Discours Périclès Thucydide

milieu 20e s pour qu’on puisse parler de démocratie en sachant que la démocratie c’est une idéologie polit qui renferme des notions fondamentales : de liberté, égalité, et même la recherche du bonheur étant contenu dans les 2 autres notions. §4 : Péricles C’est également un autre législateur qui est un stratège qui a un rôle différent. Vécu de 490 à 429. C’est un eupatride de naissance donc il est d’origine d’extraction noble. Ce n’est pas un législateur au sens propre du terme c’est un stratège et

Arendt parle de « confiance » qui est primordial en politique, notamment à notre époque avec la conviction que « le pouvoir corrompt ». Arendt revient sur la figure politique de Périclès, grâce aux paroles rapportées par Thucydide, et la grandeur de ses discours politiques qui rappelaient la puissance de l’action créatrice. Périclès conçoit l’action comme infinie, ce qui bénéficie à la conquête militaire et la bonne vie au sein de la polis . L’art de la politique enseigne aux hommes

politique 1.4 La rencontre avec Socrate 1.5 Les voyages de formation 1.6 La fondation de l'académie et crise intellectuelle 1.7 Derniers voyages et derniers écrits 2 Sources intellectuelles 2.1 Pythagore 2.2 Parménide et Héraclite 2.3 Hérodote et Thucydide 2.4 Socrate et Platon 3 Contexte et modes d'expression de la pensée de Platon 3.1 Contexte philosophique 3.2 Les dialogues 3.3 La dialectique 3.4 Mythe (Présentation) 3.5 Quelques mythes importants 3.6 L'allégorie de la caverne 4 La philosophie

citoyen athéniens. Le critère d’attribution de la nationalité athénienne n’est donc pas le droit du sol (ni le lieu de domiciliation, de naissance … sont pris en compte), c’est le système du droit de sang qui prévaut. C’est sur une proposition de Périclès, en -451, que l’assemblée du peuple athénien a décidé de ne pas laisser jouir du droit politique, les personnes qui ne seraient pas nées de deux parents citoyens. Les choses vont encore plus loin, il faut être né de deux parents athéniens mais, en

caractère moral et non religieux est montré chez certains auteurs notamment  Thucydide, “Athènes malgré la liberté et la tolérance qui y règne ne connait aucun désordre car nous prêtons attention aux magistrats qui se succèdent et aux lois, surtout à celles qui fournissent un appui aux victimes de l’injustice et qui étant loi non écrite, comporte pour sanction une honte indiscutée.” Les lois donc qui sont évoquées par Thucydide concernent les relations entre les hommes et pas les questions religieuses

progrès se fonde essentiellement sur l’accord des interlocuteurs. Cet entretien bien réglé, dont l’objet est de trouver le vrai et non de l’emporter sur un contradicteur s’oppose à la controverse, à la joute oratoire des sophistes qui oppose discours à discours. Bref, d’une part une méthode de recherche, de l’autre le duel stérile du pour et du contre. C’est bien ce qui est dit ici. Socrate dit que s’il avait affaire aux sophistes il leur laisserait le soin de montrer que sa définition est fausse,

raison. Mais, à ce que je vois, Lysias[3] était en ville ? PHÈDRE. Oui, chez Épicrate, là-bas, dans la Morychia[4], près du temple de Jupiter Olympien. SOCRATE. À quoi donc le temps s’y est-il passé ? Je parie que Lysias vous a régalés de discours ? PHÈDRE. Je te dirai cela, si tu as le loisir de m’accompagner. SOCRATE. Comment ! crois-tu, pour parler avec Pindare[5] que je ne mets pas au-dessus de toute affaire le plaisir d’entendre ce qui s’est passé entre toi et Lysias ? [227c]

les grâces de l’Humanisme ? Si bien que dépouillé de cela, on rendrait cette discipline non seulement pénible, mais repoussante » ( Jean Bodin, juriste consulte français du XVIe Siècle, dans « l’éducation donné aux jeunes gens de la république, discours au Sénat et au peuple de Toulouse. ) « D’avantage veux que les lois soient extraites de philosophies morales et naturelles, comment peuvent l’entendre ces fous qui ont par Dieu moins étudiés en philosophie que ma mule ? Au regard des Humanités

compte c’est la rhétorique. Les familles aristocratiques monopolisent la parole et c’est ce qui emporte la décision. Mais cela reste quand même un problème historique mal résolu. Thucydide fait une différence entre ceux qui gouvernent et ceux qui ne font que donner leur appui : il rappelle un discours funèbre célèbre de Périclès (livre II de La guerre du Péloponnèse). « Il y a … les petites gens qui ont des avis qui ne laissent rien à désirer ». C. Les critiques contre l’égalité démocratique

institutions, les penseurs grecs font du droit une œuvre 30. Aristote, La Politique, trad. J. Tricot, Paris, Vrin, 1970, I, 1, p. 23 ; la méthode est à rapprocher et à opposer des seconde et troisième règles de la méthodes cartésienne, in R. Descartes, Discours de la Méthode, éd. E. Gilson, p. 205-209 et G. Rodis-Lewis, Descartes et le rationalisme, Paris, PUF, 1966. 31. Aristote, La Politique, trad. J. Tricot, Paris, Vrin, III, 8, p. 201. 32. H. Kelsen, art. cit., p. 70. Document téléchargé depuis www