Discours direct

autres hommes. Structure du sonnet polaire renforce l'idée que le lecteur ne pas échapper à cette condition . II) Une condition tragique A)Un dialogue conflictuel 1ere strophe: dialogue entre l'homme et le serpent Dialogue rapporté au discours direct Dialogue marque l'opposition entre le désir de l'homme « Je veux » et ce qui bride ce désir qui empêche sa réalisation. Tercets: intervention de la dents (2 fois) : « Penses à ton devoir » ; « Vivras-tu ce soir ? » Les tercets: inspirations humaines

séducteur de la Cour. Elle fait preuve d’une lucidité : elle sait qu’il la tromperait. Phrase 8 : Chute, conclusion Phrase courte. Elle ne peut pas être satisfaite de son amour, souffrance. Conclusion totalement négative. Phrase 9 : Discours direct avec interrogations : dilemme tragique illustré par un apostrophe du lecteur. Déchirement cœur-conscience. « Toute mes résolutions » chiasme, confusion, elle est enfermée : fatalité : il n’y a pas d’issue inspire la pitié. (.....) c)

Grunberg : « approuve de la tête » et « silence ». Ensuite, disons que le texte théâtre change toujours de la communication de la vie réelle, qu’il soit en prose ou en vers. Un deuxième élément se distingue des didascalies : le dialogue. C'est un discours direct des personnages permettant au spectateur d’apprendre les pensées et les sentiments des personnages et d’en ressentir des émotions. Le texte théâtral se distingue par une double énonciation : les acteurs parlent entre eux mais également au public

Quelques extraits (10% maximum) deBalzac, Le père Goriot - Etude d’un extrait de l’incipit... [...] La théâtralisation culmine et se conclut à la fin de l’extrait : «Quand elle est là, le spectacle est complet ». Notons que le présent, temps du discours direct, a fait de cette entrée une scène prise sur le vif, mais ce présent a aussi une valeur d'habitude, car voilà toute une vie qui se renouvelle cette même entrée chaque matin … II] Un portrait dépréciatif On devine bien qu’une propriétaire modelée

aussi symbolique. En effet, la description de l'entrée dans Paris révèle le caractère ambitieux de Georges Duroy ( « L'arc de triomphe de l'Étoile apparaissait debout à l'entrée de la ville... la large avenue ouverte devant lui ». La présence de discours direct, de phrases courtes, de formes déclaratives et de points de vue interne ( « Il semblait que l'humanité... de bonheur » ) montre l'assurance de Georges Duroy. Il se voit comme un conquérant. A travers la façon dont il voit Paris, nous pouvons

trop ; on était fatigué depuis quarante ans qu’on le voyait (…) ». La troisième forme du singulier « on » souligne qu’il est considéré par tout le monde, sans exception, comme une charge. Dans ce passage, le Gueux est seulement désigné par le pronom direct / indirect (« le », « lui »). A partir de l’indication précise du temps (« Depuis deux jours »), la narration s’accélère et la situation se dégrade peu à peu pour le Gueux. Le passage antérieur fonctionne comme une sorte d’exposition au théâtre.

les études permettront à sa fille d’avoir une situation appréciable pour le futur et de faire un « beau » mariage. (« Les études, une souffrance obligée pour obtenir une bonne situation et ne pas prendre un ouvrier » l-8-9). 9- La phrase au discours direct est : « On ne l’a jamais poussée, elle avait ça dans elle ». La narratrice rapporte directement les paroles pour bien montrer le fait qu’il n’est pour rien dans les choix de sa fille. 10- Les quatre termes qui montrent que le père redoute

pédagogiques sur le site www.cercle-enseignement.com Les Aventures d’Alice au pays des merveilles / Lewis Carroll 3 Fiche 3 La parole sous toutes ses formes Objectifs : › Repérer des paroles retranscrites au discours direct › Maîtriser les marques du discours direct › Maîtriser les types de phrases › Être capable de rédiger un dialogue en exploitant ses connaissances ⇢ Cette fiche portera sur le début du chapitre 5 « Conseils d’une Chenille » (p. 47-48, du début du chapitre jusqu’à

(chapitre 2). Camille est souvent désigné par son prénom. Il est très présent dans ce passage : "Camille" (quatre fois), " le commis" (deux fois), " le malheureux" , "sa victime". C'est le seul personnage dont ses paroles sont rapportés au discours direct, : "dit-il" , "appela-t-il" ; "appela de nouveau". Mais cela n'empêche pas le lecteur de savoir ce que pense les autres personnages. Camille est donc un enfant malade, comme depuis le début du roman. Mis à part sa réaction face à Laurent,

situe au dessus des autres. A ce dernier Suzanne ajoute d’autres lecteurs hypothétiques : l2 « la plupart de ceux qui liront ces mémoires ». On voit bien ici qu’il y a monsieur le marquis et les autres : la masse. Ensuite Suzanne va grâce au discours direct anticiper les réactions et les doutes de ses destinataires afin de mieux les contre carrer, c’est ce que l’on appelle une PROLEPSE ;). « cela n’est pas vraisemblable… » l5. Une prolepse qui vise à rallier les lecteurs à sa cause et les persuader