Ecclésia

impératif et sont donc tenu de respecter les volontés du peuple et tout manquement entraine la révocation. Enfin, les décisions sont prises à la majorité qui seule exprime la volonté générale. La référence mythique est Athènes (le peuple ce réuni en ecclésia et exécuté par la boulé) Mais limité car les citoyens ne sont qu’1/10e de la société. 2 cantons appelée la « landsgemeinde » qui ce réuni annuellement pour désigner un conseil et le principaux fonctionnaire (curiosité constitutionnel). La souveraineté

modalités de succession la première per transmissionem appliquée dans le droit civil réglait hérédité des biens patrimoniaux la deuxième simple per remotionem qui intéressait les biens publics communs tous les hommes réglait la succession aux dignités ecclésias tiques et pouvait être étendue la succession monarchique En appliquant cette distinction il empruntait au droit romain et au droit canon aux lois coutumières du royaume où la succession au trône se transmet tait en voie masculine et par droit de

La démocratie athénienne : 1°) Le fonctionnement des institutions : Il varie au cours des temps, le Ve siècle est son « apogée ». (Voir p.15 doc. 2 + cours manuscrit) Explications schéma : - Les citoyens : Démos rassemblé en Ecclésia (= Assemblée principale) ont le pouvoir principal : les grandes décisions y sont votées (caché, secret pour ne pas influencer). Même les temps de parole étaient chronométrés (clepsydre) pour l’équité. └> grandes décisions : partir en guerre

le rôle de l’Etat dans l’enseignement car il est incapable de transmettre la vérité de la Révélation, et la « liberté illimité » viole le sacré, « les vérités premières » qui seules doivent entrer dans les âmes. Une autre encyclique (Militantis ecclesiae) interdira en 1897 aux familles catholiques de mettre leurs enfants à l’école laïque. Malgré la loi de 1903 qui interdit l’enseignement aux congrégations non autorisées, la liberté de l’enseignement en France restera acquise. En conclusion

historique et moral sur la Règle de Saint Benoit - 1732 Dalmais : Origine et constitution de l’office. M.D. N°21 pp 26 à 39 Dom Aug. Savator, abbé de St Paul de Wisques : La règle de Saint Benoit 1950 Rondeau : Sicut psallit ecclesia romana, ou les sources de l’office de la Règle de Saint Benoit - Liturgie N° 3 pp 133 à 144. - 1972 Dekkers : Les anciens moines cultivaient t-ils la liturgie ? M.D. N°51 pp 31 à 54 - 1957 Braso : Sentier de vie : Au seuil

Ineffabilis amor ». Il affirme son droit d'exercer la magistrature spirituelle suprême sur tous les Chrétiens, aussi bien rois que sujets, et cette magistrature implique un droit de contrôle sur toute leur politique. C'est ce qu'il appelle la « libertas ecclesiae ». Du côté royal, un pamphlet hautain « Antequam clerici » affirme le devoir des clercs de contribuer à la défense du royaume. Chose curieuse, tout s'arrange après un an d'hostilités. Boniface, aux prises avec de grandes difficultés dans le Patrimoine

aptes à tolérer la dissension interne que ceux engagés dans des conflits sporadiques, car ils ont besoin de l’engagement total de tous leurs membres contre l’ennemi extérieur. Réaction des deux types de groupes au conflit externe : Type sectaire Ecclesia pura. Manifestation visible de la communion des saints d’où sont exclus les damnés : exclusive. Rigidité. Scissions et défections (Mencheviks vs. Bolcheviks). Lutte continuelle. Conflits externes irréalistes Conflits externes aigus. Type ecclésial

justification et, d'autre part, l'Église considérée en tant que personne physique et spirituelle, avec tous les problèmes qui en dépendent relativement aux sacrements et à la pastorale. Ainsi dans un des ses sermons, Etienne de Tournai nous apprend que l' "Ecclésia cum sacramentis suis" est étudié en prolongement de l' "Opus Redemptionis"6. Prédications et traités théologiques s'appuient l'un sur l'autre pour transmettre et expliquer le mystère profond de la Foi chrétienne. La cathédrale est l'expression

châtiment suprême : cette prérogative ne peut être celle de l’Église qui applique le droit canonique. En matière criminelle : « il y a une peine que les tribunaux d’Église ne peuvent jamais prononcer : la peine capitale comme en témoigne l’adage Ecclesia abhorret a sanguine. C’est bien parce qu’elle a horreur du sang que l’Église refuse systématiquement la peine de mort. Tout au plus peut-elle, en cas de crime grave […] le remettre à la justice séculière pour qu’elle prononce elle-même la peine capitale[29]

B- Les droits et obligations dus à la citoyenneté Le citoyen possède des droits notamment des prérogatives politiques. Il s’agit du droit de participer à la gestion des affaires publiques en siégeant à l’assemblé du peuple, que l’on appelle Ecclésia, et également en exerçant les magistratures et en rendant la justice, par le tribunal de l’Héliée, ces prérogatives sont supérieures à celles dont peuvent prétendre les droits entre les mains des citoyens. La démocratie contemporaine de la participation