Doit On Obeir Aux Lois Démocratie

dans les premiers débats tenus sous l’assemblée constituante, après la Révolution Française. Les Révolutionnaires sont à l’origine d’une réflexion profonde et approfondie sur la notion de fonctionnaire et sur la façon dont la souveraineté de l’Etat doit être portée par ses agents. L’entité de Nation est servie par le pouvoir militaire, et ceux qui portent la parole administrative. Selon les révolutionnaires, les fonctionnaires ont pour mission de mettre en ' uvre les décisions du pouvoir politique

conflits quasi-inexistants (en partie en raison de l’absence de réelle différenciation sociale, pas de possibilité de prise d’ascendant sur un autre individu ou groupe), l’obéissance à une coutume ancestrale (qui tient lieu à la fois de constitution, de lois, de règle de gouvernement). En cas de désobéissance à la coutume, la sanction (essentiellement morale ou religieuse) est immédiate : L’individu est mis au ban de la société par une sorte de mépris généralisé, ce qui correspond quasiment à un arrêt

Rousseau la suprématie de la loi en tant que norme souveraine et surtout, l’hégémonie du législateur et du pouvoir législatif. Marie-Anne Cohendet définit la loi de façon générale comme étant « une norme générale et impersonnelle adoptée, en démocratie, par le peuple ou par ses représentants librement et régulièrement élus ». Dans un sens plus juridique, elle précise que cette « norme générale et impersonnelle » est adoptée par le Parlement et est située dans la hiérarchie des normes au dessous

dieu, et tout est en dieu qui est tout y compris l’homme qui n’est qu’un minuscule élément de cette infinité dont les lois le détermine comme toute autre chose. Il n’y arien hors de la nature puis que la nature est tout. Il n’y a pas de cause extérieure à la nature ce qui cause la nature c’est la nature elle-même par tous les processus qui y travaillent. anthropologie (les lois naturelle de la conduite humaine et les différentes logiques de vie possibles pour l’homme), Éthique (comment l’individu

Plan juridique, représente un peuple, une Nation. On peu aussi ajouter qu'un Etat est délimité par des frontières et qu'il exerce le pouvoir suprême sur son territoire. Cette vision de l'Etat est réductrice, un état est aussi une démocratie, dans ce sens, l'Etat se doit de prendre en compte les attentes de son peuple par la majorité. Il s'agira de voir si l'état se limite aux seules fonctions liées à l'exercice de la souveraineté. Pour répondre à cette question, il faudra bien entendu, dans un premier

quelle que soit l’époque ou le lieu se sont éventuellement demandés s’ils pouvaient faire confiance au peuple, ou s’ils étaient dans l’impossibilité de s’adresser au peuple en relation garnie de suspicion. Dans les démocraties occidentales, au pouvoir depuis le XVIIe siècle, la démocratie représentative ou la légitimité du décideur repose sur le consentement du citoyen grâce au vote majoritaire et via la consultation directe du peuple par le biais d’un referendum. Selon Frédéric Brahami, « La liberté

REDUIT-ELLE AU POUVOIR DE VIVRE LIBREMENT ? « Un être, ne se sent obligé que s'il est libre, et chaque obligation, prise à part, implique la liberté » Henri BERGSON Doit-on conclure de cette phrase que l'homme ne peut-être libre, que lorsqu'il respecte des lois ?. Mais cette liberté, se suffit-elle au simple respect des lois ?. De plus, la liberté politique, est-elle suffisante pour espérer « vivre », au sens le plus large ?. Cette liberté politique qui est la jouissance des droits politiques

suprême et architectonique par excellence. Or une telle science est manifestement la Politique, car c’est elle qui dispose quelles sont parmi les sciences celles qui sont nécessaires dans les cités, et quelles sortes de sciences chaque classe de citoyens doit apprendre, et jusqu’à quel point l’étude en sera poussée […] D’où il résulte que la fin de la Politique sera le bien proprement humain. Même si, en effet, il y a identité entre le bien de l’individu et celui de la cité, de toute façon c’est une tâche

sur la différence entre puissance et domination de Weber. La puissance pour Weber est toute chance de faire triompher sa volonté y compris par la violence et même contre des résistances. La domination est la chance de trouver des personnes prêtes à obéir à un ordre. Il conclut, tout véritable rapport de domination comporte un minimum de volonté d'obéir. Cette idée, a été développée notamment avec Étienne de la BOETIS qui a écrit « discours de la servitude volontaire », 1574. Ce texte dénonce le pouvoir

société à une époque donnée, en un lieu donnée. «Ubi societas, ibi ius » là où il y a une société, il y a un droit. Source du droit : ce qui contribue à créer l'ensemble des règles juridiques. Cela provient-t-il des hommes ? Des jugements ? Des lois ? En tout cas on peut d'abord dire que le droit n'est pas de création ex-nihilo car il y a une filiation des règles de droit. On peut se poser les questions suivantes : Pourquoi se soumet-t-on au droit ? Pourquoi est-il légitime ? Il y a le