Désobéir Aux Lois

qu'un procès occupait le propriétaire de la ferme, Mr Jones, qui n'arrivait plus à entretenir sa ferme, les animaux meurent de faim et par conséquent se révoltent sans comprendre qu'ils mettent fin à la tyrannie des hommes. Les animaux fixent des lois que tous les animaux de la ferme doivent respecter : 1 Tout deuxpattes est un ennemi 2 Tout quatrepattes ou tout volatile, un ami 3 Nul animal ne portera de vêtements 4 Nul animal ne dormira dans un lit 5 Nul animal ne boira d'alcool 6 Nul animal

mal, après avoir violé les accords et les contrats qui le liaient à eux, après avoir fait du mal à ceux à qui il devait le moins en faire, à ses amis, à sa patrie et autres, alors ils seront fâchés contre lui durant sa vie et là-bas, leurs sœurs, les lois de l’Hadès, ne l’accueilleront pas favorablement, sachant qu’il a tenté à les détruire, autant qu’il dépendait de lui. Ainsi, il piétine le principe qui dit qu’on ne doit pas répondre à l’injustice par l’injustice, puisqu’il n’est jamais permis d’être

libre-arbitre permet aux individus de douter et de juger leur situation. Ils peuvent ainsi avoir leur propre opinion et agir en conséquence. C‘est une liberté fondamentale, un droit naturel. L’homme veut désobéir et le peut. A l’inverse, un prisonnier qui souhaite se déplacer est contraint de se soumettre aux lois et n’en a donc pas la capacité. C’est donc lorsque notre esprit décide d’une action et qu’il l’exécute que nous pouvons parler de liberté. Ce sont deux conditions nécessaires et indissociables sans

je devais... . Il est plus facile d’obéir que de désobéir. Même si je suis en désaccord avec une décision du gouvernement, je peux préférer rester chez moi, qu’aller manifester dehors, dans la rue, dans le froid. D’une génération à une autre, l’obéissance est donc un principe qui s’apprend, que ce soit avec ses parents, à l’école, ou au travail. Comment alors s’en détacher ? Cela paraît presque impossible de désobéir tellement il existe de raison d’obéir. Mais l’obéissance a-t-elle

Une des principales contraintes que la conscience impose à l’être humain serait l’obéissance aux lois. Avec la conscience de soi, il s’agit de se créer soi-même. Pour Nietzsche, « nous avons à devenir ceux que nous sommes ». Nietzsche ne veut pas dire que les individus doivent désobéir aux lois puisqu’il sait que l’élément générique de toute culture est en effet l’obéissance et le respect des lois. Le philosophe propose cet idéal afin de valoriser l’existence de l’individualité en nous contre l’instinct

charge aussi de la paix entre états ,le glaive est tourné vers l’extérieur, mais il assure aussi la paix civile et correspond aux impératifs de la survie. Le glaive c'est aussi l’épée de justice qui impose l’obéissance aux contrats et l’obéissance aux lois en punissant. La souveraineté est présentée comme une souveraineté absolue. Le souverain n'a pas d’épée au dessus de lui. Absolu signifie, absous de tout lien, de toute obligation. Dans l’état de nature, chaque homme est absolu. « Every man was absolute

III) La Justice Les lois humaines sont contraignantes car elles sont instaurées par l’Homme lui-même. Elles règlent notre comportement et prohibent certaines choses (ex : l’inceste). Il existe également des traditions qui ont pour rôle de régler le comportement humain. Mais les lois, contrairement aux traditions, sont écrites et si l’Homme les transgresse, il sera puni.  Le droit positif, qui représente l’ensemble des lois juridiques d’une cité, a un caractère coercitif car il peut contraindre

l’académie. Avec Les lois, Platon s’ouvre au réalisme. Alfred Whit Head dit que tout la philosophie n’est qu’un commentaire marginal du texte de Platon. Le réquisitoire contre l’Athènes démocratique: Pour Platon, Athènes est une cité déréglée. L’évènement déclencheur et la mort de Socrate (auquel Platon avait été attaché pendant 8 ans) en 399.accusé d’asabeia (l’impiété). Diogènes Laerce dit que Socrate fit un rêve. Socrate sape l’attachement des citoyens aux lois, en ce sens, il dit que

dis- tinguer la règle morale, intérieure à la conscience, et la règle sociale, imposée par la collectivité à tous les membres du groupe sous forme de loi écrite ou de coutume. Idéalement, le « droit positif », c’est-àdire l’ensemble des règles (lois, usages, coutumes) en vigueur dans une société, devrait être la traduction pure et simple du « droit naturel », de ce que la conscience humaine ou la raison reconnaît comme moralement fondé. ● Cependant, le droit positif n’est jamais le décret d’une

l’un, religieuse et morale pour l’autre. Les rapports de force sont tendus et chacun campe, intraitable, sur ses positions. Le texte d’Anouilh modernise ce mythe et oppose les deux sœurs, Antigone et Ismène : celle-ci prône l’obéissance, aux dépens de lois morales et familiales et rappelle que contrevenir à la loi mènerait à la mort : « Il nous ferait mourir ». La scène de L’Île des esclaves de Marivaux est très ancrée dans son siècle et oppose un maître et son valet. L’enjeu est social : il s’agit de