Démocratie Pensée Rationnelle

Extrait de De la démocratie en Amérique, Alexis de Tocqueville Bibliographie : http://www.tocqueville.culture.fr http://www.le-dictionnaire.com http://www.wipipedia.fr L’auteur Le 29 juillet 1805 naît à Paris, au numéro 987 de la rue de la Ville-l'Évêque, le troisième fils de Hervé Louis François Bonaventure Clérel de Tocqueville et de Louise-Madeleine Le Peletier Rosanbo. Il se prénomme Alexis et son père nous a livré le récit de sa venue au monde dans une page touchante de ses Mémoires

caractérise domination (ex : rationnels en finalité = stabilité relative, généralement auxquels s'ajoutent des motifs affectuels ou rationnels en valeur) Mais IRL (on l’observe grâce à l’expérience) ces motifs ne sont pas suffisants : le facteur décisif est la croyance en la légitimité. Chaque domination (digne de ce nom) = entretient sa légitimité pour l’obéissance de l’administration. Type de légitimité caractérise forme de domination. Exemple (pas du texte) : en démocratie légitime car élu, légitimité

STRUCTUREES (4 heures). Description de modèles d’organisation socio-économique. 1) Le tribalisme : C. Lévi-Strauss. 2) Le libéralisme et le capitalisme : F. Braudel, K. Marx, C. Arnsperger, F. von Hayek. 3) Le régulationisme. 4) Les démocraties majoritaires : F. von Hayek et Buchanan. 5) Le communisme : F. von Hayek. 6) La tyrannie. CHAPITRE 3 : L’IDEAL SOCIAL, SA MESURE (4 heures). 1) Les choses sont préprogrammées. 2) La maximisation de la richesse matérielle

chance d’exercer « puissance » et « influence » sur d’autres individus. En ce sens, la domination (l’« autorité »)peut reposer, dans un cas particulier, sur les motifs les plus divers de docilité : de la morne habitude aux pures considérations rationnelles en finalité. Tout véritable rapport de domination comporte un minimum de volonté d’obéir, par conséquent un intérêt, extérieur ou intérieur, à obéir. Toute domination n’utilise pas des moyens économiques. Bien moins encore toutes les dominations

l’éducation, ce n’est pas l’affaire d’une petite caste. En fait, l’éducation à l’intérieur de notre province touche particulièrement chaque individu y résidant puisqu’elle dicte en partie le futur du Québec et la façon dont nous vivons à l’intérieur d’une démocratie. Il est du devoir de tous d’agir. L’éducation influence directement l’économie et l’avenir complet de notre province et c’est pourquoi nous ne pouvons pas nous permettre de la prendre à la légère. Malheureusement, il semble qu’aujourd’hui notre

rejoint l'analyse wébérienne, en soulignant l'importance des motivations des acteurs. Mais elle s'en sépare en voyant dans les phénomènes sociaux le résultat de l'agrégation des comportements individuels dic­tés par des motivations. C'est l'acteur, rationnel, qui au regard de sa situation spécifique, adopte une stratégie particulière, conforme à son intérêt conscient. Les phénomènes macro­scopiques s'expliquent donc par des faits microscopiques. Pour Raymond Boudon, l'un de ses théoriciens modernes,

redresser l’opinion droite, mais de la vérifier et de la transformer en savoir. La plus part des opinions sont des opinions fausses ou biaisé, or chacun d’entre nous chérie ses opinions, ils les adorent comme un témoignage de liberté de pensé, la liberté de pensé c’est la liberté de croire en n’importe quoi. L’objectif du cours est de défaire les prénotions, de faire en sorte que les opinions droites soient fondées, de faire un rapport critique et conflictuel avec un certains nombre de choses

l'intelligence, caractérisé par un équilibre stable : ne plus être égocentrique, acquérir la conscience du "tu penses" en passant par un processus de coopération. Il en découle ainsi une autonomie morale, et la compréhension de la réciprocité et de la démocratie. L'adulte idéal serait logique, scientifique, objectif, autonome et démocrate, mais il n'est pas l'adulte véritable. Quant à Freud, il aborde le caractère dramatique de la maturité. L'individu, pour devenir adulte, doit non seulement se détacher

une branche régionale de la philo tout court On ne ferait que transposer les grands problème de la philosophie générale sur le domaine politique. Or, la philosophie politique naît à partir d’un problème particulier qui est le contact entre la pensée et une dimension de l’existence humaine, qui est à la fois importante sans être pour autant philosophique, de l’organisation de la vie commune. La philosophie politique finalement porte sur des problèmes très concrets et non métaphysique. Ces problèmes

politique. ● Il passe par les investissements concrets des individus dans la vie collective, dans la chose publique. On s’investit dans les institutions politiques. Méthodes empiriques : travail de terrain, démarche comparative ect... C. Le contenu de sa pensée On part d’un ESA hiérarchisé, figé, héréditaire, et avec une forte cohésion du fait de la hiérarchie. C’est précisément le mouvement de centralisation qui commence sous l’ancien régime qui va avoir pour effet d’égaliser le corps social et de produire