Droit Regalien

réaliser certains effets de droit. Charles VIII, fils de Louis XI, est né le 30 juin 1470 au château d'Amboise et y meurt le 7 avril 1498. Il est le septième et dernier roi de la succession directe de la dynastie capétienne. Il monte sur le trône à 13 ans. Nous nous situons en 1497, l'année où Charles VIII a capitulé à Naples. C'est une période trouble pour la France. Ce texte a pour sujet de mettre par écrit le droit français, plus précisément même le droit coutumier par écrit car selon

TD 10 : Officiers et Commissaires Officiers et commissaires ont la même origine. L’organisation de la société trouve son origine dans la féodalité. Le Roi est suzerain en son royaume, les Seigneurs lui usurpent ou concèdent ses pouvoirs régaliens : donc les Seigneurs sont en aucun cas des agents royaux. Le Roi exerce son pouvoir dans son domaine (Royal). Il va donc organiser la gestion de son domaine avec ses domestiques au tout début car n’as pas encore d’agents royaux. Ses domestiques assuraient

Droit public économique I. Le service public à la Française 16ème siècle : Les services publics datent du 16ème siècle. Le pouvoir tel qu’il soit a toujours voulu intervenir sur le service public. Les plus importants sont dit de services « régaliens » : droit, armée, justice, police, monnaie et impôts. On peut considérer que les premiers services publics ont été toutes les infrastructures qui organisent le territoire. A l’époque, l’économie intéressait le pouvoir du moment qu’il la renforçait

mathématiques. - idéologique: le libéralisme est dominant l'État est neutre abstentionniste. Il gere les tâches régaliennes. - politique: on assiste à un régime parlementaire où les représentants avaient tous les pouvoir financier: la prééminence du Parlement sur l'exécutif - masses budgetaires • dépenses publiques réduite faible par le montant et portent sur les tâches régaliennes • Recettes publique réduite faibles et portent sur une distinction entre recette normal (impôts) et recette exceptionnel

tous égaux entre eux. Cependant, ils n'ont de pouvoir que sur leur peuple et territoire propre à chaque état. Mais ils ne peuvent agir les uns sur les autres. Ainsi, les états sont tous égaux, tous souverain, mais ils choisisent de se soumettre au droit international afin d'encadrer leur puissance. Mais la souveraineté reste la puissance absolue qui appartient à l'état. La souveraineté est indivisible, et l'état ne connait donc aucune personne qui lui serait égale ou supérieure. Mais la souverainté

Droit administratif adrien.laurent@u-psud.fr Sommaire I. Introduction 2 II. L’organisation de l’Administration en France 3 A. Les différentes formes d’Etat 3 B. Les modalités d’organisation de l’Etat unitaire 4 L’administration centralisée 5 I. Les attributions administratives de l’exécutif 5 A. Les attributions du président 5 1. Le pouvoir réglementaire 5 2. Le pouvoir de nomination 6 3. Les compétences exceptionnelles 6 B. Le premier ministre 6 1. Pouvoir réglementaire 6 2. Pouvoir de nomination

Comme a dû le faire le principal architecte de la cinquième République, le général de Gaulle, alors président de la République, en 1962 lorsque le Conseil d’Etat a rendu son arrêt « Canal », le citoyen est en droit de se demander si il reste encore des actes administratifs non susceptibles de recours : une telle décision semble vouloir indiquer qu’aucun des actes administratifs, des plus banaux à ceux provenant même du plus haut de la hiérarchie administrative ne peut dorénavant se prévaloir d’une

d'assurer l'exercice du droit. Sans cela, le risque que chacun puisse à sa guise user de la violence ne pourrait être sérieusement écarté. Avant tout, il faut dire qu’il existe différentes manières de diriger le peuple, qu’elles soient légitimes ou non. On nommera entre autres l’anarchie qui se définit comme étant un gouvernement où l’autorité politique est nulle, le totalitarisme où le pouvoir réside dans les mains d’un seul homme qui abuse de son autorité en légiférant un droit de prise de pouvoir

subordination, légitime. (cf. Lévi-Strauss, Simone Veil sur les ? de la légitimité de l’autorité) L’Etat pose aussi des ? de participation plus ou moins démocratique à la conduite de la vie politique, transposition de la volonté générale. l’Etat de droit est une notion centrale, î a ces règles constitutionnelles qui contraignent l’action de l’Etat. Mais l’idée de l’Etat est l’institution est une ambigüité car l’Etat n’est qu’une fiction, l’Etat n’existe que parce que nous y croyons. C’est un consensus

détient un moyen spécifique que non pas les autres groupements politique. Ce moyen que n’ont pas les autres groupement politique c’est la violence pour Marx weber l’état est l’unique source du droit à la violence les autres groupe ou même les individus ont le droit de faire appel a la violence mais n’ont le droit de faire appel à la violence que dans la mesure ou l’état le tolère. Il n’ya situation, de légitime défense que lorsque sont réunis les conditions citée par le code pénale pour la reconnaissance