Dossier Sur La Censure 18eme Siècle

PLAN GENERAL I – De la fin du Moyen Age au XVIIIème SIECLE  le Moyen Age La 1ère question sociale = la sortie du moyen Age Les réponses dans le domaine de la pauvreté et de l’enfance  II - 18ème siècle : évolution des idées, des cadres politiques, économiques et sociétaux – et leurs effets sur la prise en charge des populations le mouvement des lumières la notion d’éducabilité des enfants et la considération des pauvres III – 19ème siècle : industrialisation, changements économiques et sociaux

indique des limites que devra respecter le pouvoir politique, elles peuvent prendre la forme de principes ou de règles. En fixant des règles la constitution élimine le bon plaisir et le despotisme. D’où la nécessité d’une constitution écrite. Au 19ème siècle la constitution écrite apparait comme un moyen de canaliser le pouvoir politique. Le mouvement constitutionaliste s’enracine dans les théories du Contrat social, qu’ils veulent renouveler ds une Constitution. Ce mouvement entend théoriser la mise

Sous la 5ème République, la Constitution qui est la norme suprême prévoit une véritable régulation de l’activité des pouvoirs publics. §1 La Constitution est la norme suprême Dans la conception des hommes de la révolution de 1789 et du siècle des lumières, la notion de Constitution est étroitement liée à celle de régime démocratique libérale. Les constituants de 1958, fidèles à cette conception et soucieux de promouvoir la démocratie libérale ont donc placé la Constitution au sommet de

semble osciller sans cesse entre l’éloignement et le rapprochement des villes, même si la tendance initiale serait à la relégation. Au 18ème siècle, la volonté de « nettoyer » la ville des vagabonds et des mendiants, initiée au Moyen Age, est toujours d’actualité. Il s’agit toujours de purger la ville des populations dangereuses. A partir de la fin du 19ème siècle, les constructions des prisons se réalisent peu à peu en dehors des villes, elles étaient jusque-là situées en centre-ville. Le mouvement

philosophie des libertés fondamentales La liberté vient de loin; de l'antiquité à Voltaire, Diderot, Rousseau en passant par St Thomas d'Aquin, Grotius et tous les autres grands philosophes. C'est une longue gestation qui va accoucher au XVIIIème siècle de la consécration des droits de l'homme et du libéralisme à travers la philosophie des lumières. Ces droits de l'homme vont faire l'objet de plusieurs critiques intellectuelles dont l'une va déboucher sur le rajout du socialisme au libéralisme, c'est

définitive, la règle de droit suppose nécessairement l'existence d'une juge devant lequel on a vocation à débattre de l'application de ces règles. La question qui a pu se poser et de savoir s'il existe des règles de droit sans sanctions. Au 19ème siècle, les auteurs appartenant au positivisme étatique ne concevaient pas une règle de droit non assortie de sanction par l’État. Pour eux, la règle de droit paraissait impliquer la force dont l’État est le défenseur exclusif. Cette position a été combattue

Président. Le juge d’instruction n’a pas pour objectif de trouver un coupable à tout prix. Il mène ses investigations dans tous les sens afin de mettre en relief les éléments de vérité7. On dit qu’il instruit à charge et à décharge, afin de rendre un dossier le plus objectif possible, et de respecter son devoir d’impartialité. Il dispose pour effectuer sa mission de plusieurs types de pouvoirs. D’une part, il est investi de pouvoirs d’enquête, qui lui permettent de procéder à des interrogatoires, des

européenne est une vieille idée. Dès le M.A on a développé des projets pour créer une Europe politique. Pour illustrer l’ancienneté de cette idée, un historien responsable du centre européen de la culture, Denis de Rougemont a écrit un ouvrage « 28 siècles d’Europe : la conscience européenne à travers les textes » datant de 1961. Dans cet ouvrage, on voit la conscience d’auteurs d’appartenir à une même communauté même dans des sources anciennes (grecs). Autre idée : relativité de la construction européenne

employer et son employeur, ce sont les relations contractuelles qui reposent sur le contrat de travail. Les relations collectives se nouent d'abord dans le cadre de l'entreprise et elles se sont développées avec l'essor du syndicalisme à la fin du 19ème siècle avec la loi de 1884 qui reconnaît le droit syndicale. À partir de là apparaissent des intérêts collectifs. Dans cette approche, le salarié est perçu comme un membre du personnel et le personne est doté d'organe de représentation (les comités d'entreprise

n’étaient pas distingués l’un de l’autre. Ce sont les Romains qui séparèrent les règles “ données ” par les dieux (fas = fatum = destin) des règles définies par les hommes (jus). Le droit était né. En fait les plus grands philosophes, notamment au 18ème siècle, se sont penchés sur cette distinction. En synthèse, quelles sont les différences évidentes et objectives entre ces deux chapitres capitaux de notre comportement en société ? Très vite, apparaîtra la notion de contrainte, de punition en ce