Discours Direct Indirect Indirect Libre

interprétation : Procédés Didascalie + participe présent « en parlant » Construction de la tirade : 73 lignes avec 2 points et que des virgules situées au milieu de la pièce. Asyndètes (aucuns connecteurs logiques) aux lignes 3, 4, 5, 6… Embrayeur de discours « alors » au début de la tirade. Registre familier « salope » Interprétations Simultanéité de l’entré d’Yvan et de sa tirade : Entrée brusque Montre que la tirade est surprenante et importante et Yvan apparaît très stressé, il se libère. Cette tirade

royale… Emploi du champ lexical de la foule (plein de monde, amassée…) Emploi d’une répétition du mot « portique » : connotation à l’antiquité avec l’image du temple qui fait penser au triomphe, au sacre de l’empereur. Emploi du discours indirect libre et du discours direct qui mettent Georges au centre du nom. B/ L’ironie du texte Sentiment de Georges : Débordé par l’émotion son triomphe et par celle de son mariage (balbutier) mais reprend le dessurs quand il voit clo : maitrise absolue. Paragraphe

Une scène étrange Discours direct Meursault ; discours rapportés l. 12 et 16→ décalage entre la question et la réponse +l. 29-32 → pas réelle Marie : 2 paroles : l.6, 40-41 → son étonnement ; verbes introducteurs traditionnels : répondre, dire ; aucune expression dans la façon dont les personnages réagissent, parlent… l.9-10 ; l.38-39 : discours indirect libre ; l.26→ récit de paroles Dialogue essentiel, raconté de façon neutre, introduit par des termes plats, structure de phrases courtes,

20.21), les «  ripailles » (l.27), «  les lépreux ne pouvaient le souffrir » (l.19). Calvino utilise le discours direct pour rendre compte leur mécontentement : « des deux moitiés la bonne est pire que la mauvaise » (l.31), « heureusement que son boulet ne l’a coupé qu’en deux » (l.35.36), «  Dieu sait ce qu’il nous aurait fait voir ! » (l.37). Il se sert également du discours indirect libre : «  Finis les temps heureux et licencieux de Préchampignon ! » (l.20), «  personne ne pouvait faire son

les deux individus et le fait que Mes-Bottes soit comme envoûté. Ensuite, le discours indirect libre (l.13 à 19) permet de rendre les pensées plus perceptibles, et de s’immiscer dans les pensées de Mes-Bottes. Par ailleurs, le regard de Gervaise est totalement à l’opposé de celui. Ainsi, Gervaise trouve cette machine repoussante, comme le montrent les mots « frisson » et « recula » à la ligne 23. De plus, le discours direct à la ligne 24 nous montre la réaction spontanée et instinctive de Gervaise

n'est pas décrit physiquement. Il s'agit là d'une notion qui préfigure le nouveau roman dans laquelle la descritption des protagonistes n'est pas essentielle. L'utilisation de différents discours modernise le style. Le discours direct fait entendre la voix intérieure de Bernard tandis que le discours indirect libre confond la voix du narrateur et celle du personnage (« pas moyen de douter : c'est bien de lui, Bernard, qu'il s'agissait ». Le fait d'indiquer le cadre spatio-temporel uniquement dans

d’ancrer le récit dans un réel identifiable), mais elle traduisent également les sentiments du personnage (ainsi la tristesse de Jeanne est perceptible, dans le second extrait, à travers les personnifications et les images morbides). 14. Le discours indirect libre permet de dévoiler les pensées les plus intimes de Jeanne. En même temps, il signale que le personnage est coupé du monde, isolé, incapable de trouver une aide ou un appui extérieur (elle ne s’est pas fait d’amie au couvent, elle est trahie

compatir à son sort. De plus, son expression est hésitante, maladroite par ses répétitions, le discours direct ici employé la montre dans toute sa fragilité et cherche autant à faire entendre la voix du personnage au lecteur, qu’à la rendre touchante. 2- La joie d’un monde Parallèlement, Zola inscrit dans sa narration toute la joie du monde des bars. Elle intervient ici grâce au discours indirect libre qui se fond dans la description de l’alambic. La gouaille et l’imagination de Mes-Bottes sont

intérieurement (15). Le narrateur va utiliser le discours indirect libre pour rapporter les pensées de Mme Walter, c'est à dire ce qu'elle se dit à elle-même, elle entre alors dans son monologue intérieur : "Et voila qu'un évêque mariait sa fille, et devant elle !". La ponctuation exclamative traduit la fureur du personnage "Et elle ne pouvait ren dire ?". La ponctuation interrogative marque son exaspération. On trouve aussi du discours direct : "elle ne pouvait pas crier :"Mais il est à moi cet

qui lui est arrivé. Vous écrivez un article dans le journal local qui raconte le fait divers et qui en dégage une signification sociologique. pour travailler sur les discours rapportés : - Passer au style direct le début de la nouvelle pour apprécier le discours indirect libre et pour mesurer l’entrecroisement des discours, caractéristique de l’écriture romanesque contemporaine et du style de Le Clézio. pour travailler sur la description : Construire le portrait de Titi ou de Martine