Divine Idylle

des droits. Fiche de cours Les philosophes des lumières Le 18ème siècle fut marqué par des idées nouvelles et principalement un désir de liberté. Des philosophes, Voltaire, Rousseau,, Diderot, Montesquieu critiquaient la monarchie absolu de droit divin et les privilèges excessifs des nobles et du clergé. Ils souhaitaient de nouveaux modèles de société dans lesquels les hommes seraient libres et égaux. Ce mouvement est appelé « la philosophie des lumières », car les philosophes se proposaient « d’éclairer

passé sa vie a lutter contre l'injustice, l'intolérance, voire la tyrannie. Le courant philosophique des Lumières traverse le XVIIIe siècle, remettant en cause les fondements des systèmes politiques, notamment du royaume de France : monarchie de droit divin, concentration des pouvoirs, intolérance religieuse, Voltaire est donc une des grands figures des Lumières. Quelques textes : Candide (conte) La Henriade (poésie) Zadig (conte) L'Ingénu (conte) La Princesse de Babylone (conte) Dictionnaire philosophique

Figaro y est persécuté par les censeurs, caricaturant de manière humoristique les déboires de certains philosophes avec la justice. Ensuite, le gouvernement de l’époque est une monarchie de droit divin : le siècle des Lumières est marqué par le règne de Louis XV, de 1715 à 1774. Or ce principe de « droit divin » est empreint des traditions du Moyen-âge : par exemple, jusqu’au XVIIIe siècle, la superstition du « roi guérisseur », selon laquelle le roi pouvait guérir certaines maladies par simple contact

donnant son avis sur les bienfaits du règne du roi et de tout ce qu'il apportait de positif à la société. Voltaire commence : « Il est vrai qu’il vaut mieux être gouverné par une personne présente comme le roi, car avec la monarchie absolue de droit divin, c’est Dieu qui était à l'origine de toutes les décisions. Mais en vérité, ceux qui fixaient  les lois étaient des représentants de Dieu, des religieux qui, au nom de la religion, décidaient de tout pour tout le monde. Tous ceux qui ne croyaient pas

sacre en 1648 : il a alors 10 ans ! On reconnaît des insignes. Son pouvoir est dit absolu car selon les théoriciens de Louis XIV, il vient directement de Dieu, dont le roi serait le "lieutenant sur Terre". On parle aussi de monarchie absolue de droit divin.

l’inaliénabilité du domaine de la couronne. Section 2: la monarchie absolue de droit divin Il faut faire attention car la monarchie absolue n’a pas exister tout le temps, on mesure un héritage et un ensemble d’élément qui conduisent a cette monarchie absolue a l’origine la monarchie été judiciaire, c’est au temps moderne que la monarchie c’est transformé en monarchie de droit divin. Paragraphe 1: une monarchie de droit divin il faut avoir a l’esprit que le 16ème et 17ème s sont marqué par des croyances

dynastie régnante des capésiens durait depuis 800 ans. Hugo Capet régnait à partir de 987. La monarchie constitua le mode constant de gouvernement jusqu’en 1789. Monarchie de 1789 : Monarchie absolue de droit divin au caractère sacré et paternelle. La monarchie absolue de droit divin Pas confondu avec un régime tyrannique, car de nombreuses limites étaient imposées en pratique au pouvoir du Roi de France. La théorie monarchique Comment les rois concevaient leur pouvoir ? Dès leurs

veut gouverner seul. Il s’agit la d’absolutisme, que l’on appellera aussi monarchie absolue de droit divin. Nous sommes en 1661. En Angleterre, Charles Ier succède à Jacques Ier. Charles décide de gouverner de manière absolue en dissolvant le Parlement. Il prend donc la même orientation qu’en France. Là où Louis XIV parvient à devenir monarque absolu en introduisant la notion de droit divin, imposant son pouvoir par la Propagande, la Censure et le Mécénat, Charles Ier, à cause de ses abus

l’exil, ne pouvait pas s’appuyer sur une invocation directe à la tolérance, cette idée relevant de trop de subjectivité et d’appréciation personnelle : comment faire accepter, en effet, une pratique religieuse différente dans une monarchie de droit divin qui ne peut se réclamer que du respect de la religion catholique pour gouverner l’État ? En conséquence, l’auteur de l’article retient l’attention du lecteur en utilisant d’abord, pour justifier sa critique, des arguments d’efficacité politique :

monarchie constitutionnelle, évitant le retour à l’Ancien Régime et les excès révolutionnaires, il accepte notamment le drapeau tricolore et s’attribue le titre de roi des français (ce qui signifie qu’il rompt avec la tradition de la monarchie de droit divin). Au début des années 1880, l’aîné de la branche d’Orléans, Philippe VII, « comte de Paris », petit-fils de Louis-Philippe, est celui que les orléanistes comptent installer à la tête de la France. -les légitimistes. Ce nom désigne un autre courant