Du Pareil Au Même Faiblesses

un jour dit au Roseau : " Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ; Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent, qui d’aventure Fait rider la face de l’eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d’arrêter les rayons du soleil, Brave l’effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais

déformer. Deuxièmement, nous remarquons un monologue intérieur qui rapporte longuement la pensée de julien. A la ligne 8 « ils ont faim,peut-être en ce moment » avec l'introduction d'un verbe déclaratif  « se dit il à lui même » ainsi qu'a la ligne 24 « l'empêcher de chanter! »avec la même introduction. On s'aperçoit que la conscience de julien monte en crescendo au fur et à mesure que le diner s'étire; De l'hésitation à la ligne 8  « ils ont faim,peut être en ce moment » en passant par la souffrance

1Le Chêne un jour dit au Roseau :"Vous avez bien sujet d'accuser la Nature ;Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau.Le moindre vent, qui d'aventure5Fait rider la face de l'eau,Vous oblige à baisser la tête :Cependant que mon front, au Caucase pareil,Non content d'arrêter les rayons du soleil,Brave l'effort de la tempête.10Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr.Encor si vous naissiez à l'abri du feuillageDont je couvre le voisinage,Vous n'auriez pas tant à souffrir :Je vous défendrais de

jeu sur la force et la faiblesse        a. la force de l'argent et la faiblesse sentimentale         b. la faiblesse sociale et la force du refus         c. la force des préjugés et la faiblesse de l'amour  II La présence obsédante des autres        a. l'argent comme représentant de la société         b. la crainte du " qu'en dira-t-on ? "         c. la souffrance rédemptrice6. Lecture méthodique I - Le jeu sur la force et la faiblesse a) la force de l'argent et la faiblesse sentimentaleZola utilise

exceptionnelle qui a dépassé le million, Mouret propose à Denise de l'épouser. I/ Le jeu sur la force et la faiblesse ..1. La force de l'argent et la faiblesse sentimentale Zola utilise les discours direct, indirect et indirect libre pour traduire la pensée de ses héros. Pour Octave, tout se traduit en termes d'argent. Ceci se apparaît dans le texte par une exclamation au style indirect : " Eh quoi ! même à ce prix, elle se refusait encore ! ". La force de l'argent est caractérisée par un vocabulaire

un jour dit au Roseau : " Vous avez bien sujet d’accuser la Nature ; Un Roitelet pour vous est un pesant fardeau. Le moindre vent, qui d’aventure Fait rider la face de l’eau, Vous oblige à baisser la tête : Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d’arrêter les rayons du soleil, Brave l’effort de la tempête. Tout vous est Aquilon, tout me semble Zéphyr. Encor si vous naissiez à l’abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n’auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais

cependant »au début du vers 7, et poursuit en se décrivant lui-même, tel un total opposé du roseau ; il se met en avant et se présente comme quelqu’un de fort comme on peut le constater du vers 7 au vers 9 : « Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du Soleil, Brave l'effort de la tempête. » On constate notamment l’usage d’une hyperbole au vers 7 : « Cependant que mon front, au Caucase pareil, » ici le chêne se compare au Caucase qui est une chaîne de montagne

protectorat de Fouquet, arrêté de force par Louis XIV, lui confère les possibilités d’énoncer et de traiter inlassablement de la "Loi du plus fort", d’où il puise la plus grande partie de ses idées. Enfin, sa morale constitue un des piliers de ses fables, même quand celle-ci n’est explicitée. Le caractère très austère de la fable Le chêne et le roseau vient du fait qu’elle ait été écrite dans le 1er livre, sa période de fable égayée n’intervenant qu’après. Lecture de la fable Télécharger Le chêne

protectorat de Fouquet, arrêté de force par Louis XIV, lui confère les possibilités d’énoncer et de traiter inlassablement de la "Loi du plus fort", d’où il puise la plus grande partie de ses idées. Enfin, sa morale constitue un des piliers de ses fables, même quand celle-ci n’est explicitée. Le caractère très austère de la fable Le chêne et le roseau vient du fait qu’elle ait été écrite dans le 1er livre, sa période de fable égayée n’intervenant qu’après. 1 5 10 15 20 25 30

ondulations, crevasses… Et tous ces plans dès lors si nettement articulés, ces dalles minces où la lumière avec application couche ses feux, - sans un regard pour la mollesse ignoble sous-jacente. Ce lâche et froid sous-sol que l'on nomme la mie a son tissu pareil à celui des éponges : feuilles ou fleurs y sont comme des sœurs siamoises soudées par tous les coudes à la fois. Lorsque le pain rassit ces fleurs fanent et se rétrécissent : elles se détachent alors les unes des autres, et la masse en devient friable…