Dogmatisme

usage de leurs opinions. Hume émet ici l’idée que le doute méthodique est préférable au dogmatisme. Il répond donc à la question suivante : le dogmatisme est-il un usage souhaitable de sa pensée ? Nous pouvons découper le texte en trois parties distinctes. Dans un premier temps, Hume fait une critique du mode de pensée dogmatique (l1 à l5). Ensuite, il explicite pourquoi l’Homme tend vers le dogmatisme (l5 à l8). Et enfin, le philosophe expose sa thèse (l8 à l13). Dans la première partie

de pensée, à rendre les citoyens passifs. Comment comprendre cette intolérance paradoxale, qui veut en principe le bonheur du peuple, mais aboutit dans les faits au résultat inverse ? Pourquoi en politique, plus que dans les autres domaines, le dogmatisme qui veut imposer sa vérité a-t-il des conséquences si catastrophiques ? Popper va démontrer dans cet extrait que la réponse est à chercher dans l’attitude dogmatique elle-même, bien davantage que dans les intentions bonnes ou mauvaises de ceux

critique virulante des croyances [philosophiques] de son époque. Dans un premier temps, nous allons montrer qu'a travers les peripeties de Memnon, Voltaire tourne en derision la sagesse parfaite, et comment d'autre part, il fait une critique du dogmatisme et des superstitions. On constate au cours du texte que la sagesse parfaite que Memnon veut obtenir est au fur et a mesure tournee en derision. En effet, elle est des la premiere ligne caracterisee de 'projet insense', et de 'folie' l.2. Ces

LA CONNAISSANCE DOIT-ELLE EVITER LES PREJUGES ? Oui car connaissance = conscience (donc elle peut éviter les préjugés) mais pas dans tous les cas car trop de conscience = assurance du dogmatisme (douter de rien) => préjugés Etymologiquement, le terme « préjugé » se décompose d’abord par le préfixe pré- définissant une chose comme étant préalablement établie, immédiate, comme un fait couru d’avance, puis par –jugé, qui se traduit en grec par « krinein » que l’on retrouve dans la langue

les agissements de la Garde de fer. Il y attaque particulièrement le dogmatisme sous toutes ses formes. Nous étudierons d’abord l’opposition qu’il crée entre les personnages doctrinaires : Jean, Dudard et Botard, et l’homme de bon sens qu’est Bérenger, puis nous verrons les duos contradictoires faisant ressortir les failles du dogmatisme et, finalement, constaterons les conséquences du dogmatisme. Ionesco dénonce le dogmatisme en opposant les personnages doctrinaires à l’homme de bon sens. Il

raison historique : les sciences exactes balbutient à la Renaissance et bon nombre de phénomènes sont incompré- hensibles. axe 2 contre le dogmatisme * " Les hommes, aux faits qu'on leur propose … les causes" + " Ils passent … les conséquences". Montaigne dénonce ici le dogmatisme. Le dogmatisme consiste à s'appuyer sur des vérités que l'on ne peut contester; il éloigne l'homme de la réalité car l'homme ne remet plus cette réalité en question; l'homme utilise

ligne 6, insiste sur les dangers du dogmatisme ; de la ligne 6 à la fin du texte il met en évidence les vertus du scepticisme. 5) Les limites : si Russell a raison de dire que le doute est libérateur, ne faut-il pas toutefois s’interroger sur les limites de doute ? Un doute excessif ne serait-il pas contre-productif ? Plan de l’explication Les parties de l’explication suivent les parties du texte. 1) Ce que la philosophie n’est pas : le refus du dogmatisme et des « vérités » toutes faites

Y-A-T-IL DES VÉRITÉS INDUSCUTABLES ?«  A chacun sa vérité », entend-on parfois, comme si l’on se méfiait de l’idée qu’il pourrait y avoir une vérité définitive, qui vendrait menacer la possibilité, pour chacun, de donner son avis, comme si la vérité coupait court à toute discussion. D’un autre côté, une vérité ne paraît en être une que parce qu’elle met tout le monde d’accord. Y-a-t-il alors, des vérités indiscutables ? La vérité se définit traditionnellement depuis le moyen âge, comme

de dialogue entre deux personnes : Boldmind et Medroso. Ceux-ci dont les points de vues différent, délibèrent sur la liberté de pensé Leur délibération nous amène à étudier les caractéristiques de la liberté de penser qui s’opposent à celles du dogmatisme. Ainsi, en premier lieu nous étudierons l’opposition entre Boldmind et Medroso et en second lieu, la critique faite par Boldmind des Dogmes. I) Boldmind vs Medroso: 1) Opposition entre noms et racines • Dès le début du texte, on remarque

élargissent le champ de nos pensées et les délivrent de la tyrannie de la coutume. Tout en diminuant notre certitude à l'égard de ce que sont les choses, elle augmente beaucoup notre connaissance à l'égard de ce qu'elles peuvent être ; elle repousse le dogmatisme quelque peu arrogant de ceux qui n'ont jamais pénétré dans la région du doute libérateur et garde vivace notre sens de l'étonnement en nous montrant les choses familières sous un aspect non familier. Bertrand Russell, Problèmes de philosophie