Discours direct

fr/lely/revues/revueb/histoire.pdf L’étude conjointe des deux premiers textes du recueil permet en outre de travailler les principales notions permettant l’analyse d’un récit : chronologie et tempo narratif, caractérisation d’un personnage, types de discours, focalisations, registres. Variation sur des mythes féconds au XIXe siècle (la femme fatale, l’attirance-répulsion suscitée par la femme), Hérodias permet d’aborder l’objet d’étude « Les réécritures » en première L. Il est en effet propre à faire

au blanc, police majuscules sans empattement, en défonce de blanc. Choix iconiques : produit seul, profil, absence de décor, arrière plan (sur aplat de couleur). Choix textuels : message elliptique, mots clés "réussir" et "élégance", discours direct, phrase affirmative. Rapport texte/image : réciprocité de la fonction d'ancrage (càd que l'image de la voiture, illustre la phrase et lui donne donc un sens précis et inversement la phrase précise la qualité principale du produit sur la photographie)

deux parties inégales. La première va jusqu’à la phrase : « Elle trouva qu’il était presque impossible qu’elle pût être contente de sa passion. » La deuxième comprend le reste. La première partie est composée au style direct avec toutes les marques grammaticales de ce type de discours : la suite des propositions est subordonnée à des verbes de pensée (Quand elle pensait ; Quand elle pensait encore, etc.), l’énoncé est introduit par des « que », parfois avec une monotonie peu habituelle (il y a une

Prérequis. La concordance des temps. La phrase complexe.→ les subordonnée relatives. L'indicatif imparfait. L'indicatif passé simple. Les types de textes. Objectif général de la séquence : Savoir identifier la ponctuation du discours direct, la variété des verbes déclaratifs et repérer les informations données par la proposition incise (intonation, sentiment du locuteur...) afin de pouvoir repérer les dialogues dans un récit, les différents intervenants et de découvrir leurs sentiments

ANALYTIQUE BAC N° 5 LE DISCOURS DE MME DE BAUSEANT INTRODUCTION  Balzac (1799-1850) est le chef de file des réalistes. En 1842, il décide de regrouper l’ensemble de ses romans en une œuvre initiale : la Comédie Humaine. Balzac va se servir de ses romans pour faire passer des messages et pour être ‘’le secrétaire de la société. « Le Père Goriot » écrit en 1834 est véritablement une œuvre pivot de la comédie humaine. Mme de Bauséant accepte d’être le mentor de Rastignac. Son discours est une leçon de

apparition de mise en scène. Le dialogue est inséré dans un récit. Le dialogue est retranscrit au discours direct, on a des marques typographique qui le montre (tiré), des propositions en incise. Le jeu des pronoms marque les différents locuteur. Le « nous » (l.19) qui désigne las Casas, les Européens. l.57 : « vous déviez ma pensée » : Las Casas l.55 : « vous » Sépulvéda. Il s'agit du discours directe rapporté donc une scène. Souvent dans une scène le temps de l'histoire et du récit se superpose

sociale et politique de l’artiste. Roman politique pour ses personnages, ses thèmes et sa violence ; ce roman a fait scandale lors de sa parution. Scandaleuse est George Sand tant par ses mœurs que pour son œuvre contrastée. L’extrait ici est un discours exalté et violent qui vise à blâmer, on est bien loin des romans champêtres. I. Un tableau social et politique emprunt d’une force révolutionnaire. 1. Une société de préjugés. - opposition de deux champs lexicaux : richesse / pauvreté

l’immobilité à l’action CL paisible “immobile” l.2; “assoupie” l.6 changement d’état marqué par “se réveilla” l.8 => un juron échappe au père Roland -> discours direct, inhabituel pour commencer un roman marque d’agacement 1er personnage dont on nous parle alors que le titre du roman est Pierre et Jean => scène vivante : marques du discours direct, dialogue gentille réprimande de sa femme intervention de quatre personnages différents : M .Roland, Mme Roland, Jean, et Mme Rosémilly => récit au passé

réveille » (l.7), « poussant un grand cri » (l.8), « arrive » (l.10), « passe » (l.15)... Le poème est aussi vivant grâce au discours direct entre le sultan et le bourreau, qui alterne avec l’action : « dit le sultan » (l.12, 28), « et le bourreau répond D’accord » (l.14) et « dit le bourreau » (l.17). Même si les signes de ponctuation accompagnant habituellement le discours directe ne soient pas présents ( : « »), il est repérable par l’emploi du verbe « dire » et à la majuscule de chaque premier mot

d’équilibre entre le récit des péripéties, les descriptions limitées et fonctionnelles, et le jeu entre des discours. Il est aussi marqué par l’utilisation de phrases plutôt courtes avec une ponctuation expressive et de paragraphes eux aussi plutôt courts, voire très courts, qui donnent une mise en page aérée. La langue, quant à elle, est soutenue dans le récit et dynamique dans le discours direct, recherchant même le pittoresque en transcrivant les paroles des personnages populaires. Maupassant recherche