Dreyfusards Non Dreyfusards

Emil zola Naturalisme:Théorie selon laquelle la littérature se doit de dépeindre la nature et ses réalités et non de la rêver ou de l'interpréter. Dans une fin du XIXe siècle fascinée par la science, le naturalisme, véritable système d'analyse et d'explication de la nature, est l'aventure d'un groupe fortement structuré par la personnalité d'Émile Zola. Afin de chercher la vérité et de la donner à voir, il privilégie le roman, qui sera plus que tout autre le genre des grandes œuvres naturalistes

pendant le siège qui a duré plusieurs mois. Les habitants y voient une humiliation qui a été acceptée par le gouvernement de Thiers. De plus, le 10 mars, l’Assemblée décide de s’installer non plus à Paris mais à Versailles, ce qui est vécu comme une provocation des monarchistes (il s’agit sans doute davantage d’une forme de “punition” infligée aux Parisiens que le reste de la

« J’accuse », Emile Zola La 3ème République, aux mains des républicains depuis seulement 1879, est marquée par deux grosses crises en fin de siècle : le boulangisme, et l’affaire Dreyfus. Le boulangisme, non véritablement exploité ici, est un « courant politique », qui pour simplifier, regroupe les opposants au régime. Il marque la création d’une nouvelle droite nationaliste, qui jouera un rôle lors de l’affaire Dreyfus. Celle-ci, quant à elle, concerne le capitaine Alfred Dreyfus, qui est victime

atteindre la même audience. Toujours est il que son tirage élevé le plaçait parmi les premiers rangs de la presse française. Racheté en juillet 1879 par Arthur Meyer, le Gaulois prend alors un nouveau tournant conservateur et légitimiste. Anti-dreyfusard, il va devenir le journal de la bonne société et du grand monde, supplantant même par moment Le Figaro. Derrière ses aspects mondains et le ton assez terne de son contenu, il possédait une certaine puissance politique, étant lu par la noblesse et

républicains sont largement anticléricalistes : ils veulent favoriser l’entrée de la sciences en France, et affirmer leur pouvoir sans l’appui de l’Eglise, en contraste avec les monarchies d’auparavant. Ainsi, les membres des congrégations religieuses non autorisées n’ont pas le droit d’enseigner (Les Jésuites sont particulièrement visé). Le gouvernement décrète même la dissolution de la compagnie de Jésus. De plus, se développe un enseignement d’Etat, surtout concernant l’enseignement primaire : trois

Biographie d’Émile Zola Les années de jeunesse Fils unique de Francesco Zola (7 août 1796 à Venise – 27 mars 1847 à Paris), ingénieur italien qui travaillera à Aix-en-Provence, à la construction du canal qui portera son non, et d'Émilie Aubert (6 février 1819–17 octobre 1880), originaire de la Beauce bourguignonne, Émile naît à Paris le 2 avril 1840. La famille s'installe à Aix-en-Provence et connaît, à la mort du père, de graves difficultés financières. Au collège d'Aix, il est condisciple

pol, ainsi qu'un débat d'O par l'intermédiaire de la presse. Procès + condamnation en 1894, suivis par la presse, l'affaire est relancer par «  J'accuse » dans l'Aurore en 1898 → Sommet de la mobilisation pol. → Débat par la presse : Dreyfusards VS Anti-Dreyfusards →Chaque camps à ses journaux. →Ce qui créé une place dans la presse pour la Pol. A partir de la 1GM : - Presse d'info financée par les milieux d'affaires → Manque d'objectivité, Corruption des journalistes - Censure rétablie

son frère puis d’un journaliste Bernard Lazare puis du lieutenant-colonel Picquart puis du vice-président du Sénat Scheurer Kestner contre qui vont se dresser la coalition de forces nationalistes et antisémites 2 conceptions s’affrontent : les Dreyfusards pour qui justice, morale et politique doivent aller ensemble, la France proclame le droit et donne l’ex du droit les Antidreyfusards antisémites (nature traîtresse du juif) ou nationalistes : si armée et justice militaire mises en cause, c’est

juifs français d'adopter une autre politique que celle du silence. le colonel Georges Picquart, chef du contre-espionnage, decouvre en mars 1896 que le vrai traître avait été le commandant Ferdinand Walsin Esterházy celui ci découvre un télégramme non posté, expédié par Schwarzkoppen à un certain commandant Esterhazy. Il s'agit d'un comte de vieille noblesse hongroise, criblé de dettes, menant mauvaise vie et jouant gros jeu. Picquart lit notamment un demande d'entrée au Ministère, signée de la main

tort d'espionnage. Tout commence en 1898 quand l'article « j'accuse » d'Emile Zola qui met en accusation le jury militaire du procès et réclame la révision du procès. Deux partis s'affrontent donc: Les Dreyfusards : qui soutiennent les droits de l'homme et la notion de justice et les Anti-Dreyfusards :qui soutiennent l'honneur de l'armée et le bien fondé de l'état. Mais enfait tout est réalisé sur fond d'antisémitisme. Le gouvernement rapatrie Dreyfus du bagne. Il se refait jugé en 1899 ou il accepte