Discours indirect libre

berceau de Berthe qui l’encadrent. Les deux rêves sont exprimés grâce au discours indirect libre, ce qui leur donne une grande proximité formelle. Le discours indirect libre : il se caractérise par l’absence de verbe introducteur ; ainsi, la proposition subordonnée qui contient les paroles rapportées ou les pensées est privée de la principale qui l’introduit habituellement et devient donc la principale de la phrase. Exemple : o discours direct : Elle se demanda : « Comment donc ai-je fait, moi qui suis

Gervaise_ il reste son homme malgré tout ce qu'il lui à fait, elle reste tout de même affective pour lui _elle fait toujours preve de compation, on le voit à la main sur l'épaule C. Le Regard de l'interne_Il interprète les signes avec un discours indirect libre pour dire qu'il n'est pas encore mort_discours direct d'autant plus marquant pour dire qu'il est mort car il n'y en a pas beaucoup dans ce passage Une nouvelle vision : le naturalismeA. Homme philosophique_contrairement à l'ancien temps

en scène la voix des personnages eux-mêmes à travers le discours direct. Il s’agit d’une modalisation automatique que permet de citer fidèlement les paroles d’autrui et que comporte l’emploi de marqueurs définis (guillemets, tirets) et la présence de déictiques (« Qu’y a-t-il là ? » [ligne 5]). Dès lors, le discours direct est aussi utilisé pour mettre à distance la parole d’autrui, pour montrer que ce n’est pas la nôtre. Cependant, le discours direct n’est pas complètement autonome puisque le narrateur

ferveur d'un tribun par un discours passionné et un appel à l'émotion ; en utilisant le présent de l'indicatif « donnent » « s'engraissent » et le pronom personnel « on » au lieu du pronom de la 3ème personne du singulier « on irait », «on le nourrirait », « on paie » . L'auteur met en place un discours indirect libre ,discours de l'oral . Et en employant des phrases exclamatives « qui le nourrissait ! » « oui ! », « gorgée de chair humaine ! » . Ce qui renforce le discours passionné d’Étienne Lantier

dire ce que tout le monde veut entendre mais surtout ce que le Roi veut entendre pour avoir un meilleur rôle a la cour. Ce texte est plaisant a lire aussi car malgré que la structure soit simpliste et ordinaire, les vers, les rimes, et les types de discours sont dans le désordre. Le premier vers «  Sa majesté Lionne un jour voulût connaitre » est un alexandrin, mais ce sera le seul du texte. Ensuite, les vers 3 à 12 sont des octosyllabes, puis après cela les vers de ce texte sont complètement en désordre

seulement une alternance des évocations de ce qu'il perçoit et ses réactions. C'est seulement en bas de page de droite que le discours indirect libre apparaît sur plusieurs lignes consécutives : « C'était stupide. Il avait trop d'imagination. Il n'était pas dans un polar ! Il n'avait qu'à se recoucher et dormir. [..] » Il est, ici, intéressant de noter ce recours au style indirect libre pour rapporter les pensées de Daniel. Ainsi, les pensées du personnage, ses déductions, ses prises de décisions, ses

l’assemblée. L’imparfait ralentit l’action. c) L’omniprésence du discours rapporté * La forte présence du discours direct : effet de dramatisation du récit. On remarquera que l’utilisation du discours direct n’est pas maîtrisée : absence de ponctuation introductrice : pas de guillemet ou de tiret. Succession rapide des évènements qui ne servent que d’introduction à la description des remèdes proposés par le docteur. * Le discours narrativisé : il est utilisé à propos du médecin. Ex : « Il demande

du narrateur, qui porte une vision "ironique" sur son personnage et se moque de la "comédie" de Duroy, dont il fait ressortir l'aspect arriviste et superficiel grâce à des expressions ironiques. -La modernité de l'extrait se voit aussi au discours indirect libre utilisé, tout comme à la focalisation interne, qui permet de suivre l'évolution intérieure du personnage.(ressenti, pensées). CONCLUSION : Ce roman présente à la fois des caractéristiques et thèmes propres aux romans réalistes du XIXème

Cette focalisation interne laisse ensuite la place à la focalisation omnisciente du narrateur qui connait tout : « Maintenant, en plein ciel, le soleil d'avril rayonnait dans sa gloire, échauffant la terre qui enfantait ». Zola utilise le discours indirect libre pour que l’on puisse entendre les paroles d’Etienne : « N’était-ce pas la Maheude (…) par le ronflement du ventilateur ? ». l'imparfait de l'indicatif indiquent clairement qu'il s'agit d'une transformation ou d'une reformulation des propos

nous faisant part de ses pensées intimes .Des verbes de perception sont utilisés « elle songeait » (l.1) , « il lui semblait que » ou encore « les mots lui manquaient » ce qui nous amène à mieux comprendre le personnage .On voit que le discours indirect libre se fond dans le récit de la ligne 3 à 49 , de « pour en goûter la douceur » à « le bonheur même quelle lui donnait « .En supprimant les marques qui annoncent un propos rapporté , la voix du narrateur etcelle d’Emma se fondent et permettent