Distraire Le Spectateur

théâtre, la politique, ou la publicité. 1. La réflexion peut être produite par le Rire 1. Le Rire et le Théâtre On peut s’interroger sur le rôle du théâtre. Est-il simplement de raconter une histoire ou doit-il faire réfléchir le spectateur ? Au XVIIème siècle, Louis XIV est un monarque tout puissant qui régit même les arts. Molière était dépendant de la cour, mais se permettait de la critiquer de façon implicite dans ses pièces. Au XVIIIème siècle, les auteurs prennent leurs distances

La comédie dans la vie de tous les jours exprime le rire, l’humour, la moquerie, l’ironie et tant d’autre chose encore, elle est principalement destinée à amuser et distraire. En effet quand une personne va au théâtre pour voir une comédie c’est qu’elle désire se détendre, passer un moment agréable et surtout rire des personnages qui sont ridiculisés. D’ailleurs tout le monde connait au moins une pièce ou ne serait ce qu’un personnage que Molière a inventé et mit et scène et cela grâce aux scènes

divertir. En effet, le sens premier du mot comédie est de distraire, mais peut-on faire passer un autre message que le divertissement ? On peut ce poser cette question : « En quoi la comédie dépasse t-elle le simple divertissement ? Nous verrons dans un premier temps que, certes, la comédie a pour but de divertir, amuser… Puis, nous nous demanderons si la comédie à pour but d’édifier, de donner une leçon, de faire passer un message au spectateur. Enfin, pour conclure, le théâtre est-il particulièrement

presse de venir frémir aux pièges insidieux de ces êtres du mal. Dès l’Antiquité, et plus encore au e XVII siècle, la querelle sur la moralité du théâtre pose le problème de ses fonctions. Certes le théâtre est un divertissement où l’on vient se distraire en groupe : c’est que le théâtre est avant tout un spectacle. Mais Aristote lui assignait aussi une portée morale et, corollairement, le théâtre a souvent été mis au service de l’engagement. Est-ce simplement un divertissement, un spectacle esthétique

Le terme divertissement est d'origine latine, il est apparu en Europe à la fin de XVe siècle[1]. Il désignait alors l'action financière de détourner à son propre profit, ou distraire, une part de l'héritage. Par la suite, cette définition a été reprise pour l'appliquer à l'action de détourner l'essentiel en général et, par extension, à ce qui détourne quelqu'un de l'essentiel. Progressivement, il s'est associé à l'idée de plaisir et plus tard de loisirs. L'approche de Blaise Pascal [modifier] En

critique et l’engouement des spectateurs, c’est une pièce critiquant la société du XVIIIe siècle. En quoi l’alliance du comique et du sérieux dans Le Mariage de Figaro est-elle la force de l’œuvre, qui en fait un chef-d’œuvre ? Nous répondrons à celle question en vous montrant tout d’abord que Le Mariage de Figaro est une pure comédie qui vise à distraire le spectateur, puis dans un second temps

l’homme. Le théâtre a comme première fonction de devoir divertir le spectateur qui vient voir la pièce. On assiste plus alors à des comédies. Molière montre cette dimension comique dans le malade imaginaire où par exemple utilise le comique de répétition. Il est dit que l’apprentissage se fait plus facilement en se divertissant et cette fonction de divertissement entraine aussi un certain plaisir et émotions au spectateur. Le divertissement peut être sous forme de tristesse en ressentant les

théâtre que « Depuis toujours, l’affaire du théâtre, comme d’ailleurs de tous les autres arts, est de divertir les gens ». Aller au théâtre, c’est, dit Bertold BRECHT, dans tous les cas « et depuis toujours », s’offrir un divertissement. C’est se distraire de ses occupations par le spectacle. Il généralise l’affirmation ensuite à l’art, qui tout entier possède cette faculté de divertir, c’est-à-dire de dévier l’attention, de détourner la conscience de ses préoccupations. Ainsi donc, la peinture, la

; ils montrent à quel point le milieu peut façonner les goûts, et permettent au lecteur d'opposer la noblesse provinciale à l'aristocratie parisienne au XIXe s.  Madame Bovary à l'opéra de Rouen. Gustave Flaubert, Madame Bovary, XV, 1856. Les spectateurs décrits par Flaubert nous montrent quel était l'état d'esprit de la bourgeoisie commerçante de Rouen au XIXe s. Cependant, le portrait de Mme Bovary possède surtout un intérêt psychologique.  Quand la peste est mise en scène… Albert Camus, La Peste

d’oublier ses problèmes. Un homme qui se promène dans un musée oubliera ce qui lui fait défaut dans sa famille, ou bien au travail. Faire une œuvre, c’est sortir du réel, sortir de soi, partir ailleurs. L’art transporte l’artiste mais aussi le spectateur. Il nous fait rêver, il brise les frontières de notre vie réelle. L’art est une distraction, un amusement qui vise l’épanouissement personnel. Et pourquoi les Hommes se distraient ? Ils ont besoin d’oublier, de s’oublier pendant quelques instants