Donation de Constantin

Direction des Recherches et Vérifications par le Décret exécutif N° 98/228 du 13 juillet 1998 portant organisation de l’administration centrale il a été mis en place des sections régionales de vérifications ayant une compétence nationale à ORAN, CONSTANTINE et ALGER. 3. Etablissement du programme de vérification La programmation de contribuables en vérification obéit à des règles de procédure et à des critères de sélection définis par l’administration centrale. L’établissement de ses programmes et

réformateur des années 1110. - Les sources juridiques et diplomatiques Il n’existe pas de traduction accessible de la législation ecclésiastique (actes conciliaires, statuts synodaux), des actes publics (actes royaux), ou des actes privés (vente, donation, testament, constitution de dot/douaire). - Œuvres d’art et témoignages archéologiques Problématique générale Les historiographies nationales sont assez différentes et ne font pas porter l’accent sur les mêmes choses. Pour les historiens

le pape, « ces deux moitiés de Dieu », comme dira Victor Hugo dans La Légende des siècles, l’amitié ne se démentira pas. Mais l’empereur n’a pas l’intention d’abandonner son pouvoir au vieux maître : il dénonce La Fausse donation de Constantin (selon ce texte apocryphe, Constantin, avant de quitter Rome, aurait donné au pape Sylvestre Ier l’autorité sur la Ville et l’Occident) ; Otton III estime que c’est l’empereur qui règne. Aidé du pape, il veut restaurer l’Empire chrétien dont la capitale est

⎝On n’emploie plus d’huile mais de la cire, ⎝Plus de papyrus à la chancellerie impériale mais du parchemin (peau de certains animaux) ; ⎝Les monnaies d’or cèdent la place aux monnaies d’argent. La monnaie utilisée à l’époque est le sous d’or de Constantin mais les stocks d’or sont utilisés pour payer les produits de luxe venus de l’orient mais sont excessivement chers & dès le règne de Pépin le Bref (751) l’argent remplace l’or sur le marché intérieur de l’occident. Charlemagne va officiellement

le pouvoir de l’empereur Deux grandes phases : jusqu’au 4° ap JC : l’autorité impériale ignore les chrétiens et les persécutent A partir du 4° : reconnu officiellement par l’empereur et élevé au rang de religion d’état (313 : édit de Milan), Constantin le reconnaît officiellement 380 : devient religion d’état par l’édit de Thessalonique dû à l’empereur Théodore I Paragraphe 1 : Les fluctuations de la position de l’état envers l’église Longtemps méfiance des chrétiens : persécution Au début

l’empereur Constantin, qui va se convertir au christianisme en l’année 312 & cela par un calcul politique : cette religion à vocation universelle pourrait créer un lien fédérateur entre tous les peuples de l’Empire & toute unité dans l’Empire renforcerait le pouvoir de l’Empereur. En 313, par l’Edit de Milan, l’empereur Constantin autorise officiellement le culte chrétien : la pratique de la religion devient permise & les biens confisqués aux chrétiens leur sont rendues. Constantin donne des

protagoniste politique, elle ne fera que se renforcer grâce a certains documents, certains actes, comme notamment la fausse donation de Constantin (un faux, un acte/ un écrit dans lequel il est préciser que l’empereur Constantin au 4e siècle après avoir été guérit de la lèpre par un pape, lui aurait abandonné/céder ainsi que ses successeurs, la ville de Rome. Cette fausse donation revient à reconnaitre au pape l’imperium sur l’occident. Cet acte est mentionné des le 9e siècle. Et cet acte est utilise

un syncrétisme religieux en réunissant plusieurs religions. Une certaine pensée est en train de se diffuser dans les hautes sphères : le stoïcisme : égalité entre les hommes, tous le même destin. Lien qui s’est fait vers la religion chrétienne. Constantin, en 313 s’est converti au christianisme. Avec l’édit de Milan, il autorise le culte chrétien. En 311, édit sur la tolérance cultuelle. Ce n’est qu’en 380 que l’empereur décide d’en faire une religion d’état. Volonté politique d’unité, évolution

Cette nouvelle période, marquée par une transformation du droit (due notamment à l'hellénisation), couvre la fin de la République, jusqu'en 27 avant Jésus-Christ, et le Haut empire, de 27 à 284 ; elle s'achève avec Dioclétien et l'avènement de Constantin, le premier des empereurs chrétiens. Au IIIe siècle la stabilité du régime républicain repose avant tout sur l'équilibre des institutions et l'harmonie des classes. Le gouvernement se trouve aux mains d'une aristocratie, la noblesse sénatoriale

D) L’Empire au service de la Res publica : Le caractère de l’empire va être renforcé à partir du 3° s après JC. Du au caractère fonctionnel de l’Empire. L’utilitas publica va être présenté comme le but, comme l’objet essentiel de l’Empire. Avec Constantin, le pouvoir est exercé en vue de l’utilité publique. Et ce qui va renforcer cette façon de considérer le pouvoir, c’est la reconnaissance par l’Eglise, par le christianisme de ce concept qu’est l’utilité publique. Tout pouvoir terrestre est voulu