Du Taylorisme Au Toyotisme Rupture Ou Continuité

compte des situations des citoyens, on parle donc dquit. Exemple le montant des aides sociales voluent en fonction de la situation du citoyen il y a quit. Les pompiers secourent tout le monde sans tenir compte des individus sauver il y a galit. La continuit Un service public doit fonctionner sans interruption autres que celles prvues. Lune des consquences de principe est le pravis obligatoire lors des grves dans le service public. Ladaptabilit aux volutions technologiques et sociales Les services publics

la recherche et développement (R&D) est aujourd’hui, une source parmi d’autres d’innovation. On distingue 2 niveaux (interne, externe). D’autres approches peuvent être proposées, on peut ainsi envisager de distinguer l’innovation de rupture qui modifie complètement une situation antérieure de l’innovation d’adaptation qui n’a que des effets d’amélioration d’une technique, d’un produit. On oppose aussi l’innovation réactive et l’innovation proactive selon que l’entreprise « lance une

monétaire de 1971-1973, de l’essoufflement du fordisme, des mutations de la hiérarchie et de la distribution des secteurs de production et du premier choc pétrolier, qui agit comme un détonateur. Elles ouvrent une nouvelle période, à la fois en continuité et en rupture avec les « trente glorieuses » : conjoncture plus cyclique, poursuite de la croissance (le PIB par habitant de l’Inde s’accroît davantage entre 1973 et 1993 qu’entre 1820 et 1973, celui du Japon augmente de 80 % entre 1973 et 1998), augmentation

les principes qui sous-tendent les services publics ? Réponse : A décortiquer avec eux et leur demander un exemple à chaque fois i. Principe de Continuité Le principe de continuité signifie qu’il ne doit y avoir aucune rupture dans l’activité du service public. Jusqu’en 1946, le principe de continuité s’est opposé au droit de grève dans les services publics. On qualifiait même de crime la grève d’agents publics. Celle-ci justifiait la révocation immédiate. Aujourd’hui l’exercice

défendu par Latouche (économiste français du XXIème) ou Ariès (politologue français du XXIème) énonce la contradiction entre la recherche d'une croissance infini et un monde fini. Il font donc recherché au sens d'Ariès une simplicité volontaire via une rupture radicale avec la société de consommation. La question n'est pas tant pourquoi la croissance mais plutôt la croissance pour quoi faire ? I.Illitch (penseur de l'écologie politique allemand du XXème) dénonce l’aliénation des individus au progrès technique

propriété) appartiennent de façon dominante à l’État. On parle d’entreprises publiques et d’organismes publics (sécurité sociale par exemple). 2) Les principes des services publics : Ils reposent sur des principes fondamentaux : • Le principe de continuité : les services publics doivent fonctionner de façon continue, sans retard et sans interruption de façon à satisfaire les usagers. • Le principe d’adaptabilité : le service public doit pouvoir être adapté à l’évolution des besoins collectifs, aux

sociologiques du travail 11 2.1. Karl Marx 11 2.2. Taylor 20 2.2.1. Principales caractéristiques du travail manufacturier 20 2.2.2. L'organisation scientifique du travail 26 2.3. Ford 29 2.4. L'école des relations humaines 35 2.5. Toyotisme 41 3. Le travail et ses aspects 44 3.1. Le marché dual du travail ou la segmentation du marché du travail 44 3.3. La division sexuelle du travail 51 3.4. L'organisation du travail au début du 20ème siècle 69 3.5. Chômage et protections

diffuse; la culture de Lu; un club sportif; ... Les sociologues utilisent l'histoire pour comprendre les transformations sociales. De Platon jusqu'au 17ème siècle, les penseurs mettent en avant la hiérarchie sociale, nécessaire à l'ordre social. La continuité du social repose sur une hiérarchie. Ils se représentent les êtres humains comme faisant partie d'une chaîne, où chaque individu représente un maillon nécessaire, il occupe une position bien déterminée. Les individus sont complémentaires, sont interdépendants

travaille pas de la même façon qu’autrefois. Les méthodes de travail ont évoluée de manière massive. L’organisation scientifique du travail est une méthode relativement nouvelle, elle date du début du XIXème siècle. A. Du Taylorisme au Fordisme 1) Le Taylorisme Taylor a donné les premiers éléments de l’organisation scientifique du travail. L’organisation scientifique du travail est apparue aux Etats-Unis vers 1880. Taylor était un ouvrier et il est devenu cadre petit à petit. Il a

emplois ; exclusion des actifs plus âgés) II Les effets qualitatifs A mutations dans l’organisation du travail : du taylorisme/fordisme aux NMOT sous la pression de l’automatisation, et changement de qualifications : élévation du niveau de formation (initiale et continue), importance de la maîtrise de l’information, individualisation des compétences ; aspects positifs (post-taylorisme) et négatifs (néo-tatlorisme) B conséquences du fait d’une évolution du rôle social du travail (progrès technique