Discourt Oratoire

tirade « Non Merci ! ». B. Thème. Cyrano commence par dire ce qu’il pense du mécénat, et se moque de ceux qui en vivent. Puis, il fait preuve d’une grande sensibilité donnant sa définition de la liberté. C. Registres. _ Polémique. _ Oratoire. _ Didactique. _ Satirique. _ Epidictique. D. Plan proposé. I. Une satire des poètes qui cherchent des mécènes, et des courtisans. 1. Satire de parasitisme. V966 : terme péjoratif : « lierre obscur ». « circonvient » :

-A partir de la ligne 132 : il développe jusqu'à la fin sa propre thèse il fait l’éloge de la beauté féminine et l’éloge de l’inconstance. Il utilise une métaphore filée qui dure plus de plusieurs lignes. Sganarelle a été sensible à l’art oratoire de Dom Juan « vous tournerez les choses d’une manière a ce que vous avez raison » il est séduit mais n’est pas roulé. 2)L’inconstance Don Juan justifie ici l'infidélité, par une idée de la justice : " Les justes prétentions qu'elles ont sur

plus coupables que lui « que le plus coupable périssent » (V.33) L’art rhétorique du Lion est très maîtrisé : -Figures de styles ; hyperboles « appétit glouton » -Dialogue à l’intérieur du discours « que m’avait-il fait ? Nulles offenses » - Discourt structuré : dans son exposé des faits il utilise « donc »= conclusion ; « ensuite », « mais »=nuances : enfin « car »=argument. En résumé, le Lion se présente comme un personnage honnête, qui montre l’exemple. En réalité, il ne craint rien puisqu’

les courtisans ? I – a) Les marques de la présence du conteur Il plonge le lecteur « in media res » Il manifeste sa présence de trois manières différentes : - les temps. Il interpelle son lecteur à l’impératif « jugez, vengez… ». Question oratoire où il ne laisse pas le temps de répondre  V. 25 2ème procédé : « je définis ». Qu’est-ce qui est dit dans cette digression ? Point de vue sur les courtisans « pour revenir à notre affaire » ; « Bref, il ne pleura point »  il ne veut pas recommencer

c'est-à-dire qui ne respectent pas les règles de la versification classique. Au niveau de la ponctuation, nous constatons qu’il n’y en a pas toujours à la fin de chaque vers :cela correspond à l’enjambement. Il introduit également dans sa fable du discourt direct « il m’est, disait-elle, facile […] que je verrai sauter au milieu du troupeau »V 12 à 21 . Perrette parle, mais sans avoir d’interlocuteur, elle parle donc toute seule ce qui rend ce personnage encore plus attachant. L’auteur emploie du passé

remarquer que Créon fait preuve d’un réel desir de la persuader pour la sauver, car Antigone est sa nièce et il sait que son fils l'aime. Il utilise des phrases exclamatives « Dans le tas ! », des impératifs « essaie de comprendre... ! » des questions oratoires « crois-tu, alors, qu'on a le temps... ? ». Il interpelle violemment Antigone à un moment et « la secoue soudain, hors de lui. » ici, le jeu de scène vient renforcer la violence de ses mots. Il utilise même des jurons et des injures : « bon Dieu»

définit la rhétorique comme l'art de persuader par le discours. Le discours est toute production verbale, écrite ou orale , ayant un un début et une fin, et présente une certaine unité de sens. La rhétorique ne s'applique qu'à un discourt persuasif, ou à ce qu'un discourt a de persuasif, : la plaidoirie, la harangue politique, le traité de philosophie etc. La persuasion rhétorique consiste à faire croire sans aboutir nécessairement à faire faire. Si elle fait faire sans faire croire, elle n'est

cela renforce les sentiments de Mathilde, Julien décide de conquérir le cœur de Mathilde et pense même au mariage… I) (1.un monologue intérieur) Julien amorce une réflexion intérieur, on peut donc parler de monologue, l’auteur développe un discourt indirect, on rentre dans les pensée du personnage. « Et moi ? » en début de texte enclenche le monologue intérieur, c’est une expression qui est importante (conjonction de coordination « et » + pronom personnel « moi »). Par la suite le pronom personnel

son temps et des conventions sociales, mal reçu par la Révolution, il devra attendre la fin du XIXe siècle pour recevoir enfin l'intérêt et la reconnaissance de la postérité dans laquelle il avait placé une partie de ses espoirs. Analyse : ( discourt d’un vieillard ( = locuteur) : prophète/sage, a l’expérience des colonisateurs/autorité confiée par son âge. Il prend la parole car il peut conseiller les autres grâce à son vécut. Il a un rôle prophétique : utilisation du futur «  ils reviendront »=

 « Les Essais » de Montaigne -C’est un discourt argumentatif parce qu’il sert a nous persuader, à nous faire entendre raison -La thèse de Montaigne est une réflexion sur la relativité des jugements sur la barbarie. -Le genre de ce texte est un essai, il appartient à l’argumentation directe. Montaigne (je, moi) parle aux Européens, aux Français (nous) qui ne sommes pas des barbares, des sauvages. La citation latine est de Properce, elle fait partie de l’émetteur. -Le registre est polémique et didactique