Droit féodal

Introduction au droit Introduction : Selon un prof de droit, « la quête de la justice est peut-être l’aspiration la plus viscérale du cœur humain » (Alain Seraux) → Au fond de lui-même, l’homme apporte de l’importance à la justice. Cela fait partie de lui. Cette nécessité sociale et personnelle de justice en appel une autre : celle du droit, car si la justice n’est autre que la situation de ce que chacun possède et de ce à quoi il a droit, si la vertu de justice consiste à attribuer son droit dans ce

non de concurrence. Au XIIIème siècle, il y a des principes à respecter dans ces corps de métiers, les principaux étant la loyauté, l’honnêteté et le partage. Le rôle supérieur du maitre semble d’ailleurs plus paternel, et on parle justement du « droit du père » lors du stage de l’apprenti dans son atelier. Les rapports entre patrons et petits salariés ou apprentis sont très solidaires, tout comme les liens entre les différents maitres. Ces derniers, lors de leur entrée métier, prête serment, ce

renouveau » juridique, politique et social. Dans les faits, cette ambition a été incarnée par une succession de régimes différents les uns des autres et surtout ce renouveau s’est fait dans la douleur et la violence particulièrement en matière de droit constitutionnel. Cette période se caractérise par son incapacité à trouver un régime stable. En 10 ans, la France connaît 3 constitutions (1791, 1793, elle ne sera pas appliquée et 1795). Pourquoi une recherche de régime stable ? Il y a plusieurs révolutions

§ 1 : La condition des personnes et du patrimoine 287 Le droit des coutumes rédigées ne remet nullement en cause la structure sociale telle qu’elle s’était établie durant la monarchie capétienne. La société est divisée en trois ordres, possédant sa propre condition juridique. Le droit coutumier consacre diverses évolutions sociales à l’intérieur de chaque ordre. Les serfs, considérés comme roturiers libres mais frappés de nombreuses incapacités, bénéficient d’une amélioration de leurs conditions

qui produit lui même ses normes juridiques. L'état est constitué sur la base de normes juridiques et en particulier la constitution et en même temps l'état est lui même un producteur de normes juridiques. L'état est un système normatif, c'est le droit qui le constitue. Cela permet de souligner l'importance de la communauté nationale, de la population du point de vu de l'existence de l'état. I- La communauté humaine ou la population de l'état : A) population et nation : L'état est

française de 16962 appelle l'État en tant que « gouvernement d’un peuple vivant sous la domination d’un prince ou en république », ou bien le pays lui-même, c'est-à-dire l'État entendu « pour le pays même qui est sous une telle domination ». En droit international, un État souverain est vu comme délimité par des frontières territoriales établies, à l'intérieur desquelles ses lois s'appliquent à une population permanente, et comme constitué d’institutions par lesquelles il exerce une autorité

optimal de l’Etat en souffre. A cela, et eu égard à l’évolution des sociétés contemporaines, nous pouvons ajouter les diversités culturelles que l’on peut rencontrer dans certains Etats, car tous ne sont pas de véritables nations. A ce titre, le droit comparé nous sera d’un secours non négligeable. Partant de tous ces facteurs, nous pouvons nous demander si malgré leur existence, le dessein de l’Etat unitaire se réalise toujours sans encombre. Ainsi, la forme unitaire de l’Etat, lui est elle

en sorte que les grands féodaux perdent l’essentiel de leurs droits régaliens. Ils exigent d’eux des soldats, lèvent des impôts, imposent la justice du prince… Toutefois, au début du règne de François Ier, le duc Charles de Bourbon (descendant de Saint Louis) était maître d’un territoire grand comme 12 départements. C’est un véritable Etat dans l’Etat, avec une capitale, une administration, une politique propre … L’unité du royaume est donc entravée par les enclaves féodales et les territoires soumis

par le besoin de vivre ensemble et rassemblent tout ceux qui produisent et participent à l'utilité commune de ce corps. La nation c'est aussi pour S un groupe autonome d'individus eux aussi autonomes , libres et propriétaire. Égaux entre eux et en droit. Mais une Double exclusion : 1ere catégorie : Tout les privilégiés car pour lui ils ne participent pas à l'utilité commune deuxieme catégorie : et les pauvres qui ne sont pas propriétaires car ils n'ont pas la richesse suffisante pour être

FRANCE Un droit bien réel, mais très dépendant des rapports de forces En France, le droit de grève existe bel et bien et les salariés ne se privent pas de l’utiliser. Depuis cent quarante ans, ce droit n’a cessé d’évoluer, en réponse le plus souvent aux épisodes marquants de la lutte de classe. Le cadre juridique dans lequel ce droit s’exerce est relativement peu contraignant, mais la tentation de le remettre en cause est forte au sein de la classe politique. Plusieurs exemples montrent cependant