Donation de Constantin

le pouvoir de l’empereur Deux grandes phases : jusqu’au 4° ap JC : l’autorité impériale ignore les chrétiens et les persécutent A partir du 4° : reconnu officiellement par l’empereur et élevé au rang de religion d’état (313 : édit de Milan), Constantin le reconnaît officiellement 380 : devient religion d’état par l’édit de Thessalonique dû à l’empereur Théodore I Paragraphe 1 : Les fluctuations de la position de l’état envers l’église Longtemps méfiance des chrétiens : persécution Au début

va vouloir utiliser la religion païenne pour ressouder les romains. Caractéristique de cette empereur : il va séparer l’Empire en deux. A la tête de chaque empire, un auguste secondé par deux césars. Edit de tolérance en 311. Il faudra attendre Constantin, il va en faire une religion licite : édit de Milan 313 qui autorise la religion chrétienne. Lorsqu’il va réunir les deux empire, l’édit va se répandre dans tout l’empire. Concile de Nicée en 325 : ils décident de ce doit être la religion. Les autres

voit se dessiner les éléments qui vont permettre cette reconstruction politique de l’Europe Occidentale. A la fin du 3ème siècle, le gouvernement romain va partager en deux parties (orientale et occidentale) où il y a un empereur. Au 4ème siècle, Constantin créé et reforme Constantinople, comme la nouvelle Rome, il y a un glissement de pouvoir (en Orient). C’est une forme d’abandon partielle de la centralité, de la Rome occidentale. La religion est tolérée. A la fin du 4ème siècle, le christianisme

République ...................................... 112 4.6. Autres aspects de la République ................................................................................ 114 5. L’EMPIRE ROMAIN, D’AUGUSTE A CONSTANTIN .......................................115 5. L’EMPIRE ROMAIN, D’AUGUSTE A CONSTANTIN .......................................115 5.1. César, Auguste et la naissance de l'art impérial....................................................... 115 5.1.a. Architecture et Urbanisme [005022] ...

série de crise (militaire, politique, économique, sociale, religieuse) qui viennent s'ajouter. Entre 260 et 284 le pouvoir impérial tente de se ressaisir avec l'empereur Aurélien mais c'est surtout à partir de ses successeurs Dioclétien et Constantin que l'empire va se réorganiser. Pour résoudre les problèmes militaires Dioclétien va mettre en place la tétrarchie, c'est une système de gouvernement à quatre têtes avec deux empereurs à savoir Dioclétien lui-même et Maximien, les deux

droit, une regle est obligatoire que sielle est passé en coutume, ce principe accepte mm le droit canoncique, alors quen principe la coutume n'est qun droit 2daire. Certaines questions vontetre regis par la coutume not le mariage, le testament les donations a l'eglise etc. En dehors de leglise la coutume a une emprise considerable dans tt le pops et pour eux la coutume regle tous les rapports juridiques Les coutumes et le droit coutumier Ces coutumes sont diff selon le territoire, la coutume va s'interesser

paiement aura été efficace. La répétition de l’indu (réclamation de ce qui a été versé sans être dû) est impossible car ce qui a été payé était dû, même si ça ne l’était pas civilement. Le paiement ne constitue pas une donation. Il ne peut pas être soumis au régime des donations. * La question de la novation. La novation correspond à la substitution à une obligation que l’on éteint d’une obligation nouvelle que l’on va créer. Si le débiteur prend l’engagement de payer l’obligation naturelle

cette étique qui va lui servir de point de repère, de mesure. C’est un homme qui se croyait sur le point de mourir. Il veut alors faire don d’une certaine somme d’argent à sa maîtresse. Aux yeux du droit civil romain, cette donation est interdite. Donc pour masquer la donation, cet homme reconnaît vis à vis de sa maîtresse la reconnaissance d’une dette. Cependant, il guérit et récupère l’argent. L’homme guérit de sa maladie, et comme la perte du gain est importante, la maîtresse est déçue du rétablissement

science des grands juristes. Face à ces deux formes nouvelles de coutume, attitude variable du pouvoir. Certains emp. comme Dioclétien opposèrent aux usages provinciaux et aux déviations vulgaires le barrage de leurs rescrits ; d’autres, comme Constantin, se montrèrent moins sensible à la défense de la pureté classique ; leurs constitutions étaient perméables à bien des innovations provinciales ou vulgaires. b)- Les constitutions impériales Au B. E

nouvelle période, marquée par une transformation du | |droit (due notamment à l'hellénisation), couvre la fin de la République, jusqu'en 27 avant Jésus-Christ, et le | |Haut empire, de 27 à 284 ; elle s'achève avec Dioclétien et l'avènement de Constantin, le premier des empereurs | |chrétiens. | |     Au IIIe siècle la stabilité du régime républicain repose avant tout sur l'équilibre des institutions