Démocratie Moderne Représentation Citoyen

la SP. => rejet de la doctrine fr pour laquelle le régime parlementaire = un système de dualité des pouvoirs. Dans les 30', Boris Mirkine-Guetzévitch montre que c'est la primauté de l'exécutif qui a entrainé la mise en place du parlementarisme moderne, et que l'essentiel de ce parlementarisme est le gvt de la majorité. Georges Vedel va lui insister sur la mécompréhension de la pensée de Montesquieu ; « M. doit se retourner dans sa tombe s'il a connaissance des dogmes que de prétendus disciples

Définitions séance 2 : Constitution : Une constitution est la loi fondamentale d'un Etat qui définit les droits et les libertés des citoyens ainsi que l'organisation et les séparations du pouvoir politique (législatif, exécutif, judiciaire). Elle précise l'articulation et le fonctionnement des différentes institutions qui composent l'Etat (Conseil constitutionnel, Parlement, gouvernement, administration...). La constitution se situe au sommet du système juridique de l'Etat dont elle est le

penser la politique, de penser des représentations instituées de la politique. Ces visions qui sont en nous peuvent être inconscientes. Pour développer une réflexion, il faut avoir des questions à se poser. Il faut aussi être capable de se défaire de toute culture qui nous habite. A) Catégories de la vie politique et catégories de l’analyse politique Les théories de la politique ne sont pas nouvelles. Elles ont le postulat suivant : les citoyens s’intéressent aux phénomènes politiques

saurait y avoir de doute la science politique est et doit être la science de l’Etat ». De son côté MARCEL PRELOT dit que « c’est la connaissance descriptive, explicative et prospective de l’Etat et des phénomènes qui s’y attachent » II. LA CONCEPTION MODERNE DE LA SCIENCE POLITIQUE Aujourd’hui la conception de la science politique a évolué. On considère que la science politique c’est avant tout la science du pouvoir aussi bien dans la société étatique que partout où le pouvoir se manifeste c'est-à-dire

droit ou organes ? Là, il faut réfléchir à qui s’adressent les règles. On parle aux organes de l’Etat. Nous interprétons les lois nous-mêmes pour nous instruire un mode de conduite. On distingue deux destinataires : Les organes de l’Etat ; Les citoyens. On n’a pas besoin de nous donner une direction de conduite individuelle. III - LE CRITERE DE DISTINCTION ENTRE LES NORMES JURIDIQUES ET LES AUTRES REGLES SOCIALES Quand pouvons-nous savoir que nous sommes face à une règle ? Il arrive que

est à la fois ancienne et moderne, c'est la valeur commune de la majorité des pays européens. Mais la démocratie elle même est un terme difficile à définir (« mot qui a plus de valeur que de sens ». P Valery). En grec ancien: gouvernement populaire. On retrouve cette définition dans la constitution française actuelle: gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple (art 2 C, formule d’A. Lincoln utilisée en 1863 à Gettysburg).[Retour chariot]En Europe la démocratie est avant tout un processus

spécifique. L'origine constitutionnelle de ces conceptions, commune à tout Etat moderne, est issue de l'Antiquité et de la pensée de philosophes, tels que Platon ou Aristote, qui a permis la mise en place d'institutions précises, comme la justice par l'élection de magistrats. Le terme de constitution s'est alors vu progressivement modifié, adapté, pour déboucher, dans le courant du XVIIIe siècle, sur une approche dite «moderne», avec notamment la constitution corse rédigée par Paoli, philosophe et homme

Exposé : La démocratie comme phénomène social Un célèbre présentateur considère « qu’en démocratie c’est le peuple qui choisit ses dictateurs ». Si Patrick Sébastien tente de conceptualiser le terme de démocratie, bien d’autres s’y sont attardés avant lui. La démocratie est un régime politique dans lequel le peuple est souverain mais c’est aussi un phénomène social. Selon la célèbre formule d’Abraham Lincoln : « La démocratie est le gouvernement du peuple, pour le peuple, par le peuple ». Cependant

Résistance et obéissance (Alain) Texte étudié : Résistance et obéissance, voilà les deux vertus du citoyen. Par l'obéissance, il assure l'ordre, par la résistance il assure la liberté. Et il est bien clair que l'ordre et la liberté ne sont points séparables, car le jeu des forces, c'est à dire la guerre privée, à toute minute, n'enferme aucune liberté, c'est une vie animale, livrée à tous les hasards. Donc les deux termes, ordre et liberté, sont bien loin d'être opposés

pour les révolutionnaires, le Moyen-âge pour les romantiques, l’utopie pour les socialistes, la loi naturelle pour les libéraux. Une bonne maîtrise de l’histoire des idées politiques est une condition sine qua non de la culture politique de tout citoyen. Mais que recouvre le terme d’idées politiques ? A quoi servent les idées politiques ? Quand apparaissent-elles ? Quelle différence y a–t-il entre l’expression histoire des « idées » politiques et celles de « doctrines » politiques, ou de « pensée