Douaire

écrira en 1890 : « Si l’enfant continue à fauter, c’est que la discipline n’est pas suffisante. » Les colonies publiques qui se créent entre 1860 et 1890, (Les premières colonies publiques apparaissent au milieu du Second Empire : Saint-Hilaire, les Douaires, puis dans les premières années de la IIIème République, Saint-Maurice, Belle-Île, Aniane) soulignent leur aspect répressif et disciplinaire : les jeunes couchent dans des dortoirs grillagés, les cages à poules, à la colonie de Saint-Maurice, les

pathos grandiloquent, fit entendre, du haut de la tribune, des paroles d’indignation au sujet des « intrigues abominables » qui, d’après lui, se tramaient dans l’entourage immédiat du président. Enfin, alors qu’il obtenait de l’Assemblée nationale un douaire pour la duchesse d’Orléans, le ministère repoussa toute proposition d’augmentation de la liste civile présidentielle. Or, chez Bonaparte, le prétendant impérial se confondait si étroitement avec le chevalier de fortune déchu qu’à sa grande idée de

étendue sur vos haines. Le ciel a trouvé le moyen de détruire votre bonheur par l'amour; et moi, pour avoir fermé les yeux sur vos querelles, j'ai perdu deux parents. Nous sommes tous punis. CAPULET.--O mon frère Montaigu, donne-moi ta main; ce sera le douaire de ma fille: je ne peux rien te demander de plus. MONTAIGU.--Et moi je puis te donner davantage, car je ferai élever sa statue en or pur, et tant que Vérone sera connue sous ce nom, nulle statue n'approchera du prix de celle de la tendre et fidèle

réprime le blasphème. Rarement le domaine d’intervention de la législation royale va avoir tendance à s’étendre, et le roi aura tendance à intervenir dans le domaine du droit privé, notamment en 1214, Philippe Auguste prend une ordonnance sur le Douaire qui prévoit que la femme mariée jouira à la mort de son mari de la moitié des biens du défunt. Il va également intervenir en matière féodale. Philippe Auguste continue essentiellement à légiférer par privilège (tout de même), et la plupart des actes

tout d'abord que de son vivant, le roi est libre face à son royaume. Il peut le distribuer, faire des largesses à ses guerriers (leur donner des terres), il peut aussi doter ses filles ou assurer quelques biens pour son épouse la reine qui sera le DOUAIRE. Puis, une autre idée découlera des conquêtes du roi : le royaume va se partager à sa mort comme une patrimoine privé. Il n'y a pas d'unité territoriale. L'unité n'est pas concervée et le royaume va être divisé entre les fils du roi et l'on procède

pratique, on doit assurer des moyens de vivre. Le sort du conjoint survivant, en général, est réglé au moment du contrat de mariage, par une donation. Il est aussi, en partie, réglé par la coutume qui reconnaît, à la femme, veuve, le droit à un douaire. La femme bénéficie d’un usufruit sur les propres de son mari. Donc, dans l’immense majorité des cas, le droit du conjoint survivant ne se règle pas sur le terrain des successions, mais relève du régime matrimonial. Toutefois, certaines coutumes

règles de droit. I) le vide juridique relatif Oubli de ce qui existait avant. La situation d’un veuve : quels sont ces droits par rapport aux biens de son défunt ? On constate que dans certains cas, un contrat est fait. Si pas de contrat, néant. Le douaire signifie que la veuve peut profiter des biens de son mari. II) La formation des coutumes territoriales S’opposent aux lois personnelles. Ces coutumes signifient que les personnes qui vivent sur un même territoire sont sous le même droit, un droit

concernant le sacrement mais surtout le mariage (qui fourni le plus d’affaire. Y compris les fiancailles, separation de corps, legitimation d’enfants,…), souvent a la demande des parties les juges ecclesiastique reglent les affaire patrimoniaux (dote, douaire,…). Tous les contrats et tout les testament assrtient d’un serment relevent de la competence du juge ecclesiastique. Or a partir du XIIe siecle les contrats sont bien assortient d’un serment et le doit des obligations est donc sanctionne par les officialites

revenu, proposé par le ministre Passy et dénoncé comme socialiste par les conservateurs. Une des premières propositions du ministère Barrot à l'Assemblée législative réunie de nouveau, fut une demande de crédit de 300 000 francs pour constituer un douaire à la duchesse d'Orléans. L'Assemblée nationale l'accorda, ajoutant ainsi au registre des dettes de la nation française une somme de sept millions de francs. Ainsi, pendant que Louis-Philippe continuait à jouer avec succès le rôle du « pauvre honteux

juridique. Peu de titres qui ne soient en langue anglaise. [ 1201 GOODY (Jack), L'évolution de la famille et du mariage en Europe, Armand Colin, Paris, 1985, 303 p. (Préface de Georges DUBY, trad, de Marthe Blinoff). 04, 12 dot, dot indirecte, douaire, famille, mariage, parenté (structure de). [ 1202 GOODY (Jack), TAMBIAH (S.J.), Bridewealth and dowry, Cambridge, 1973. 01, 04 dot. Ouvrage classique sur la dot et le « brideprice » ; indispensable bien qu'il ne s'intéresse pas à l'Antiquité