Écoulement laminaire

(barrages pour l’irrigation), sa distribution (canaux, pompage, comptage), son utilisation (ruissellement, aspersion, submersion...) – L’hydraulique souterraine   constituée par l’étude générale des fluides dans les milieux poreux : les écoulements de nappes souterraines, les bilans hydrologiques, l’étude des puits et des forages, l’infiltration sous les ouvrages, la stabilité des digues en terre, l’irrigation et le drainage, la diffusion de la pollution. 1.2. Les propriétés physiques

......................................................................................................... 18 Section A8 (A4) : Description mathématique de l’écoulement ..................................................... 19 1. Description d’un écoulement fluide ...................................................................................................... 19 1.1 Formalisme de Lagrange ........................................................................................................

. . . . . . . . . . . . . . . . . . 4 Théorèmes de Bernoulli - Applications 4.1 4.2 4.3 Écoulement parfait stationnaire incompressible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Écoulements irrotationnels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Théorème de Bernoulli généralisé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5 Écoulements visqueux 5.1 5.2 Écoulement de poiseuille. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Force de traînée

aussi que la formule est implicite (on ne peut exprimer  simplement en fonction des autres paramètres), on utilise alors une méthode itérative. Méthode : On utilise en premier lieu une formule approchée comme Blasius ou la formule en régime laminaire pour obtenir 0 ensuite on calcule. On peut effectuer plusieurs itérations suivant la précision voulue. Bilan : Il est aussi possible d’obtenir les pertes de charges sans les calculer à l’aide du diagramme de Moody Voir page suivante.

traduit la conservation de la masse dans les écoulements fluides. c) Quelles sont les caractéristiques d'un écoulement de Poiseuille ? Rep. : C'est un écoulement permanent, laminaire, en conduite circulaire rectiligne, dont le profil de vitesse est parabolique. d) Que représentent physiquement les paramètres de similitude suivants : Reynolds Froude Rep. : Ces paramètres de similitude traduisent des rapports de forces appliquées à des écoulements : - Reynolds = forces d'inertie / forces de

7. Ecoulements laminaires et turbulents 0.5 5000 10 000 15 000 20000 25000 30 000 35 000 40 000 Débit Q l/h Fig. 7.7 Diagramme de débit et de vitesse du produit. Ecoulement laminaire L’écoulement laminaire est un type d’écoulement dans lequel les particules se déplacent en un mouvement régulier et continu, sur des trajectoires parallèles. Ce type d’écoulement se rencontre, par exemple, dans des tuyaux ronds rectilignes ou entre des parois parallèles, à faible vitesse. Dans un écoulement turbulent

2.2 Mécanique des fluides, Notion de rhéologie 1. Mouvement laminaire de cisaillement Empilement de couches les unes sur les autres. Glissement relatif des couches les unes sur les autres sans transfert de matière d’une couche à l’autre. 2. Contraintes de cisaillement Par déplacement, génération de forces de frottements qui peuvent être rapportés à la surface. τ = dF/dS τ = constante en régime laminaire = en Pa ou N/m² Existence de la force de pressions orthogonales s’exerçant

amplifie ce phénomène, la courbure de la trajectoire s'accentuant alors fortement à la fin de celle-ci, accompagné d'une accélération du ballon. Sommaire [masquer] 1 Exemple célèbre 2 Problème 3 Analyse 4 L’effet Magnus 5 Écoulement turbulent contre écoulement laminaire 6 Importance des deux phénomènes dans la frappe « banane » 7 Liens externes 8 Notes et références Exemple célèbre[modifier | modifier le code] Coup franc de Roberto Carlos : position des joueurs et trajectoires. Les

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . laminaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

arabesques de la crème versée dans le café, ou les enchevêtrements de tourbillons dans un torrent de montagne [figure 1]. Ce que nous voyons, c'est très complexe, c'est très désordonné mais c'est très loin d'être le désordre total. Quand on regarde un écoulement turbulent, même en instantané, sur une photo, ce que l'on voit est autrement plus fascinant que l'espèce de chaos total obtenu, par exemple, en projetant une poignée de sable sec sur une feuille de papier. La turbulence, quand vous l'observez, est