diogène Laërce, Lysias lui aurait proposé un plaidoyer qui aurait sans doute emporté l’acquittement. Il le refusa en disant : « Ton discours est fort beau, mais ne me convient pas. » Ce discours était sans doute composé suivant les règles de la rhétorique et visait à exciter la pitié des juges. C’est ce que Socrate ne voulait pas. Il se défendit luimême dans un discours qu’il n’écrivit pas, mais qu’il avait dû néanmoins méditer à l’avance. Il y montra une fierté de langage qui frappa ses amis aussi

les grâces de l’Humanisme ? Si bien que dépouillé de cela, on rendrait cette discipline non seulement pénible, mais repoussante » ( Jean Bodin, juriste consulte français du XVIe Siècle, dans « l’éducation donné aux jeunes gens de la république, discours au Sénat et au peuple de Toulouse. ) « D’avantage veux que les lois soient extraites de philosophies morales et naturelles, comment peuvent l’entendre ces fous qui ont par Dieu moins étudiés en philosophie que ma mule ? Au regard des Humanités