Discours indirect libre

marchand et les plaisirs de la vie. Il prend bien soin au Savetier de conserver l’argent. On a deux portraits, deux personnages qui s’opposent : un joyeux, un aigri. B- Récit Varié On a un long discours direct pour mieux caractérisé les personnages. (dialogue v…). On a un discours indirect libre qui vient rythmer la narration. Les parataxes (v37-46) sert à accélérer le rythme de la narration.  Tout ces éléments permettent à La Fontaine de garder éveillé le lecteur. C- Un récit enlevé La

au discours direct du Lion suivi du Renard ● Intervention de l’âne (v.49 à 54 ) : « L’Ane vint » = péripétie importante B. Un récit vivant La Fontaine donne de la vivacité à son récit grâce à différents procédés : ● Variation du rythme : hétérométrie (alternance non régulière d’octosyllabes et d’alexandrins + un vers de 3 syllabes au vers 29) ● Variation du rythme et du récit : alternance narration / discours rapportés : discours direct (V.15 à 49 puis v.49 à 54), discours narrativisé

jeune femme, une importance qu’elle n’aurait pas eue sans cela « Qu’elle se fût appelée Jeanne ou Marie, il n’y aurait pas repensé, après coup. Mais Bérénice. » b) Interpénétration de l’écrit et de l’oral cf. monologue intérieur, présence de discours indirect libreRécit : « la première fois qu’il vit Bérénice… » 3ème personne, passé simple > coupé de la situation d’énonciation + modalisateur avec l’adverbe « franchement », « enfin » = traces d’oralité > polyphonie, fait entendre le narrateur

tandis que l’alternance des différentes formes de discours rapportés nous permet « d’entrer » dans les pensées du personnage et donc de le percevoir de l’intérieur. On peut notamment relever l’emploi du discours indirect, « Il se dit que… », du discours indirect libre, « Absurde cette coutume d’indiquer… », du discours narrativisé, « Il songe au roman qu’il prépare », et enfin de ce que l’on peut considérer, d’une certaine façon, comme du discours direct, dans la seconde partie du texte, l. 29 à 40

d’identifier cette présence narratoriale. Dans le discours, cette présence est identifiable : le locuteur[->2] (celui qui parle) influe plus ou moins discrètement sur le texte. Dans le discours rapporté[->3], il peut y avoir différents niveaux d’énonciation (discours direct, discours indirect, discours indirect libre[->4]). Dans le récit, au contraire, le locuteur est absent de son texte, il s’efface derrière lui et ne l’influence pas. Cela dit, discours et récit peuvent se mêler dans un même extrait

thème de la mort est très bien illustré par l' hyperbole de la souffrance :  « Il était pris dans un étau, broyé par les mâchoires féroces de quelque fléau. » ( l 6-7 ) met en valeur la douleur intense due à l'accouchement, nous remarquons aussi le discours direct   « C'est la fin » ( l 8 et 15) nous dit que le personnage ici Lucien est sur le point de mourir, et métaphores  « incapable de résister à ce flot qui le submergeait » ( l 10-11 ) cela nous montre que le personnage est au bord de l'asphyxie

presque filmique : « elle essaie de s’approcher.. ; » « Mathilde est à vingt pas de lui » « plus il s’approche, plus il s’approche » « Il est arrêté à deux pas » « Elle pourrait tendre la main, il s’approcherait encore, elle le toucherait » (discours indirect libre ou commentaire du Narrateur ?) Mathilde apprivoise Manech jusqu’à ce qu’enfin elle le reconnaisse. (phrase conclusive )………….. (transition vers la seconde partie):…….. II) Un dénouement paradoxal. 1) Le dénouement attendu :

périphrase sans sentiments : « une femme que j’aimais » d) Recours à la distanciation : (l.17) : « Cette mort n’est rien, je te le jure. » e) Recours à la modélisation : (l.16) : « Je crois me souvenir. » f)  Recours au discours indirect libre : (l.15) : « Que d’histoires pour la mort d’une femme »  ce que pense l’Empire. 2) le ton ou les tons : différences, ruptures. a) Caligula n’est pas calme avec constance : il change de visage d’une réplique à l’autre, il est

aux cahots, à l’odeur d’essence, à la réverbération de la route et du ciel, que je me suis assoupi. »   B. UNE ETRANGETE QUI NAIT DE LA DIFFICULTE A COMMUNIQUER   1. Pauvreté du lexique -         Lexique plat, « dire » introduit presque tous les discours rapportés. -         Lexique répétitif opposition « je/lui », « peut-être hier », «  à deux heures » -         Lexique des affaires, « ce sera une affaire classée »   2. Oralité du style a. Multiplication des formules démonstratives, « C’est un peu

déguisements : comique de situation ; déguisé comme pour aller à la fête. Ca dérobe une sorte de code bien rodé, systématisé. C'est ritualisé. Caractère de mise en scène : comique de situation. Un serment c'est un discours à portée morale, mais il est pathétique, bien réussi. Discours indirect libre : Candide fut fessé. Harmonieux ironique : puérile donc puni. Réplique du séisme, satire de l'inquisition. Certitudes irrationnelles. Code de comportements ( fanatisme). Candide épouvanté : parodie de planctus