Du Taylorisme Au Toyotisme Rupture Ou Continuité

emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du taylorisme/fordisme aux NMOT sous la pression de l’automatisation, et changement de qualifications : élévation du niveau de formation (initiale et continue), importance de la maîtrise de l’information, individualisation des compétences ; aspects positifs (post-taylorisme) et négatifs (néo-tatlorisme) B conséquences du fait d’une évolution du rôle social du travail (progrès technique,

innovation n'est jamais acquis, quelle que soit la qualité intrinsèque de l'invention. · Ce processus obéit à des séquences qui marquent, dans le temps, son appropriation par le corps social. · L'innovation se heurte à l'ordre établi, et suppose une rupture, qui s'appuie sur la déviance. · Cette activité n'est ni prévisible, ni prescriptible. Elle n'est pas liée à une fonction, et peut être le fait quotidien d'opérateurs quelconques. · Elle ne répond pas à la seule rationalité économique, mais bien plus

fabrication OP.3 Dégager les principes du toyotisme présenté ci-dessous. En quoi ce système est-il initiateur de l’approche processus ? Taiichi Ohno et le Toyotisme 1 - Extrait d’un article de Jacques BARRAUX -  1993 - L'Expansion Haut du formulaire Taiichi Ohno (1912 – 1990) … ne se prenait pas pour un visionnaire, mais, en imposant une nouvelle façon de produire, il a réinventé le management … tout le monde a entendu parler des mots qui ont popularisé le toyotisme dont il est le père : le juste-à-temps

l’époque de l’agriculture et de l’élevage, le travail n’avait pas de séparation avec la vie ou encore avec la sphère religieuse et symbolique  → formes différentes mais cadre durables (on va donc voir les transformations mais sans perdre de vue les continuités) : - Primat du travail pour la subsistance Large acception du travail «  diverses manières inventées par l’homme pour agir sur son environnement naturel et en extraire les moyens matériels de son existence sociale » (M. Godelier, « Travail », in

les découvertes sont souvent bonnes pour eux. Ces progrès petit à petit tendent à une industrie chimique et pharmaceutique comme on l’a connaît actuellement (c’est le début). Les Révolution industrielles : Synthèses et interprétations  Rupture ou continuité ? On recherche encore la cause première. Beaucoup d’antécédents, rien n’aurait été possible s’il n’y avait pas eu un processus au préalable. Personne ok sur ce qui a été le plus important (transport ? révolution agricole ? vague de gadgets

matière d’organisation et qui sont perçues par leurs auteurs comme des références. En ce qui nous concerne, nous allons développer deux modèles organisationnels de référence très largement répandus dans les entreprises. Il s’agit du Taylorisme et du Toyotisme. 1 – Le Taylorisme Plus connu sous le sigle de l’OST (organisation scientifique du travail) le modèle organisationnel développé par F.W. Taylor (1856-1915) est fondé sur les principes suivants : Une division fonctionnelle du travail fondée sur

analyses menées et/ou les solutions envisagées dépendent toujours du contexte et de la situation rencontrés. Les facteurs externes Les facteurs externes relèvent de l’environnement de l’organisation. Il peut s’agir : ••d’évolutions (voire ruptures) technologiques. Exemple : les TIC rendent l’information très accessible et accélèrent les prises de décisions. ••de mutations économiques. Exemple  les turbulences des marchés financiers : accroissent les difficultés de financement des petites

rapport à la réalité sociale, pas importer ses opinions – jugements de valeurs, dans l’observation du fait social. * Durkheim : déconstruire les prénotions rupture avec le savoir ordinaire du fait, avec les préjugés (exemples : les filles n’iraient pas tellement dans les filières mathématiques, car elles seraient moins bonnes.) La rupture est difficile, car les prénotions sont attachées à la société. * Weber : le rapport aux valeurs et la neutralité sociologique. Il est d’accord avec Durkheim

systèmes d’information. « Télé-entreprise » | L’organisation vu comme une culture Image essentiel | Un groupe sociale qui secrète des valeurs communes et crée des liens d’appartenance | Auteurs | Durkheim (XIXe siècle) Le toyotisme (1960) Iribarne (1988) | Métaphore | Anthropologie/sociologie | Vocabulaire | Culture d’entreprise, collectif, éthique, valeurs, image de la société | Domaines influencés | Gestion des hommes, des carrières |

connexion Domaines influencés : informatique, systèmes d’information, « télé-entreprise » * …une culture : Image essentielle : un groupe social qui secrète des valeurs communes et crée des liens d’appartenance Auteurs : Durkheim, Toyotisme, Iribarne Métaphore : anthropologie / sociologie Vocabulaire : culture d’entreprise, collectif, éthique, valeurs, image de la société Domaines influencés : gestion des hommes et des carrières * …un système politique : Image essentielle :