Doit On Obeir Aux Lois Démocratie

au fondement de l’entrée en société. ❖ Il veut savoir pourquoi cette inégalité est apparue. ❖ Selon lui, il y a eu un homme qui a déclaré qu’un espace lui appartenait, fondant ainsi la notion de propriété : fondement de la société. ❖ Les lois issues de la proclamation de la société ne seront jamais parfaites et ne pourront que corriger les inégalités et non garantir l’égalité. ❖ Il pose cette hypothèse pour montrer que c’est la propriété qui est à la base de la société. ❖ Le passage

effet, il faut différencier les lois constitutionnelles rédiger par un groupe de personnes et les lois rédiger et prisent par l'assemblée nationale et le sénat, représentant du peuple. Le droit constitutionnel fixe le fonctionnement et l'organisation d'un État ainsi que les droit et devoirs du citoyen tandis que les lois désignent des règles juridiques. La constitution est un acte écrit généralement solennel dont les dispositions ont une valeur supérieure à celle des lois et ne peuvent être élaborer

romain et est un des + important du droit actuels. Ils regroupent aussi des textes écrient par des juristes romain écris sous la période classique. Elle est en mettre en parallèle avec une autre maxime le prince est délié des lois qui laisse l’empereur au dessus de certaines lois du droit privée. A la suite d’Ulpien que ce droit public concerne l’ensemble des rapports ou étaient impliqué le peuple romain dans sa globalité appartenait à la sphère du droit public. Au Moyen-âge cette distinction était

et la démocratie qui s'inspirent de principes différents et qui risquent de s'opposer. En effet, la démocratie, c'est le pouvoir du démos, du peuple. Il l'exerce directement, en se constituant lui-même en assemblée. Mais, la démocratie directe n'est possible que dans de petits Etats, sur le modèle des cités grecques de l'Antiquité. Reste la démocratie représentative : le peuple doit se résigner à élire des représentants, tout en continuant à s'en méfier. Mais ces représentants, en démocratie, sont

comme indépendance ou absence de contrainte, un pouvoir absolu qui risque de se supprimer lui-même, soit elle est un pouvoir limité, supposant une négation ou tout au moins une restriction de notre volonté. Il convient dès lors de se demander si l’on doit concevoir la liberté comme absence de contrainte ou bien comme autonomie (dans le champ politique), ou encore comme la libre satisfaction de nos désirs pu la soumission à la raison (pour caractériser l’action humaine en général). Autrement dit, la

par la nature. Dans la grande famille dont tous les membres sont naturellement égaux, l'autorité politique purement arbitraire quant à son institution, ne peut être fondée que sur des conventions, ni le magistrat commander aux autres qu'en vertu des lois. Les devoirs du père lui sont dictés par des sentiments naturels, et d'un ton qui lui permet rarement de désobéir. Les chefs n'ont point de semblable règle, et ne sont réellement tenus envers le peuple qu'à ce qu'ils lui ont promis de faire, et dont

Puisque c'est la loi qui donne les compétences aux collectivités territoriales, il est évident que les collectivités territoriales ne peuvent pas avoir un pouvoir normatif qui soit du même niveau que le pouvoir législatif. Dans un état unitaire, la loi doit pouvoir imposer a la fois les matières dans lesquels les collectivités vont agir mais aussi les conditions dans lesquels elles vont agir. On ne peut pas admettre dans un état décentraliser que les collectivités territoriales est un pouvoir qui concurrence

droit qui périt quand la force cesse ? » Rousseau Il y a antinomie des deux notions (mais où cette fois est conçue l’idée de liberté comme liberté de la volonté) : * Dans les faits, un rapport de force est un rapport physique qui est soumis aux lois de la nature et peut donc s’inverser (fable du chêne et du roseau ; les mafias) ; le relâchement physique nécessaire empêche la force de se maintenir durablement. * En théorie aussi car si la force est la plus forte, elle n’a pas besoin du droit

droits et les devoirs du citoyen. Dans un Etat démocratique, le citoyen est considéré du point de vue de ses devoirs envers la patrie et de ses droits politiques. Il est important de les connaître pour l’avenir. Nous vivons en communauté et chacun doit respecter les droits d’autrui pour le bien-être de tous. Quels sont-ils ? Comment devient-on citoyen ? Qui vérifie que les droits sont respectés ? Pour répondre à ces questions, dans un premier temps nous parlerons du citoyen, puis nous étudierons

science parfaite, à la véritable sagesse (sophia). Platon ne s’intéresse guère alors aux cités concrètes qui sont étrangères à la science et sont gouvernées par des hommes ne pratiquant guère la philosophie. Ce n’est que dans son dernier dialogue, Les Lois, que Platon pense la possibilité d’une application de ses théories dans le cadre d’une cité existante. Pour Aristote, la cité est la communauté d’hommes (de citoyens) vivant sous une certaine constitution (politeia). Selon le schéma