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c'est le holisme. Holon en grec (=le tout) L'individualisme est une pensé moderne. 1 – Une conception Holistique de la justice : Il y a justice dans la société aussi longtemps que chaque fonction est respecté et est à sa place dans la hiérarchie. Platon dans son ouvrage La République : "Le droit consiste à rendre à chacun son du", "La justice trouve à s'exercer autant à l'intérieur de l'homme qu'à l'extérieur dans la cité", "La justice est inscrite en lettre majuscule et, en lettre minuscule dans

crédible et refuse de s'accorder avec la vraisemblance, je solliciterai l'indulgence des lecteurs, et les prierai d'accueillir de bonne grâce ces vieux récits[20] ». Cette volonté d'épurer le mythe par la raison (le logos) témoigne de l'influence de Platon ; mais la prudence de Plutarque envers les mythes n'est nullement le signe d'une méfiance envers la religion en général, puisqu'il fait preuve d'une foi profonde et exerce un temps la charge de prêtre d'Apollon à Delphes[21]. De manière générale

habiles peuvent comprendre le sens caché (car par moments les auteurs n’étaient pas libres d’écrire comme ils voulaient, ils se protégeaient ainsi). Certains auteurs voulaient aussi révéler certaines vérités à certains hommes mais pas à tous (ex. Platon) 3) Cas du double langage exotérique : les 2 langages s’adressent au même public, mais pour éviter de heurter l’auteur prend des chemins détournés (ex. auteurs philo des Lumières : Dieu est un mensonge, dit par chemins détournés). 4) Cas

Gouvard Plan du cours 1. La rhétorique sophistique de Gorgias 1.1. La vérité en rhétorique / Le pacte oratoire 1.2. Le kairos 1.3. Les figures selon Gorgias : isolie, parisosis, homéotéleute, antithèse 1.4. Critique de la rhétorique sophistique par Platon 2. La Rhétorique d'Aristote 2.1. Vie d'Aristote 2.2. La Rhétorique 3. La rhétorique classique : l'exemple de Cicéron 3.1. Définition de la rhétorique 3.2. Les trois genres de discours 3.3. Les divisions de la technique oratoire 3.4. L'invention 3

un par la comédie à travers d'une pièce de théâtre d'Aristophane; un par l'un de ses étudiants, Xénophon qui, quand il revient de la guerre, se marie et commence à écrire, notamment sur Socrate dont il fait un portrait de moralisateur; et enfin par Platon qui a aussi été élève de Socrate qui a profondément transformé sa vie. Socrate l'a touché par sa méthode et par sa mort, puisqu'il a été condamné par l'État à boire la ciguë. A partir de ce moment, là l'école socrato-platonicienne va s'opposer aux

..............................................................1 MENON...............................................................................................2 i Ménon Auteur : Platon Catégorie : Contes, légendes et fables Date de publication originale : 380 avant J.-C Le Ménon est un dialogue de Platon, dans lequel Ménon et Socrate essaient de trouver la définition de la vertu, sa nature, afin de savoir si la vertu s'enseigne ou, sinon, de quelle façon elle est obtenue. Dans un premier

comprise comme autre chose qu’un parc, cet encadrement juridico-politique peut être compris comme l’éducation de l’homme par l’homme qui fait entrer l’homme dans l’histoire véritable, il devient histoire. La société serait donc l’encadrement d’une éducation de l’homme par l’homme c’est à dire une historisation de l’homme, là ou l’animal reste dans son prolongement naturel. Ce cadre n’est qu’une expression hasardeuse de l’évolution naturelle, l’homme est un animal. Certes la société est de l’institution

dépendants ruraux ; ces derniers peuvent avoir des revendications politiques mais pas les premiers. 4. Une table pythagoricienne des oppositions range la femme du côté sauvage, le mâle incarnant la civilisation. 5. De même, dans Les Lois  de Platon, l’enfance et la jeunesse sont la part sauvage de la vie. 6. Dans la structure de la cité, la campagne sauvage, l’agros, existe sous forme de zones peuplées de bûcherons et de bergers transhumants. 7. Le dilemme de la cité pacifique avec ses

cout a ses croyances traditionnelles. A Athènes on devient peu à peu conscient de la force de la volonté et du raisonnement par rapport aux intentions de la nature. C’est un tournant fondamental car les sophistes vont considérer la loi non pas comme une expression de la nature mais comme une expression de la volonté individuelle. Pour Protagoras par exemple ce n’est pas la divinité ou la nature mais bien l’Homme qui est la mesure de toutes choses. Mais Protagoras va étudier l’Homme et son intérêt ne

européens sont ceux qui ont été soumis à la triple influence de la Grèce, de Rome et du christianisme. De fait, c’est une des civilisations, « auxquelles les hommes d’aujourd’hui se réfèrent le plus volontiers » (Cl. Mossé, Histoire d’une démocratie, Athènes, p. 5), alors qu’a priori rien ne pouvait laisser pense un tel destin, notamment en raison des ressources très limitées de la région. Encore en 2004, Loren Samsons publie un ouvrage sous le titre What’s wrong with Democracy ? From Athenian Practice