Ecclésia

l’armée des paysans, classe moyenne et souvent fortunée, va être remplacée par celle des prolétaires, l’armée des rameurs. Critique : Une institution nouvelle également mise en place par Clisthène n’est pas mentionnée par Aristote, l’assemblée ou ecclésia. Par étapes, l’assemblée accède à la souveraineté. Clisthène la libère de la présidence de l’archonte éponyme et confie la direction des débats à l’épistate des prytanes qui est éphémère. Un nouveau lieu de réunion est édifié pour elle : la Pnyx

évêques : Simplice élu au Ve siècle, Oûtrille et Sulpice au VIIe siècle, jouent un rôle politique et religieux important, dans cette ville encore très romaine dont les évêques garderont pour longtemps la suprématie sur l'Aquitaine. L'existence d'une ecclesia primitive, puis du groupe cathédral à l'emplacement de la cathédrale actuelle n'est pas prouvée ; elle est toutefois très probable sur ce site, bien avant le sanctuaire roman. Les fondations de basiliques funéraires et de monastères Si l'habitat

grecs, ayant remplis ces obligations militaires (service militaire pendant 2 ans). Cette démocratie repose sur l’ecclésia, l’assemblée des citoyens. Elle se réunit régulièrement (1 fois par semaine) sur une colline en face de l’Acropole. Dans cette ecclésia tout le monde peut s’exprimer et elle surveille la nomination des magistrats tirés au sort. En cas de guerre, c’est l’assemblée qui désigne les stratèges (chefs de guerre), mais elle est assistée par un conseil permanent la Boulée qui prépare les

c’est au peuple (demos) que revient la souveraineté (kratos). Ainsi, tous les Athéniens males, non esclaves, nés à Athènes, de père Athénien, sont des citoyens aptes à être des électeurs, des magistrats et des législateurs. L’Assemblée du peuple (ecclesia) est constituée des citoyens élus ; elle a pour fonction de voter les lois et de choisir les magistrats. Tous les citoyens peuvent participer aux délibérations et prendre la parole sur l’Agora pour donner leur avis. Les décisions sont prises à la

c'est re-former, donner à la matière une forme pure correspondant à l'ordre voulu par Dieu, une forme d'avant la dégradation, aussi proche que possible de l'origine. L'idée de réforme appartient en même temps à la tradition chrétienne selon l'adage : Ecclesia semper reformanda (à la fois réforme personnelle et structurelle). Cf B. Chevallier et P. Contamine, La France à la fin du XVe siècle : renouveau et apogée, Paris, 1985. J. Le Goff, éd. Hérésies et sociétés dans l'Europe préindustrielle, 11e-18e

d’abord imprimer une série d’ouvrages liturgiques à l’usage de l’Église de Toul : un missel en 1507, un bréviaire en 1510 et 1512, des livres d’heures en 1513, 1515 et 1516 et une nouvelle édition du rituel. 1. Missale ad consuetudinem insignis ecclesiae Tullensis , 1507 2. Breviarium Tullense, Parisiis, 1510, 1512 3. Heures a l’usaige de Toul, Paris, 1513, 1515 et 1516 4. Manuale seu officiarium sacerdotum. La préface de ce rituel, nouvellement édité en 1559, rappelle à Toussaint de

c. 22 : « Illa vero forma iurandi, que solo sermone editur, secundum tria tempora triplex invenitur : aliter namque in veteri testamento, aliter in primitiva ecclesia, aliter etiam hodie iuratur. Et quidem in veteri testamento iurabatur in hec verba : “Vivit Dominus et hec michi faciat Dominus et hec addat”, et similia ; in primitiva ecclesia sic : “Testis est michi Dominus” ; hodie vero : “Per Deum iuro”, “Sic et Deus me adiuvet” et his similia » (op. cit. [n. 11], p. 389). 30. Ibid. « Non ideo sic

rite de mariage qui permettrait d’en assurer la publicité et donc, par suite, la preuve le moment venu. Car, ceux qui auraient assisté au mariage pourraient en témoigner. C’est cette volonté qui conduit l’Eglise a inventé le mariage « in facie ecclesiae », c’est le mariage devant l’Eglise en termes de bâtiment ou en terme de communauté. Cette cérémonie est entièrement orchestrée par l’Eglise et c’est elle qui en règlemente les formes. Toutefois, il s’agit là d’une conquête difficile, car personne

Périclès est Thucydide, fils de Mélésias, qui va être ostracisé en 453. Le système politique de Périclès Son système se base sur la souveraineté du démos. Il renforce la démocratie. C’est une démocratie directe : - Assemblée du peuple : Ecclésia est le corps politique souverain. C’est le peuple réuni. Tous les citoyens peuvent y participer. Parfois un quorum de 6000 participants est instauré car souvent trop peu de participants. Elle siège sur la Pnyx, elle est réaménagée pour accueillir

pour cette bonne raison que tous les Chrétiens appartiennent vraiment à l'état ecclésiastique, il n'existe entre eux aucune différence, si ce n'est celle de la fonction [...]. Martin Luther, À la noblesse chrétienne de nation allemande, 1520. ECCLESIA PERVERSA TENET FACIEM DIABOLI ; SAPIENTES STULTI ALIQUANDO, 1580. 17 Franchement, j'ai été trop téméraire en entreprenant la traduction de l'Ancien testament. La langue hébraïque a été longtemps négligée. [...] Qui ne la connaît point ne comprendra