Désobéir Aux Lois

droit, on risque une sanction qui vient de l’Etat et en particulier du juge. On pourrait dire que les mœurs donne une sanction sociale et le droit une sanction Etatique. La distinction parait claire. Les mœurs influent sur le droit. De très nombreuses lois s’inspirent des mœurs par exemple le droit de la famille : le divorce et les enfants nés hors-mariage. Es que le droit n’influencerait pas les mœurs, vers ce qui est bien ? On pourrait dire que oui, le droit doit guider les mœurs vers le bien. Par

Polynice, a désobéit, elle a tenté de recouvrir le corps. Elle devait être condamnée a mort. Mais Créon qui tenait à Antigone refusait de faire cela, mais Antigone voulait mourir. Créon a tout fait pour essayer de garder Antigone en vit. Jusqu’à désobéir à sa propre loi. Mais celle-ci voulait mourir, elle l’avait d’ailleurs répété à plusieurs reprises. Ce n’est pas parce qu’il est le roi et qu’elle est sa nièce qu’ils peuvent détourner les règles. Directement après qu’Antigone est été amenée au

d’ accusations , de calomnies et de persécutions . En effet, Suzanne n’a pas apprécié tout cela, donc elle se révoltait en transgressant les nouvelles lois et en défiant l'autorité de la mère, l’énumération la première, la seconde, la troisième, la quatrième, la cinquième et l'utilisation des verbes d'action jeter, rejeter, abandonner, renfermer pour

Obéir est-ce renoncer à notre liberté individuelle ? L'homme est-il plus libre en obéissant aux lois de la cité ou de l’État qu'en obéissant à lui seul? Voilà deux questions que nous pouvons nous poser. La liberté au sens courant opposée à l’obéissance comme Rabelais le dit lui-même dans l’abbaye de Thélème où la liberté est le maître mot : « fais ce que voudras ». Chaque individu présent dans cette abbaye jouit d’une liberté sans limite et profite ainsi de la vie jusqu’à sa mort. La liberté

de propriété est la somme des prérogatives reconnues au propriétaire et des limites qui lui sont apportés, ainsi le propriétaire peut jouir et disposer de la chose de la manière la plus absolue pourvue qu’il n’en fasse pas un usage prohibé par les lois et les règlements. Chapitre : 1 La règle de droit 2 Les sources de la règle de droit 3 L’interprétation de la règle de droit Le droit objectif TITRE PREMIER : La règle de droit Chapitre 1 : Présentation de la règle de droit. Définition :

n’est pas la Justice, assise aux côtés des dieux infernaux ; non, ce ne sont pas là les lois qu’ils ont jamais fixées aux hommes, et je ne pensais pas que tes défenses à toi fussent assez puissantes pour permettre à un mortel de passer outre à d’autres lois, aux lois non écrites, inébranlables, des dieux ! Elles ne datent, celles-là, ni d’aujourd’hui ni d’hier, et nul ne sait le jour où elles ont paru. Ces lois-là, pouvais-je donc, par crainte de qui que ce fût, m’exposer à leur vengeance chez les

injuste que de lui désobéir. Par exemple Socrate a accepté la loi sans se défendre. Il accepte sa punition là où on lui laisse le choix de fuir de sa prison. Sacré est ce à quoi on ne peut pas toucher. Ou se faire victime de la loi pour en montrer son absurdité. Cependant ce qui doit primer dans l’esprit de Socrate est la première explication (conception holiste). La loi ne fait plus loi lorsque l’on pense qu’à un certain moment, on peut lui obéir et à un autre moment lui désobéir La loi est nécessairement

de cette présente démonstration, est le volonté de se servir de tous les moyens disponibles pour arriver à ses fins. Ce qui est un acte totalement légitime, puisqu’il a pour but la volonté de vivre. Il est évident que notre société a évolué, des lois ont été mises en place. L’homme ne tue plus pour arriver à ses fins puisqu’il est confronté à la justice qui garantit aux autres l’assurance de leur prérénité. Ainsi les règles ont en partie permis la sécurité de l’homme, sauf que l’être humain est

démarque lui aussi des autres puisqu’il décide de combattre auprès des mousquetaires contre le cardinal. Ainsi, désobéissant aux lois, le jeune homme souhaite se rapprocher de certaines valeurs telle que le courage, que représente les trois mousquetaires, tout en se moquant des conséquences que ce choix pourrait avoir sur sa vie. Effectivement, « se battre, c’est-à-dire désobéir à la loi, c’est-à-dire risquer sa tête, c’est-à-dire se faire d’un seul coup l’ennemi d’un ministre plus puissant que le roi

puissance plus importante en elle-même, que nous, peut être considéré comme inexplicable. Le fait est que si « le plus fort a toujours raison » alors la force peut être dépassée à tout moment par désobéissance légitime. Obéir à la justice ou aux lois est un devoir tandis que céder à la force c’est de la prudence. Si la force est à l’origine du droit on ne peut pas dire que la force soit au fondement du droit. Rousseau exprime le fait qu’une force physique ne peut être prise pour un droit. Le droit