Discours direct

manière implicite. Dans la situation initiale, le lecteur est déjà renseigné par le milieu social aisé de la femme grâce à la narration dans le dialogue : « Irène se transporte à grand frais » (ligne 1). Ensuite, dans le dialogue rapporté au discours direct, nous voyons Irène en tant que consultante. Nous comprenons bien que cette femme mène une vie mondaine, une vie de divertissements puisque ses symptômes ne sont qu’un résultat de ses excès. Ainsi, nous remarquons que ce texte a une progression

phrase nous indique que Duroy est très étonner de trouver cette pièce dans son gilet juste au moment où il en a besoin, cela indique une grande surprise de la part du personnage principal. c) Dans ce passage, la plupart des occurrences du discours direct sont principalement adressées à Duroy lui même (« Ah bien ! [...] Elle passera un joli quart d'heure ! », « Cela ne m'avancera à rien, […] je finisse par découvrir de l'argent. », etc) Cela traduit que le personnage principal se fait beaucoup

de commisération ". On note également la répétition insistante des larmes et des pleurs. 2) Les dernières paroles Face à la mort, la parole s’avoue vaine : Geneviève n’attendait Denise que pour l’étreindre une dernière fois. Les phrases en discours direct sont le plus souvent exclamatives et interrompues (" Vous me demandiez... "). 3) La maladie de la mort L’emprise fatale de la maladie est soulignée par une personnification : les " cheveux noirs " de Geneviève " semblaient s’être encore épaissis

20, « Les nôtres » v.19, « nous » v.6.) ont surtout un rôle d’assistance, ils se rendent utiles même s’ils se sentent impuissants face à la mort. 2) LES INTERRUPTIONS DU RECIT. Ensuite, les paroles de la grand-mère (v.14-15), au discours direct, viennent s’insérer dans le récit. Ce dernier est encore interrompu par une évocation extérieure au v.17 : « on entendait des coups de fusil dans la rue où l’on en tuait d’autres ». Les allitérations en [t] et en [d] renvoient d’ailleurs

envisage Manon. Il utilise le discours direct pour lui on connaît c'est sentiment, alors que M indirect façon implicitede montrer qu'elle ments; -L'hatitude de D-G a changer au début il ne parle pas maintenant oui, il passe du vouvoyement au tutoiement, et il réitère la posture du chevaliers servent, et M répond pas elle laisse le suspens; b)Le pouvoir de Manon: -Il vient du faite qu'elle est maitresse dans l'art du language, elle dit une phrase au discous direct qu'il fait culpabiliser, deplus

Caractéristiques liées à un mouvement littéraire: Ce roman appartient au mouvementréaliste mais aussi légèrement au naturalisme, en effet on retrouve dans Bel-Ami tout ce qui compose le réalisme: précisions historique, spatio-temporel, sociales discours direct qui favorise l'effet de réel. Mais aussi un personnaged'origine pauvre qui monte dans la société. Ce livre dénonce les injustices de la société ce qui en fait aussi un roman naturaliste. Réception de l'œuvre par lors de sa publication: Bel-ami

familièrement l’ironie, l’étonnement de l’auteur. ( en BD : il peut être doublé, triplé, accompagné d’un point d’interrogation pour marquer un étonnement marqué de joie ou de colère, etc. 7/ Le point d’interrogation ? ( il ponctue une interrogation directe. ( à l’intérieur d’une phrase, ils indiquent une série de questions pressantes prononcées dans un même mouvement. 8/ Le tiret - Ne doit pas être confondu avec les traits d’union de mots composés ( il peut servir à introduire des incises

Fiche de Lecture La ponctuation La ponctuation permet de cadencer notre discours, de lui donner tout son sens et de mettre en valeur certains mots et certaines phrases. Lorsqu’on parle, toute la valeur orale de nos intonations, nos oscillations de rythme et de timbre disparaissent à l’écrit. La ponctuation restaure donc ces différentes émotions que l’on traduirait normalement par notre voix lors de nos discours. Il existe 11 principaux signes de ponctuation : la virgule, le point, le point-virgule

cela les rends particulièrement antipathique, ce qui nous prévient de l’antipathie qu’on aura ensuite pour M de Varnetot, qui a abandonné Rose, sa maîtresse après qu’elle soit tombée enceinte. Pour finir, Maupassant utilise principalement du discours direct dans son récit. Les paroles sont rapportées directement, pour montrer leur manière de parler. Mr Séjour, un des chasseur, à un accent particulier : « Crébleu, maît Blondel, vous avez là une bobonne qui n’est pas piquée des vers » (ligne 17),

Cet extrait de Candide est un dialogue au discours direct. On trouve pleusieurs indicateurs, comme les tirets : " - Ô Pangloss!" ou le présent d'énonciation : "j'attends, c'est". Le discours direct est utilisé afin de donner vie au dialogue et de produire un effet réaliste chez le lecteur. Dans ce dialogue, Voltaire donne la parole à un esclave, qui décrit les violences qu'il subit. Il est le témoin direct de son récit. Ce procédé permet de mettre en valeur le pathétisme de