Diversité linguistique

ISBN: 978-972-8932-67-1 1 Table des matières Ouverture 2 Jean-Louis Chiss - Linguistique, littérature, culture et didactique : l’exemple de l’Unité de formation et de recherche Didactique du français langue étrangère (UFR DFLE) de la Sorbonne Nouvelle Paris 3 5 Cristina Robalo Cordeiro - Jugement d’assises : de l’inculpation à la réhabilitation du professeur de Français Michel Drouère - Intervention dans le cadre de la table ronde : « Autres acteurs et missions autres » Maria da Conceição

Le pluralisme (qui peut-être culturel, politique, syndical ou religieux) et le multiculturalisme (variante anglo-saxonne du pluralisme focalisée sur la reconnaissance des différences culturelles) sont des modalités possibles du traitement de la diversité. Le multiculturalisme réfère à une description de situation. Il met l’accent sur la reconnaissance et la coexistence d’entités culturelles distinctes en donnant la priorité au groupe d’appartenance. Le multiculturalisme n’a pas permis de résoudre

Mots clés : Famille exogame : Deux parents, deux différentes langues. Langue majoritaire, langue minoritaire Dans notre contexte, majoritaire (Anglais), minoritaire (Français) Famille endogame Deux parents sont du même groupe linguistique culturel, social… Dans notre contexte, deux parents francophones Ayants droits Les parents qui ont le droit d’instruire leurs enfants à l’école française en vertu de l’article 23 de la charte canadienne des droits et libertés. L’article

suit est un extrait de la thèse de Bénédicte Pincemin. Références complètes : BOMMIER-PINCEMIN Bénédicte (1999) – Diffusion ciblée automatique d'informations : conception et mise en œuvre d'une linguistique textuelle pour la caractérisation des destinataires et des documents, Thèse de Doctorat en Linguistique, Université Paris IV Sorbonne, 6 avril 1999, chapitre VII : "Caractérisation d'un texte dans un corpus : du quantitatif vers le qualitatif", § A "Définir un corpus", pp. 415-427. A. DÉFINIR UN

le discours à travers cette diversité de définitions, il y a néanmoins une évidence : "le discours ne peut être défini comme une unité linguistique, mais qu’il résulte de la combinaison d’informations linguistiques et situationnelles" (Roulet, Filliettaz et Grobet, 2001, p.12). Aussi, concluons-nous que le discours implique un acte langagier d’où émergent un texte, un contexte et une intention. Le discours est donc une entité complexe ayant une dimension linguistique (en tant que texte), une dimension

... 8 Conclusion .................................................................................................................................. 9 2 Introduction Aujourd’hui, la France est le seul pays d’Europe à avoir une politique linguistique centralisée ce qui constitue un frein au renouveau des langues régionales. Mais cette standardisation est un moteur en ce qui concerne la diffusion du Français à l’étranger. En effet le siècle des lumières et l’Encyclopédie ont été un vecteur de

dynamique, elle évolue selon le temps. I/ La spécificité du langage humain. Phonologie = C'est la segmentation d'un signifiant en phonème. Ces phonèmes seront identifiés et classés. Phonème = C'est un son. Sémantique = Différente signification linguistique (le sens). Lexicologie = Étude scientifique du vocabulaire. ( Morphologie, Sémantique, polysémie, et les décompositions). Morphologie = étude de la variation d'un mot selon les contextes d'emploi. Syntaxe = Combinaison des mots enchaînes.

la nature du destinataire et le lieu où il est produit, ce discours sera plus ou moins riche, nuancé et savant, mais il s'y trouvera toujours à l'oeuvre une seule thématique que ce livre décrit dans sa structure fondamentale, à l'aide de la linguistique, ainsi que sous l'angle de ses capacités d'adaptation et de transformation. Cette étude conduit naturellement à s'interroger sur la nature du discours communiste : idéologie dominante ou idées révolutionnaires ? - François Mitterrand : essai

et à propos de ces grands mouvements de contact et de métissages culturelles et symboliques cristallisés dans les noms propres de lieux, de peuplement et de personnes. S'il y a bien un domaine où les transactions linguistiques et interlinguistiques recèlent une dimension linguistique et socio- anthropologique évidente, c'est bien celui de la dé/ nomination. Sa problématique dépasse le cadre d'une aire géographique, d'une religion, d'une langue ou famille de langues. La densité des relations historiques

aussi que le titre est le "seuil" du texte et son début ; c'est la marque qui empreint le livre (ou le texte), l'appelle, le fait distinguer des autres. Le titre a été longtemps négligé par les chercheurs parce qu'ils l'ont considéré un énoncé linguistique vide de sens, ne pouvant rien servir à l'analyse du texte littéraire (n'exagérons pas !!!). C'est pourquoi ils l'ont délaissé comme ils ont délaissé les autres "seuils", les ont dépassés au texte. Ce n'est qu'à partir des années 70 que les chercheurs