Divine Idylle

droit n'ajoute rien à la force, et celle-ci reste injustifiable A. Un cercle vicieux B. Justice et force inséparables: la thèse de Rousseau et celle de Pascal C. "Puissance" et "maladie" : une virulente critique de la monarchie absolue de droit divin

volume de l’encyclopédie paru en 1751. Dans cet article Diderot condamne la religion ainsi que la politique française. I un essai critique a) une struture argumentative b) Un thèse persuasive II une critique virulente de la monarchie de droit divin A) un tableau critique B) le retournement de l’argument religieux III un avertissement et un conseil politique A) la loi du + fort B) un conseil : le contrat sociale Autorité Politique / Extrait de l'Encyclopédie Introduction / Œuvre gigantesque

Section 1 : La société civile Au 17° et 18° siècle, l’image de la société traditionnelle reposant sur la loi divine s’effrite. Cette image traditionnelle est représentée par Filmer, qui publie en 1680, l’ouvrage intitulé « Patriarcha » et dans lequel il tente de légitimer une monarchie de droit divin en invoquant notamment la Bible, sa thèse est que les hommes ne sont pas nés libres mais sont sujet à leur père, et il est le propriétaire du pouvoir sur sa progéniture. La paternité est une relation

L’homme redoute et rejette toute évolution précipitée. Le traditionalisme c’est conserver dans son état ancien la société et son système politique. Il est conservateur et refuse la modernité. Monarchie absolue A. La monarchie de droit divin : Bossuet Bossuet (1627-1704), évêque et prédicateur. Plus grand représentant de ce courant de pensée. Pour lui les monarques tiennent leur pouvoir de Dieu ainsi l’obéissance à leur autorité est le fondement du système politique. C’est pourquoi

caractère véritable de la liberté. L’une et l’autre se définissent mutuellement. Pour Diderot, il faut substituer l’autorité à la liberté : un homme naît libre et non sujet. Par des arguments religieux (cf I,3), Diderot s’attaque à la monarchie de droit divin en lui ôtant sa raison d’être : la totale soumission à Dieu. 2. Un appel à la contestation Diderot introduit une notion de contestation pour la liberté : dans le 2° paragraphe, le rapport dominant /dominé s’inverse. A cela s’ajoute un champ

toutes les décisions pour le pays. Ses ministres et ses conseillers ne sont là que pour le conseiller et appliquer ce qu'il a décidé. Louis XIV justifie par la religion cette pratique du pouvoir. C'est pourquoi on parle d'une « monarchie de droit divin ». Il se voit comme le « lieutenant de Dieu sur terre ». II)Louis XIV, le roi soleil : Louis XIV met en place une politique de prestige, il cherche à se mettre en valeur, à montrer sa puissance et sa force aux yeux de tous. C'est pour cela qu'il

une habilité du philosophe qui montre que ces croyants ne sont pas en accorde avec le droit divin, dire que le roi a un pouvoir divin est un peu blasphémique. Il en parle plus loin " genou fléchie" ou il parle du crime d'idolâtrie, il veut dire que quand on fais tout un cérémonial on considère le roi comme un dieu. Conclusion : Cet article est surtout une critique de la monarchie absolue de droit divin, il existe deux sortes d'autorités : celle qui émane de la force et celle qui émane du consentement

de l’époque disponible pour toute honnête homme. Elle promeut l’humanisme, l’exercice de la raison, la foi dans le progrès et dans le bien fait de la connaissance. Dans l’article autorité politique, Diderot remet en cause l’autorité royale de droit divin et propose une autre légitimité et devoir politique. Cette démarche argumentative est dangereuse sous les règnes de Louis 15. Pour échapper à la censure, Diderot se livre à une rigoureuse démonstration, il conteste la notion d’autorité en prenant habillement

Musset a voulu que la corruption soit ainsi présente dans sa pièce il n’en est pas moins à son époque où la France est corrompue, entre coup d’état et succession de pouvoir. Louis XVIII se réinstalle, ce qui marque le retour de la monarchie de droit divin, assurément il instaure une Charte qui n’est pas une constitution car elle dépend de son bon vouloir, après sa mort le pouvoir est directement succédé à Charles X (puis son fils par la suite) alors que la plupart des personnes qui possèdent le droit

pleinement conforme à la loi de Dieu et à la charité évangélique, dans le contexte historique de la monarchie absolue de droit divin. On appelle monarchie absolue un régime où le monarque détient tous les pouvoirs et n’est contrôlé par aucune institution ou constitution. Il est cependant soumis aux Lois Fondamentales du Royaume, ce qui le différentie du despote ou du tyran. Le droit divin concerne la justification d'un pouvoir non démocratique par le choix de Dieu. Ce choix est souvent exprimé par l'affirmation