Divine Idylle

enfant, c’est d’abord le cardinal ………………. qui dirige le Royaume. A la mort de ce dernier, en ……, Louis XIV gouverne lui-même et tout seul, son règne durera jusqu’en ……. . Il prend alors le pouvoir et met en place une ……………………………….. …………………de droit divin (c'est-à-dire qu’il prétend détenir son pouvoir de ……….et que s’opposer au roi c’est s’opposer à ….) C’est lui qui a tous les pouvoirs et prend seul les décisions. Son peuple, ses S…… lui doivent une obéissance totale. Il nomme dans chaque province

un portrait de lui peu flatteur: à la fois avare et dépensier, lucide et aveugle mais surtout absolu, distribuant des récompenses ou blâmant de façon aléatoire. De plus Usbek refuse le despotisme (pouvoir absolu) et critique la monarchie de droit divin qui met en place un roi tel "un soleil qui porte partout la chaleur et la vie" en mettant Dieu au centre des affaires politiques. Montesquieu dénonce aussi l'esclavage. C'est dans la lettre 118 par Usbek que cette critique se fait la plus explicite:

royal n'est pas le trône d'un homme, mais le trône de Dieu même ». Ce credo dépeint la doctrine même de Bossuet (précepteur du fils de Louis XIV, le Grand Dauphin, puis évêque de Meaux) qui opère la jonction entre deux corps de doctrine: le droit divin et le courant absolutiste. L’Aigle de Meaux, comme il fut ainsi appelé en raison de son génie qui « planait dans les plus sublimes régions de la science et de l’éloquence chrétienne », rédigea pour son élève le Grand Dauphin, une de ses œuvres posthumes

humaine fuyant dans le divertissement. Enfin, tout homme est un " roi dépossédé " pour Pascal. I) Le roi : objet de critique politique et sociale 1) Pascal critique la royauté et non un roi précis Bien qu'ayant vécu sous une monarchie de droit divin et ayant connu les contestations de la Fronde, Pascal ne cite jamais de rois français contemporains. Il cite des rois d'autres pays, au fragment 58, ou d'autres époques : Persée au fragment 13, Salomon au fragment 65 et Cléôpatre au fragment 44.

Fenelon, Montesquieu et Voltaire. Les quatre auteurs appartiennent au XVII° siècle, pour la Bruyère et Fenelon, et au XVIII° pour Montesquieu et Voltaire. Les points communs entre ces quatre texte : ils soulignent une idée de monarchie de droit divin, présentent le personnage du roi. Ce sont des éloges dans lesquelles se cache un blâme. Le registre principalement employé est le registre épidictique. -La Bruyère avec les caractères -Fénelon avec les aventures de Télémaque -Montesquieu avec

envisagé. Ligne 23 la conjonction de coordination '' car '' nous laisse en envisager les limites. C) La domination divine Ligne 25 : '' maître supérieur '' ; ligne 26,27 '' maître aussi jaloux qu'absolu '' ; ligne 27 '' droits '' et ligne 28 '' permet '', ces termes nous montre l'existence d'un maître absolu qui n'est autre que Dieu et insiste sur une domination divine. Existence d'une hiérarchisation entre les hommes avec les expressions : '' ordre de subordination '' et '' obéissent

enlever son pouvoir Son pouvoir est sacrosaint, seul Dieu peut le lui retirer * Il peut être condamné Seul Dieu peut le juger * C’est une monarchie absolue du droit divin : * Monarchie : fait référence au roi * Absolue : c.-à-d. tous les pouvoirs (législatifs, exécutifs, judiciaire) * Divin : de Dieu 4. Quels sont les éléments de l’absolutisme français que Cyrano de Bergerac critique. Tous, il critique toute la monarchie absolue. 5. Faîtes le portrait du

La société d’Ancien Régime Synthèse La société d’Ancien Régime est un mode d’organisation social qui a prévalu en France sous l’Ancien Régime avant 1789 et qui a subit la monarchie absolue de droit divin de Louis XIV, Louis XV et Louis XVI. Elle est divisée suivant les classes sociales divisées selon les privilégiés et non privilégiés. La société française est divisée de cette façon : * Les privilégiés, qui sont exempts d’impôts. a) Le clergé, divisé en 2 parties : * Le

l’imparfait : « jugeait, était, tempérait... » - Un élément de résolution où Zadig est juste avec les deux frères durant leur jugement. II. Une leçon politique. a). Critique de l’Ancien Régime Voltaire est contre la monarchie absolue de droit divin, il va introduire des références du modèle anglais dans ce chapitre : « son premier ministre, le divan, les vizirs ». b). Critique de la justice. Elle peut être rendue aveuglément grâce à de l’argent, en fonction des classes monarchiques (plus

révolution mais plutot a une évolution : "quelque fois, change de nature, devenant alors prince cesse d'�tre tyran". Cependant, la 1ère phrase a une tonalité péremptoire (catégorique). Implicitement, Diderot remet en cause la monarchie de droit divin (implicite car censure des J�suites). Diderot bénéficie de la caution de Dieu pour récurer l'église. L'argument est repris au paragraphe 4 et utilisé pour justifier le seul type de soumission que Diderot reconnait. C'est parce que l'homme